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Egypte : Modernisation du système de transport en commun

Afin d'améliorer son niveau de service et de satisfaire les besoins des populations, la Cairo Transportation Authority (CTA) va remplacer une importante partie de sa flotte de bus.

C'est le Ministère des transports qui a fait l'annonce la semaine dernière.

Au total, 1100 bus seront remplacés au cours des 3 prochaines années.

Si les lignes concernées sont essentiellement celles du centre du Caire, il n'en demeure pas moins que celles de portée plus lointaine, passant par le Pont 6 Octobre, feront aussi peau neuve.

Khaled Mostafa, porte-parole du Gouvernorat du Caire pour les transports, a révélé qu'  « à partir de ce mois, 200 bus à 300 seront remplacés, d'ici la fin de cette année, 300 autres d'ici la fin de 2011, et 300 autres encore d'ici la fin de l'année 2012 ».

Source : Petit Journal du Caire

Israël : la Renault Fluence ZE fera ses débuts mondiaux sur les routes israéliennes.

Le groupe automobile français Renault a dévoilé cette semaine les détails et les spécifications de la version de série de la Renault Fluence ZE, qui fera ses débuts mondiaux en Israël et sera le véhicule fourni pour le projet de voiture électrique de Shaï Agassi, Better Place.

Par rapport à la Fluence à moteur thermique, la Fluence ZE possède plusieurs différences notables. Pour placer la batterie dans le coffre, la Fluence ZE a été allongée de 14 centimètres. Malgré cette longueur, le coffre n’offre que 300 litres, soit l’équivalent du coffre de la Renault Clio, en raison du volume imposant de la batterie qui pèse 250 kg.

Malgré l’absence du moteur thermique à l’avant du véhicule, la Fluence ZE affiche un poids supérieur de 300 kg à la version classique. Renault n’a pas révélé ses performances, mais a annoncé que la vitesse maximale serait électroniquement limitée à 135 kilomètres par heure.

Renault s’est engagée à fournir 100 000 véhicules à Better Place d’ici 2016. Better Place a déclaré à plusieurs reprises avoir commandé plusieurs dizaines de milliers de voitures de ce type pour sa flotte en Israël, et la société estime pouvoir vendre dès la première année des dizaines de milliers de véhicules.

Source : Israel Valley

Maroc : le portugais Pinto Brazil s'implante à Tanger

Il est spécialisé dans la fabrication, la transformation et la réparation de machines et périphériques de support à l'industrie de câblages automobiles. Il vient de créer, avec Divmac, une co-entreprise qui opérera à TFZ.

Tanger est en train de s’affirmer comme un véritable cluster automobile. En effet, l’arrivée de Renault et sa méga-usine de la zone franche de Melloussa semble accélérer la cadence d’un mouvement entamé à la fin des années 1990 avec l’arrivée en ordre dispersé, dans un premier temps, de plusieurs équipementiers de taille mondiale tels les américains Delphi et Lear Automotive et le japonais Yazaki.

Et après l’implantation au cours des derniers mois de l’espagnol CIE Automotive, des français Inergy Automotive Systems et AB Serve, du canadien Alcoa Fixations, c’est au tour du groupe portugais Pinto de prendre pied dans la ville du détroit. 

Cet industriel spécialisé dans la fabrication, la transformation et la réparation de machines et périphériques de support à l’industrie de câblages automobiles vient de créer, en partenariat avec son compatriote Divmac, qui opère dans l’automatisation industrielle, une co-entreprise marocaine du nom de MTS Free Zone, installée à Tanger Free Zone.

Cette nouvelle entité vise à accompagner les projets industriels des équipementiers déjà installés au Maroc en leur fournissant des équipements de tests et de mesures ainsi que de la maintenance industrielle.

Rappelons que le Groupe Pinto est basé à Guimares, au Portugal, et compte déjà plusieurs filiales à travers trois continents notamment au Brésil, en Tunisie et en Roumanie. En 2009, son chiffre d’affaires a avoisiné les 9 millions d’euros, soit près de 100 MDH.

Au demeurant, le profil des sociétés appartenant au secteur automobile qui ont choisi de déployer leurs activités au Maroc, et plus particulièrement à Tanger, s’enrichit de plus en plus avec une intégration verticale.

De l’ingénierie industrielle et la conception automobile jusqu’à la fabrication de composantes électroniques ou mécaniques en passant par les biens d’équipement intermédiaires, le cluster automobile marocain, un des six moteurs industriels du Plan Emergence II, est décidément bien parti.

Source : La Vie Eco

Tunisie : Quand le transport devient intelligent !

L’optimisation des systèmes de transport était le thème du 16^ème  forum sur les nouvelles technologies de l’information et de la communication, tenu à Sousse.

Face aux  nouveaux défis  qui se posent dans le secteur et grâce au développement rapide des applications et des services offerts par « les systèmes de transport intelligent, le ministère du Transport a œuvré à l’élaboration d’un programme visant à renforcer l’utilisation de ces systèmes dans différents domaines, notamment, la géolocalisation et l’aide à l’exploitation, l’information aux voyageurs, la gestion de la logique et du fret et le paiement électronique.

Le ministre du Transport, Abderrahim Zouari a indiqué  que la  concrétisation de ce programme a commencé le 6 novembre 2008 par la signature d’une convention de partenariat stratégique, conformément à la loi relative à l’économie numérique, entre la SNTRI et les sociétés régionales de transport d’une part et Tunisie Télécom d’autre part pour la mise en place d’un système de géolocalisation de la flotte de bus. La SNTRI et 6 sociétés régionales de transport ont bénéficié de ce système.

Il a précisé  que 82% des bus de ces sociétés sont désormais équipés de boîtiers GPS /GPRS. Le succès de la mise en place de ce système s’est traduit surtout par une diminution de la consommation  du carburant qui a atteint 4% chez certaines sociétés et une amélioration de la sécurité grâce au contrôle en temps réel des véhicules et de leur vitesse.

Dans le domaine du transport maritime et portuaire, les résultats sont significatifs, à savoir un gain de temps au niveau de l’accomplissement des procédures du transport international des marchandises et une réduction du séjour des marchandises dans les ports.

Cela permet de garantir une meilleure traçabilité des marchandises durant leur transport, un contrôle exhaustif  à l’import et à l’export et un renforcement des règles de sécurité et de sûreté des navires et de la marchandise.

S’agissant des projets, il convient de citer  « le suivi à distance de l’état d’avancement du traitement des dossiers déposés » et l’obtention d’un rendez-vous pour la visite technique des navires et leur suivi et paiement des redevances à distance « OMMP », le Tracking en temps  réel des informations sur le bagage et le fret des passagers à travers SMS « TunisAir) , le suivi des dates et des décisions des commissions de retrait des permis de conduire et la vérification de l’état d’un véhicule… ».

A noter que le ministère du transport  prépare, dans le même programme une panoplie de nouveaux projets ITS, pour généraliser les projets réalisés et pour couvrir d’autres domaines d’application tels que la vidéosurveillance pour l’exploitation des images vidéos dans les installations fixes et les véhicules, la cartographie numérique et les systèmes d’information géographiques(SIG).

Source : AfricanManager

Syrie : Les voitures coréennes toujours en tête des ventes

Les dernières statistiques publiées sur le site Internet Syriasteps ont indiqué que le marché automobile local restait encore largement dominé par les marques coréennes Hyundai et Kia.

Le site, qui a basé ses conclusions sur les licences d'importation accordées en 2009, a de ce fait indiqué que les véhicules importés en Syrie avaient totalisé 77 485 unités l'an dernier, en baisse de 3 % par rapport aux 79 972 voitures importées en 2008.

Ces données doivent toutefois être manipulées avec circonspection. Syriasteps ne cite pas en effet l'origine des données qu'il a utilisées pour ses statistiques.

D'autres sources, comme l'Agence française pour le développement (AFD), à Damas affirment en outre que les importations de véhicules ont chuté de 36 % en 2009 à 65 605, contre 101 000 unités en 2008.

De plus, le site Syriasteps ne précise pas clairement si les pick-up et autres véhicules utilitaires sont inclus dans ses statistiques.

Néanmoins, les sources confirment dans leur ensemble la domination du marché par les constructeurs coréens, qui représentent plus des deux tiers du marché local ; la marque Kia représente en effet à elle seule quelque 47,6 % du marché.

Viennent ensuite l'américain Chevrolet en troisième position et, en quatrième, le chinois Geely. Aucun constructeur européen, par contre, ne figure dans les 10 premières places.

La raison de la dominance des marques coréennes et chinoises low-cost s'explique par le niveau élevé des taxes sur les importations d'automobiles.

Selon Dunne & Company, un cabinet de conseils en matière d'investissements basé à Hong Kong, le marché syrien a fait partie en 2009 des cinq plus gros marchés d'exportation pour les constructeurs chinois.

En parallèle, diverses autres sources ont également indiqué que les ventes de BMW ont totalisé 878 voitures l'an denier, tandis que les marques françaises Renault, Peugeot et Citroën ont, quant à elles, vendu 566, 560 et moins de 300 véhicules respectivement en 2009.

Source : l'Orient Le Jour

Libye : Vers la réorganisation du transport public

Le parc automobile du transport public en Libye a atteint 100 000 voitures transportant quotidiennement 750 000 personnes en majorité des étrangers, rapporte le journal Tripolitain Al-Jamahiriya, révélant l'existence d'un plan de réorganisation de ce secteur.

Le transport public urbain et semi-urbain en Libye est entièrement détenu par le secteur privé, notamment des particuliers et des coopératives familiales.

Citant le secrétaire général du syndicat libyen des transports publics, Ahmed Ibrahim Khalil, dans le cadre d'une enquête sur les difficultés et problèmes du transport public dans le pays, Al-Jamahiriya indique dans son édition de jeudi que les minibus "Iveco" de transport public de la ville de Tripoli seront réduits de moitié, passant de 800 a 400 dans le cadre d'un plan de réduction des voitures de transport public et de désengorgement de la circulation routière.

Le responsable syndical a précisé que le parc de voitures du transport public de la capitale libyenne atteint 46.000 voitures et que les 400 minibus Iveco seront remplacés par des bus de 25 places au lieu de 16 places, la capacité des minibus Iveco.

Du micro trottoir effectué par le journal Al-Jamahiriya auprès des usagers, il apparaît que la majorité d'entre eux ne sont pas satisfaits des moyens de transport public existant actuellement dans le pays, même s'ils sont unanimes à reconnaître que le prix du ticket de l'Iveco qui coûte 250 dirhams (1,270 dirhams = 1 dollar américain) est à la porté de tous les citoyens et qu'il est l'un des moins chers dans le monde.

Cependant, ces usagers reprochent à l'Iveco sa lenteur en raison des arrêts interminables effectués par les chauffeurs qui ne respectent pas les stations et du traitement réservé aux passagers.

Au niveau des taxis appelés ici "Kahla Wa Beidha" "noir et blanc" en raison de leurs couleurs, les usagers leur font comme griefs leurs prix élevés fixés par les chauffeurs qui évoquent de multiples prétextes.

Toutefois, le secrétaire général du syndicat libyen des transports publics, Ahmed Ibrahim Khalil, a indiqué qu'il existe un décret du comité populaire général de la sûreté publique portant sur l'obligation des compteurs dans les Taxis, mais que ce sont les citoyens eux-mêmes qui sont contre leur usage.

Il a précisé que ses services ont apporté une grande quantité de compteurs pour être installés dans les taxis conformément à la loi, mais que les agents de la circulation ne font pas le suivi des voitures qui n'ont pas appliqué cette instruction.

Ainsi, il ressort en guise de conclusion dans cette enquête, que les citoyens libyens qui dans leur écrasante majorité détiennent une voiture personnelle, réclament non pas seulement l'existence d'un service de transport public disponible et à un prix abordable, mais des moyens de transport public qui leur laissent la variété du choix, qui répondent aux normes de sécurité et qui respectent les délais impartis tels que de grands bus, des locomotives électriques, voire un métro.

L'Office d'exécution et de gestion des projets de chemins de fer en Libye envisage, rappelle-t-on, la construction d'un réseau de métro léger de Tripoli reliant cette ville et ses banlieues de plus de 100 km qui s'étale de Janzour à l'Ouest à Tajoura vers l'est, et de l'aéroport de Tripoli vers Gasr Ben Gachir, au sud, et vers le centre ville, au nord.

Ce réseau du métro de Tripoli devra désengorger le trafic auto dans la capitale libyenne et permettra une plus grande fluidité de la circulation en incitant les citoyens à utiliser ce mode de transport rapide, peu onéreux et moins polluant, selon ses concepteurs.

Source : Afrique en Ligne

Maroc : Agadir confie la gestion déléguée des transports urbains à Alsa City

Faisant suite à l’attribution par appel d’offres le 10 février 2010 à la société Alsa City Agadir du contrat de gestion du transport urbain pour le Grand Agadir, le délégataire a entrepris les démarches pour respecter le démarrage de ses activités prévu en septembre prochain.

 

Alsa city Agadir a rencontré la semaine passée les employés de la Régie Autonome de Transport d’Agadir (RATAG). L’entreprise a exposé ses ambitions et s’est fermement engagée à recruter les 256 employés actuels de la RATAG.

Des actions de formation seront offertes à l’ensemble du personnel jusqu’au mois de septembre dans le but d’assurer son accommodation au nouveau service de transport. Cette rencontre a permis notamment de rassurer les employés quant à leurs carrières.

De même, Alsa City Agadir donnera une priorité d’embauche au personnel des autres sociétés de transport opérant dans la région pour créer au final plus de 450 emplois.

Alsa City Agadir est appelée d’entrer en fonction avec un parc de 80 bus neufs qui sera progressivement étendu pour atteindre au final 156 véhicules. Cette première commande a été confiée au constructeur d’autobus Scania et leur fabrication sera intégralement assurée au Maroc.

« Nous sommes honorés de pouvoir mettre notre savoir faire au service du développement du Maroc et plus particulièrement au service de la région du Grand Agadir qui connaît un essor économique sans précédent » a déclaré M. Alberto Perez, Directeur général de Alsa City Agadir.

Alsa City opère déjà avec succès à Marrakech en assurant le service de transport urbain et périurbain depuis 1999 grâce à plus de 550 collaborateurs et un parc de 171 véhicules.

Source : Bab Khourigba

Maroc : De nouveaux bus pour la région de Rabat !

Dans la perspective de mettre fin au problème de transport urbain dans la région de Rabat, Salé, Skhirat et Témara, de nouveaux bus seront mis en circulation, à partir de la première semaine de mars, a annoncé jeudi le secrétaire général  de la wilaya de la Région de Rabat-Salé Zemmour-Zaer, M.Mohamed Regraga.

Le secteur du transport urbain dans ces villes commence à connaître une amélioration significative dans la mesure où le nombre de bus est passé de 320 à 398, a-t-il précisé lors de la session ordinaire du Conseil de la ville de Rabat pour le mois de février.

Concernant le volet social dans ce secteur, M. Regraga a souligné que des efforts ont été déployés pour apporter une aide à 900 employés, ajoutant que 400 milliards de centimes ont été débloqués sous forme de don social à cette catégorie.

Une nouvelle qui fera plaisir aux habitants de cette région !

Source : Mooja

Liban : remplacement de 20 000 taxis par des véhicules hybrides

S'exprimant à l'occasion d'un colloque scientifique portant sur les changements climatiques, organisé dans la Lebanese American University (LAU), le ministre de l'environnement a indiqué que le Liban compte remplacer 20 000 taxis par des véhicules plus propres et construire 41 barrages afin d'augmenter ses ressources hydrauliques à 825 millions de mètres cubes.

Auparavant, le Dr. Ahmed Houry avait présenté un rapport sur les changements climatiques, indiquant que l'année 2005 était plus chaude en raison de l'effet de serre provoquée par les différent Roger occasionné par les activités humaines, citant notamment le cas du dioxyde de carbone, du méthane et des différents chlorofluorocarbones. 

L'enseignant avait notamment accusé la Chine d'être la nation qui occasionne plus de rejet de ce type. Il a également rendu hommage à l'Europe et plus particulièrement à l'Allemagne pour le respect des conventions signées à Kyoto.

Abordant un impact lui-même les effets du réchauffement climatique, Houry a annoncé une hausse de 3,5° des températures dans le monde, hausse occasionnant une grave pénurie d'eau au Moyen-Orient et une montée de la mer de 3 mm par an. Le Liban pourrait plus particulièrement connaître les effets de la sécheresse.

Le ministre de l'environnement Mohammed Rahal a de son côté plaidé en faveur de la sensibilisation de la société libanaise dans la lutte contre le réchauffement climatique, soulignant que le Liban n'est pas un pays producteurs de gaz à effet de serre ainsi que les pertes occasionnées par les changements climatiques à l'économie libanaise notamment dans les secteurs du tourisme, de l'agriculture, et de la santé.

Le ministre a ainsi prédit une perte de 565 millions de dollars au niveau de l'économie libanaise, avant d'aborder les différents projets qui seront mis en place au Liban.

Un plan de remplacement de 20 000 taxis par des véhicules hybrides serait ainsi prochainement mis en place. Une unité de surveillance des changements climatiques, organisme de coordination interministérielle, sera également mise à la disposition du premier ministre.

Mohammed Raha a également annoncé la suppression des droits de douane  pour les certains produits luttant contre l'effet de serre.

Le représentant du ministère de l'énergie et des ressources hydrauliques, Tayyar Abdo, a de son côté expliqué l'impact du réchauffement climatique sur les ressources d'eau.

Constatant « le chaos actuel et la demande accrue »,  ainsi que l'absence d'un plan stratégique de gestion des ressources hydrauliques, Abdo a annoncé la construction prochaine de 41 barrages qui compléteront celui déjà achevé à Chabrouh, afin de stocker 825 millions de mètres cubes.

Ce programme sera également complété par la mise en place d'un centre Libanais pour l'économie des énergies en coopération avec le PNUD et les ministères concernés.

Source : Libnanews

Algérie : Création d'une E.P de transport urbain avant la fin 2010 à El Oued

Le ministre des Transports, M. Amar Tou, a annoncé hier, la création d'une entreprise publique de transport urbain dans la wilaya  d'El-Oued, "avant la fin 2010".         

L'opération s'insère dans le cadre d'un vaste programme d'amélioration  des prestations du transport urbain ciblant 27 wilayas, qui devront bénéficier,  cette année, d'entreprises de même nature, a indiqué le ministre qui inspectait  la tranche située sur le territoire de la wilaya d'El Oued du projet de voie  ferrée reliant Biskra et Touggourt (wilaya de Ouargla).         

M. Tou a signalé, en outre, l'engagement de la Société nationale des  véhicules industriels (SNVI) à livrer la flotte d'autobus aux wilayas concernées,  soit 30 bus chacune, avant la fin 2010, ou au plus tard en 2011.         

S'agissant du développement du transport ferroviaire, il a fait état  d'un objectif de réalisation de 6.000 km de voies ferrées, devant permettre  le transport, au terme du quinquennat actuel, de plus de 83 millions de passagers,  à échelle nationale.         

Le ministre a, lors de sa tournée de travail dans la wilaya, inspecté,  dans la région de Stil (160 km au nord d'El-Oued), le projet de voie ferrée  traversant, sur 94 km, le territoire de la wilaya d'El Oued.         
M. Tou a affirmé aussi que les travaux des différentes phases du projet  de la ligne ferroviaire Biskra- Touggourt devront être achevés à la fin de l'année  en cours.         

Ce projet, long de 210 km, dont un tronçon de 97 km a été achevé, a bénéficié  d'un investissement de 13,5 milliards dianrs.         

Le ministre s'est ensuite rendu dans la région d'El-Meghaier (140  km ouest d'El Oued) ou il s'est enquis du fonctionnement d'une unité de fabrication  de matériel ferroviaire.

Source : El Moudjahid