MARKETING - MEDITERRANEE

150 bus Volvo pour le groupe Joumani

Une belle commande pour Volvo Maroc. La filiale du groupe suédois Volvo AB a, en effet, signé mercredi dernier un contrat cadre avec le groupe Joumani, grand opérateur dans le transport public.

Le contrat porte sur une commande ferme de 150 autobus destinés au transport urbain. Le groupe Joumani s’est effectivement lancé dans une vaste et importante opération de rénovation et de modernisation de son parc de bus.

La valeur totale de la transaction étalée sur le premier semestre 2009 est de 180 millions de DH. Soit un coût unitaire de 1,2 million de DH. Il a aussi opté pour les contrats de maintenance répondant aux standards internationaux offerts par Volvo Maroc. Jan Erik Thoren, président de Volvo Maroc, a qualifié le contrat avec le groupe Joumani de «commande record» pour son entreprise et qui réconforte sa position de leader sur le marché des bus.

Le groupe Joumani est, pour sa part, un des acteurs majeurs du transport urbain au Maroc. Trois grandes sociétés du groupe, Raha bus Rabat, Karama bus et Lux transport sont opérationnelles depuis des années.

Elles desservent actuellement Rabat, Témara, Mohammédia et Casablanca. Sidi Brahim Joumani, président du groupe du même nom, ne cache pas les ambitions de son entreprise. Un vaste et ambitieux programme d’expansion a, d’ailleurs, déjà été entamé.

Pour l’heure, le parc du groupe compte déjà plus de 500 bus. Joumani assure qu’il veut «mettre à la disposition des usagers un moyen de transport offrant confort et sécurité, tout en veillant au respect de l’environnement». Il a indiqué, à ce propos, que les moteurs des bus commandés à Volvo Maroc seront équipés de moteurs répondant aux normes d’émissions Euro III.

 Pour sa part, Abderrafai El Azzouzi, directeur du département bus à Volvo Maroc n’a pas manqué de souligner que «cette opération d’envergure avec ce groupe d’importance est une avancée dans la mise à niveau du transport urbain».

D’ailleurs les châssis des véhicules commandés seront tous surbaissés et identiques à ceux en exploitation dans d’autres métropoles européennes, indique El Azzouzi. Quant au carrossage, il a été confié à la Société de transformation mécanique et de carrossage Janghri (STMCJ).

A signaler que Volvo Maroc connaît actuellement une expansion très significative. En effet, elle a réalisé en 2007 un chiffre d’affaires de 677 millions de DH contre 408 millions en 2006 et 367 millions en 2005. Bientôt, Volvo Maroc va s’installer dans ses nouveaux locaux à Bouskoura, sur une emprise industrielle de 10.000 m2.

L’entreprise va également aménager une salle destinée à la formation avec un atelier pour travaux pratiques. Rappelons que la gamme (hors voitures légères) commercialisée par Volvo Maroc est constituée de 3 familles de produits: les camions poids lourds, les autocars et bus et les engins de travaux publics.

Source : l'Economiste

Lors de la signature finale en matière de transport aérien, le lundi 28 avril 2008, entre le Ministère de transport tunisien et le Secrétaire du Comite Populaire Général libyen des Communications et du Transport,

il a été décidé de tenir une réunion entre les représentants de la SNTRI et ses homologues libyens au cours du mois de mai 2008, et ce, pour définir les mesures pratiques d'exploitation de la ligne Sfax-Tripoli à partir de 1 juin 2008.

A signaler que plus de 1 million de tunisiens se sont rendus en Libye en 2007 dont 97% par voie terrestre. La plupart sont originaires du Sud Tunisien qui entretient des relations commerciales exceptionnelles avec la Libye.

De ce fait, le commerce informel avec la Libye a fait naître un véritable boom économique dans le sud tunisien comme il a contribué à un dynamisme économique et commercial sans précèdent, avec un marché de change parallèle très dynamique et une baisse du prix des biens de consommation très significative.

A titre d'exemple, les habitants du sud tunisien, jusqu’à la ville de Sfax, roulent avec de l'essence à 700 millimes le litre, importée par le circuit parallèle de la Libye et qui est commercialisé le long des routes, devant tout le monde et en toute légalité.

Ce commerce avec la Libye a permis de faire bénéficier le Sud Tunisien d'une croissance visible et d'une certaine prospérité. Il a contribué à abaisser de manière significative le chômage puisque plusieurs jeunes se convertissent en commerçants itinérant, en faisant le commerce de la valise ou en devenant des passeurs d'essence.

En effet, l'essence est transportée via des véhicules de type Mercedes 190 ou 200, ou on y a installé un double réservoir permettant de transporter une très grande quantité d'essence.

Sachant que chaque passage rapporte 90 DT à son propriétaire et que chaque voiture travaille 24H sur 24 avec 4 conducteurs qui se relayent sans relâche.

Et au prix actuel de l'essence et du diesel, on comprend l'intérêt de ce commerce et de ce trafic toléré par les pouvoirs publics.

Enfin, il faut signaler que la convention signée entre la Tunisie et la Libye stipule l'augmentation du nombre des compagnies opérant sur les 2 pays, Sevenair du côté tunisien et la compagnie El Barrak du côté libyen, ce qui permettra à Sevenair d'ouvrir de nouvelles lignes en partance de Sfax, Djerba et Monastir vers la Libye.

Source : TunisieAffaire

Grands projets routiers de Tunis

De grands projets routiers sont en cours de réalisation dans la capitale et le Grand Tunis, en général, moyennant d'importants investissements, en vue de fluidifier la circulation dans la capitale et les principaux axes routiers et de faciliter le passage des usagers de la route.

Le premier projet concerne l'aménagement de la route nationale n°9 par le doublement des voies, soit les travaux de mise à 4 voies dans chaque sens, sur 13 km du point kilométrique 3 au point kilométrique 16 entre Tunis et la Marsa.

Les travaux concernent l'aménagement de la partie reliant entre la route nationale 9 et la route locale 544 ainsi que la réalisation d'un échangeur au niveau de l'intersection avec la route locale précitée, outre l'aménagement du tronçon la reliant à la Marsa et la réalisation de deux autres échangeurs au niveau du croisement avec la régionale 33E 2 et la voie expresse La Marsa-Gammarth.

Dans le cadre de ce même projet, les travaux de réalisation d'un échangeur au niveau de la station de Fret de l'aéroport Tunis Carthage-la route nationale numéro 9, démarreront prochainement. Le coût estimatif du projet de modernisation de la route nationale n 9 et de la construction de 3 échangeurs a atteint 75 millions de dinars.

La réalisation des travaux se poursuit à un rythme accéléré pour parachever la troisième tranche de l'échangeur d'Abou Nawas, au niveau de l'avenue de l'Arabie Saoudite et dont les travaux ont avancé à plus de 50%. Cet ouvrage devrait entrer en exploitation au mois de Mars 2009.

Cette tranche consiste en la construction d'un pont reliant le lac nord au centre ville via l'avenue de l'Arabie Saoudite, ce qui va faciliter la circulation entre Tunis-sud et la région de Monplaisir et du centre ville à Tunis nord.

Sur le même rythme, un très grand échangeur est en cours de construction au niveau de l'avenue de la république- Z4- rue d'Italie, dont les travaux ont démarré en mars dernier et se poursuivront pendant trente mois.

La plus importante composante de ce projet est la construction d'un nouveau viaduc à quatre voies, à proximité du viaduc actuel assurant la liaison Nord-Sud sur une longueur de 825 mètres et 16 mètres de largeur.

Le projet prévoit, en outre, la démolition du dernier joint du viaduc existant et son prolongement pour atteindre la même longueur que le viaduc existant, pour ainsi aboutir en phase finale à un seul viaduc à quatre voies.

Ces deux ouvrages accolés assureront la circulation dans le sens Nord-Sud, le raccordement des viaducs existants et futurs à l'échangeur Ghana-Cyrus le Grand, d'une part, et la sortie Sud d'autre part et le dédoublement de la Z4 à quatre voies entre la sortie sud et le viaduc de la République, outre la réalisation d'une voie latérale à deux voies assurant les échanges au sol entre la voie Z4, l'avenue Moncef Bey et l'avenue Habib Bourguiba.

Dans le même cadre, les travaux d'extension de l'avenue 7 Novembre ont démarré avec pour objectif la construction de trois voies dans les deux sens. Les travaux dureront 20 mois.

Le projet comporte en outre la réalisation d'un pont sur la voie du métro léger de l'Ariana, outre un giratoire au niveau de cette voie et des voies latérales, afin de faciliter la circulation aux alentours de ce carrefour, outre la mise en place d'un réseau d'éclairage public, des signalisations horizontales et verticales et le drainage des eaux pluviales.

Le coût global de la totalité des projets dépasse les 100 millions de dinars. Les travaux sont réalisés par des compétences nationales de la direction générale des grands travaux au sein du ministère de l'équipement de l'habitat et de l'aménagement du territoire et à un nombre de bureaux tunisiens d'études et de contrôle. 

Source : Audinet

Arrivée en force des compagnies aériennes européennes en Tunisie

Le ciel est loin d’être dégagé pour les trois compagnies aériennes tunisiennes. L’afflux des transporteurs européens à bas prix ne cesse de provoquer une baisse de leurs parts de marché. Simple trou d’air ou zone de fortes turbulences ?

Une dizaine de compagnies aériennes charter et low-cost ont investi ces dernières années le ciel tunisien. Il s’agit, entre autres, des compagnies Air Méditerranée, Aigle Azur, XL Airways, HapagFly ou encore Air Berlin.

Le dernier arrivé n’est autre que la compagnie française Transavia qui a commencé à desservir la Tunisie en juin 2007. La ruée ne semble pas proche de son épilogue. Thomsonfly, une compagnie low-cost britannique vient de recevoir le feu vert des autorités aéronautiques tunisiennes pour desservir l’aéroport de Monastir a partir de Novembre. Une autre compagnie low-cost, SBA Tunisia, devrait être lancé sous peu grâce à des capitaux tunisiens et suédois.

L’arrivée des ces compagnies à bas prix est en quelque sorte un mal nécessaire. La Tunisie est en effet contrainte à libéraliser son ciel pour donner du sang neuf à son secteur touristique mis à mal par une baisse du nombre des visiteurs occidentaux ces dernières années.

 Dans ce domaine, la destination est d’ailleurs appelée à combler son retard par rapport à ses concurrents directs. A titre d’exemple, le Maroc compte plus d’une vingtaine de compagnies aériennes charter et low-cost.

La médaille a cependant un revers: les compagnies européennes opérant sur la Tunisie ont grignoté des parts de marchés importantes au transporteur national Tunisair ainsi qu’aux deux compagnies charters locales Nouvelair et Karthago Airlines au regard de leurs tarifs défiant toute concurrence.

Chiffre révélateur: la compagnie Transavia a réalisé plus de 1000 vols réguliers sur les trois aéroports tunisiens qu’elle dessert (Djerba, Monastir et Tozeur) en plus des vols irréguliers affrétés directement par des tours opérateurs au cours de sa première année d’activité, selon un bilan publié récemment par la compagnie.

Cette filiale d’Air France-KLM a transporté 141 000 passagers, dont 76 000 en vols réguliers sur Djerba, 53 000 sur Monastir et 12 000 sur Tozeur, soit un taux de remplissage moyen de plus de 70%. Ainsi, la part du pavillon français en régulier et charter sur l’axe franco-tunisien est passée de 30 % en 2006 à 40 % en 2007.

Parallèlement, la part de marché de Tunisair, toutes activités et tous marchés confondus, s’est en revanche située à 35,2% en 2007 contre 38% une année auparavant.

Le transporteur national a également vu son trafic global des passagers (3,6 millions de passagers transportés en 2007) baisser de 4,7% par rapport à 2006. Ces résultats s’expliquent en grande partie par une chute du trafic charter de 13,2% et d’une progression du trafic régulier de 3,1%.

Même si elles n’ont pas encore rendu publics leurs rapports annuels, Karthago Airlines et Nouvelair auraient passé par une zone de turbulences due à l’aiguisement de la concurrence dans le ciel tunisien.

A preuve: Les deux transporteurs privés se sont engagées depuis fin 2006 dans un processus de rapprochement .Ces fiançailles « s’inscrivent dans le contexte de l’ouverture du ciel, qui contraint les compagnies aériennes à procéder à des alliances pour maintenir leurs parts de marché », selon un communiqué publié récemment par les deux compagnies privées.

Chez Tunisair, on estime que la baisse des performances est plutôt un trou d’air qui s’est accentué par l’envolée des prix du kérosène. Pour s’en sortir, le transporteur a choisi de rajeunir sa flotte, composée actuellement de 31 appareils, dont l’âge moyen s’élève à douze ans.

Il vient en effet confirmé sa commande de seize Airbus assortis de assortis de trois autres en option pour environ 1, 94 milliards de dollars.

La compagnie nationale vise également à moyen terme la maîtrise de développement de son activité charter au profit de son activité régulière à travers le « délestage » des vols charter sur les lignes déficitaires, essentiellement en Europe centrale et dans les pays scandinaves.

Source : AfricaTime

Le Maroc accueille Automotive Meetings

Grand-messe dans le secteur automobile! La première Convention d’affaires du secteur automobile du bassin méditerranéen aura lieu au Maroc.

Baptisé Automotive Meetings Tangier-Med (AMT 2008), l’événement sera tenu les 13 et 14 novembre à Casablanca. Ensuite, AMT fera le déplacement à Tanger, le 15 novembre.

Les principaux constructeurs, équipementiers ainsi que des donneurs d’ordre et autres prestataires du secteur automobile sont attendus à AMT 2008.

Il s’agit principalement de constructeurs réalisant le montage, les grands équipementiers de rang 1 ainsi que ceux des rangs 2 et 3 et autres sous-traitants du tissu industriel.

Organisés par l’Association pour l’industrie et le commerce de l’automobile (Amica), avec le soutien du programme d’appui aux associations professionnelles (PAAP), Automotive Meetings comptera avec les majors de l’industrie automobile du bassin méditerranéen. Selon l’Amica, «l’événement devra réunir les prestigieux acteurs de l’industrie automobile des deux rives de la Méditerranée».

Des noms circulent déjà dans les coulisses. L’on parle notamment de Volkswagen, Fiat, Renault Nissan, Peugeot -Citroën (PSA), General Motors, BMW...

L’un des objectifs de cette rencontre sera justement de promouvoir la compétitivité du site Maroc, Tanger Med, le plan Emergence, le créneau hautement compétitif du low cost…

Le Maroc se positionne de plus en plus en tant que marché de première monte en pleine croissance. Il est aussi référencé en tant que site de production compétitif pour exporter vers les marchés européens.

Les rencontres AMT devront éventuellement attirer de nouveaux investissements pour Tanger Med et ailleurs. Le Maroc fera le forcing sur les avantages multiples qu’il accorde aux constructeurs.

Toute nouvelle implantation devra profiter des capacités logistiques de la région offertes notamment par l’entrée en service du port Tanger Med.

Le projet de l’Alliance Renault Nissan servira justement d’exemple concret. Une usine gigantesque qui s’étend sur 300 ha et qui produira 400.000 véhicules, et dont l’impact sur l’écosystème tangérois est déjà perceptible.

Le méga-projet du constructeur français dope l’activité au Nord du pays. Pas moins de 26 milliards de DH ont été investis au cours du premier semestre 2008 dans 110 projets, selon le CRI de Tanger.

Une fois opérationnel en 2010, le site de Renault-Nissan sera l’un des plus importants complexes industriels en Afrique du Nord. Selon les organisateurs, AMT sera à coup sûr une opportunité pour les participants qui comptent s’engager dans une dynamique de partenariat avec un réseau de sourcing méditerranéen, voire international.

Des rencontres B to B, des conférences thématiques ainsi que des visites de différents sites de production (TFZ, port de Tanger Med, Automotive City…) sont programmées.

L’agenda a aussi été élaboré pour présenter un panorama sur le potentiel de l’industrie automobile dans la région sud-méditerranéenne.

Source : l'Economiste

SNC-Lavalin s'est vu attribuer un contrat pour construire un nouvel aéroport à Benghazi

SNC-Lavalin a le plaisir d'annoncer qu'elle s'est vu attribuer un contrat pour l'approvisionnement et la construction d'un nouvel aéroport à Benghazi, en Libye.

Ce contrat, octroyé par l'aéroport international Benina, est évalué à 500 millions $ CAN et comprend la construction d'une nouvelle aérogare internationale, d'une piste et d'une aire de trafic.

Le nouvel aéroport fait partie d'un vaste nouveau programme d'infrastructures réalisé par le gouvernement de la Libye dans l'ensemble du pays.

"Le nouvel aéroport est un projet prioritaire pour la Libye et un autre point d'entrée important pour la deuxième plus grande ville du pays", a déclaré Riadh Ben Aissa, vice-président directeur du Groupe SNC-Lavalin inc.

Le projet doit se terminer en 2010, et l'aéroport accueillera 5 millions de passagers par année. "Nous travaillons en Libye depuis plus de 20 ans, principalement sur des projets d'infrastructures liés à l'eau.

Nous sommes donc très heureux de cette nouvelle occasion de contribuer au développement économique de la Libye par cet autre volet réputé de notre savoir-faire technique", a-t-il ajouté.

Le savoir-faire de SNC-Lavalin dans le domaine des aéroports couvre toute la gamme des services de développement de projet et de construction, et s'appuie sur son expérience acquise au Canada et partout dans le monde. SNC-Lavalin est l'un des plus importants groupes d'ingénierie et de construction au monde, et un acteur majeur en matière de propriété d'infrastructures et de services d'exploitation et d'entretien.

Les sociétés SNC-Lavalin ont des bureaux dans tout le Canada et dans plus de 35 autres pays, et travaillent actuellement dans une centaine de pays.

Source : Groupe CNW

Une filiale de la SNCF exploitera le tramway d’Alger dès 2009

La société française Keolis, filiale de la SNCF, a été choisie par l'Entreprise du Métro d'Alger (EMA) pour assurer l’exploitation de la ligne Est du futur tramway d’Alger pour une durée de 10 ans. Montant du contrat : 4,5 milliards de dinars, soit 50 millions d’euros

Keolis bénéficiera d’une période de 20 mois pour préparer l’exploitation du tramway et d’une période de gestion et d’exploitation de dix ans au cours de laquelle le savoir-faire sera progressivement transféré au personnel algérien. Keolis était en concurrence avec les deux sociétés françaises RATP et Transdev, filiale de la Caisse de Dépôts et Consignations.

Le tramway d’Alger, dont la réalisation a été confiée à un consortium composé du français Alstom, de l’italien Todini et du groupe algérien ETRHB, devrait entrer en service dès l’été 2009, selon les prévisions officielles. La ligne, en cours de réalisation, mesurera 23,2 km entre le centre-ville d’Alger et la banlieue est de Dergana et comptera 38 stations.

Le constructeur Alstom a été retenu par l’EMA pour la fourniture de 41 voitures de nouvelle génération Citadis qui circuleront sur la première ligne de tramway reliant le centre-ville aux nouveaux quartiers Est d’Alger.

n plus des rames, Alstom fournira, dans le cadre de ce projet, les voies, le système d'alimentation, l'électrification de traction, le système de signalisation, les équipements de commande, une partie des travaux publics et un atelier.

Le contrat final entre l’EMA et Keolis sera signé en novembre . 

Source : Dz-Web

Air Arabia envisage la création d'un hub à Rabat en 2009

La compagnie aérienne Air Arabia, basée à Sharjah, mettra en place un hub au Maroc, doté d'une flotte d'Airbus A320 d'ici 2009, a fait savoir le Khaleej Times de Dubaï dans son édition de lundi 15 septembre.

L'article ajoute que ce hub permettra au transporteur d'atteindre plus de destinations en Europe, en Afrique et au Moyen Orient.

Source : Magharébia

La SNVI peut produire des véhicules particuliers

L’Algérie aurait pu avoir sa voiture, voilà des années. On se serait bien passé de débourser des milliards de dollars pour en importer de France ou de pays asiatiques. L’Algérien aurait pu également se passer des taxes et autres charges outrancières sur l’achat des véhicules.

Pour preuve, « la SNVI dispose des capacités de participer à la production de véhicules légers. » C’est ce qu’a affirmé hier le P-DG de l’entreprise, Mokhtar Chahboub, à la radio nationale. Selon le premier responsable de l’entreprise, « le site de la SNVI peut accueillir des activités de production de véhicules particuliers ».

« Nous avons les bâtiments et l’expertise à même de prendre en charge, très rapidement, l’intégration du processus de production de véhicules particuliers, un environnement pour produire des véhicules à des coûts compétitifs.

Le site de Rouiba est approprié et la SNVI est un élément à même de participer à réaliser ce projet », a-t-il rassuré en précisant que « l’idée existe et a été lancée lors des assises sur la stratégie industrielle ».

Le président directeur général de l’entreprise est également revenu sur le plan de redressement interne de l’entreprise, assimilé également à une opération d’assainissement.

Une étude a d’ailleurs été faite par des cadres de l’entreprise à même de permettre à celle-ci de se transformer en une entreprise en développement et de se frotter avec des concurrents.

L’interlocuteur regrettera en outre que, depuis les années 80, l’entreprise n’a bénéficié d’aucun plan d’investissement et a continué à fonctionner avec des capacités figées.

Il a révélé que le plan de redressement est actuellement à l’étude au niveau d’un cabinet d’études international. « Je confirme que si on nous accompagne, on fera de la SNVI une entreprise compétitive et de rang international », dira M. Chahboub.

Et de révéler qu’à partir d’octobre prochain, la carrosserie de Tiaret va pouvoir entamer son travail en partenariat avec le Français BTK. « Tous les éléments sont prêts puisque la relation de partenariat avec le groupe France BTK est effective.

Cette nouvelle reconfiguration une fois opérée permettra à la SNVI d’évoluer en statut de groupe et le processus ira vers la filialisation », conclura-t-il.

Source : El Annabi

Tunnel Maroc-Espagne : étude de faisabilité bouclée

L’étude de faisabilité du projet de réalisation d’un tunnel reliant l’Espagne (Tarifa) et le Maroc (Malabata, près de Tanger) a été finalisée et devrait être présentée à l’Union européenne en date du 13 octobre prochain à Luxembourg, à l’occasion de la réunion préliminaire du Conseil d’association UE-Maroc.

La future œuvre serait d’une longueur de 37,7 km, dont 27,2 à 300 m de profondeur.

Par ailleurs, deux sections y seront prévues ; l’une destinée au transport de personnes et de marchandises par le biais d’un TGV, et l’autre au transport automobile.

Les travaux de construction devraient démarrer en 2010, pour une mise en service prévue en 2025.

Le coût de réalisation est estimé à 5,3 Md d’euros (environ MAD 60 Md), cofinancé par les deux pays.

Source : les Afriques