MARKETING - MEDITERRANEE

Alstom fournira les rames du futur tramway de Casablanca

Le groupe français Alstom a remporté l'appel d'offre international pour la fourniture du matériel roulant et la maintenance du futur tramway de Casablanca, a annoncé vendredi Casa Transport SA, qui gère les transports de la capitale économique du Maroc.

Le contrat se monte à 2,7 milliards de dirhams (environ 225 millions d'euros) et porte sur la fourniture de 37 rames d'une longueur de 65 mètres chacune, ainsi que sur la maintenance de ce matériel pendant une période de 15 ans.

Deux autres constructeurs -l'espagnol CAF et l'italien Ansaldo Breda- étaient en lice mais la proposition d'Alstom était plus avantageuse que celle de ses concurrents, a-t-on précisé de même source.

La première ligne de tramway, longue de 30 km, reliera les principaux quartiers de la ville et comptera 49 stations. Quelque 250.000 voyageurs pourront être transportés chaque jour.

La livraison de la première rame est prévue pour novembre 2011, pour une mise en service en décembre 2012.

Les travaux de construction de cette première ligne ont été entamés en mai dernier avec la phase de déviation des réseaux d'eau, d'électricité et des lignes téléphoniques.

Casablanca est la capitale économique du royaume et concentre la majorité des grandes entreprises marocaines. Lors du dernier recensement, en 2004, Casablanca comptait 3,6 millions d'habitants, l'équivalent de 12% de la population du Maroc.

Alstom, dont le président pour le Maroc est Thierry de Margerie, avait déjà remporté le contrat pour la fourniture des rames du futur tramway qui reliera Rabat, la capitale, à sa ville-dortoir, Salé, en 2010.

Deux lignes seront en service l'an prochain, sur une distance cumulée de 19,5 kilomètres.

Le choix d'un même fournisseur de matériel roulant pour les tramways de Casablanca et Rabat-Salé va permettre de développer des synergies entre les deux projets, a-t-on souligné chez Alstom.

Toujours dans le domaine du ferroviaire, Alstom a commencé la livraison de 20 locomotives électriques de grande puissance et de nouvelle génération à l'Office national des chemins de fer marocains (ONCF).

Dans le domaine des trains à grande vitesse, le groupe français va faire, dans les prochaines semaines, une offre pour la fourniture du matériel roulant en vue d'une commande début 2010.

Le Maroc et la France ont signé en 2007 un protocole d'accord pour la réalisation d'une ligne TGV entre Tanger (nord) et Casablanca.

Source : RomandieNews

Tunisie : le premier salon de la franchise du 10 au 12 décembre 2009

Dans le cadre de la promotion du secteur de la franchise dans la zone méditerranéenne La Chambre de Commerce et d’Industrie de Tunis organise, en collaboration avec l’Association des Chambres de Commerce de la Méditerranée (Ascame),et en partenariat avec l'Union Tunisienne de l'Industrie, du Commerce et de l'Artisanat (UTICA), la 1ère édition du Salon de la Franchise baptisé «Tunis-MedFranchise » et ce, du 10 au 12 Décembre 2009 au siège de l’UTICA.

Cet événement regroupera un nombre important d’entreprises méditerranéennes de tous les secteurs, et sera un lieu d’échanges et de partenariats favorisant les relations directes entre les franchiseurs et les franchisés ainsi que la sélection de leurs futurs partenaires.

TUNIS-MEDFRANCHISE permettra à plusieurs entreprises d’accéder à une notoriété acquise, et de bénéficier d’un savoir faire, d’un concept, d’une marque ou d’une enseigne.

Parallèlement au volet exposition, «Tunis- MedFranchise» comportera des workshops sur les avantages de l’investissement en Tunisie : incitations fiscales, encouragements à la création de projets innovants qui seront animés par d’éminents experts.

M. Mounir Mouakher, président de la CCIT a souligné, lors d’une conférence de presse tenue, mardi à Tunis, que ce salon permettra à plusieurs entreprises d’accéder à une notoriété acquise et de bénéficier d’un savoir faire, d’un concept et d’une marque ou d’une enseigne.

Source : Babnet Tunisie

Manouba (Tunisie) : Démarrage des préparatifs de la réalisation d'une ligne ferroviaire rapide

Les préparatifs de la réalisation de la ligne ferroviaire rapide qui reliera Barcelone (Tunis ville) au gouvernorat de La Manouba vont bon train.

Ce projet s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du programme de développement des réseaux de transport collectif dans la région du Grand Tunis.

Les premières opérations consistent en l'élaboration des études techniques et foncières. Le coût global est estimé à un million de dinars.

Il convient de préciser que la ligne Barcelone-Manouba- Gobâa s'étend sur une longueur de 11 km 300 mètres.

Source : Investir en Tunisie

Lancement des premiers travaux de l’usine Renault à Tanger-Med : Quel est l’engagement financier de Renault ?

C’est dans la zone franche industrielle de Melloussa à Tanger que le constructeur automobile français Renault a lancé, la semaine dernière, les travaux de construction de sa nouvelle usine ainsi que du Centre de formation aux métiers de l'automobile.

Ce projet, d'un investissement de 1,1 milliard d'euros, comporte une usine d'assemblage située sur un terrain de 314 ha de la Zone économique spéciale de Tanger-Med.

Il est relié à la plate-forme portuaire de Tanger-Med et bénéficie des infrastructures logistiques de pointe développées dans le nord du pays, qui permettront à l'Alliance Renault Nissan de disposer de l'un des complexes industriels automobiles les plus importants du bassin méditerranéen.

L'installation de l'usine Renault Tanger-Med s'opère en étroite collaboration avec l'Agence spéciale Tanger-Med (TMSA), qui apporte une aide efficace pour les aménagements du port et du site industriel.

La phase du terrassement du site de Melloussa est presque terminée. L'usine comprendra des ateliers d'emboutissage, de soudure, de peinture et d'assemblage général ainsi qu'un centre d'expédition logistique.

Le site sera opérationnel début 2012, avec une capacité de production de 30 véhicules par heure, soit 170 mille véhicules par an, pour arriver à terme à une capacité de 400.000 véhicules par an, générant 6.000 emplois directs et 30.000 emplois indirects.

Mais en attendant, il est important quand même de constater que le montage financier de ce projet, du côté de chez Renault en particulier, reste une grande énigme.

D’ailleurs, l’annonce de l’entrée de la BEI dans la liste des organismes financiers du projet Renault à Tanger suscite des remous. Normal, diront beaucoup, puisque depuis le début de l’année en cours, le constructeur français Renault ne fait que rassurer sans pour autant annoncer officiellement sa part financière dans l’usine portant pourtant son nom…mais à Tanger !

Dans le même ordre d’idées, il est quand même important de rappeler qu’après avoir obtenu une contribution financière des banques marocaines d’une bagatelle de 800 millions de DH, les Français de Renault ont cédé 47% de leur part dans l’usine de Tanger-Med à Fipar-Holding du groupe CDG.

Aujourd’hui avec l’arrivée de la BEI qui a mis à la disposition du constructeur français une bagatelle de 200 millions d’Euro, les doutes se confirment: Renault ne souhaite pas, conjoncture internationale oblige, s’engager financièrement à Tanger-Med…

Source : la Nouvelle Tribune

Alstom remporte le Tramway de Casablanca

Après Rabat, la société Alstom Transport France remporte son deuxième marché au Maroc. En effet, et suite à un appel d’offres international, le constructeur français a été déclaré, jeudi 12 novembre, adjudicataire du marché relatif à la fourniture et la maintenance du matériel roulant de la première ligne du tramway de Casablanca.

L’opération porte sur l’acquisition d’un parc de 37 rames de 65 mètres de long chacune, pour un montant de 2 milliards de DH. La deuxième prestation vaut 695 millions de DH et concerne la maintenance du matériel pendant une durée de 15 ans.

Ainsi, l’offre du groupe français porte sur un montant total d’environ 2,7 milliards de DH. Selon Casa Transport, société maître d’ouvrage du projet, «l’offre financière d’Alstom était la moins-disante». «Elle s’élève à 225 millions d’euros dont 65% portant sur un crédit concessionnel avec des conditions avantageuses», est-il ajouté.

A noter qu’Alstom Transport France est un des leaders mondiaux dans les infrastructures d’énergie et de transport ferroviaire, ainsi que dans le système de véhicules légers sur rails et les tramways, avec plus de 1.000 véhicules de ce type en circulation à travers le monde.

Représentée dans plus de 70 pays, la société est présente dans le Royaume depuis plus de 40 ans, via sa filiale Alstom Maroc, basée à Casablanca et à Rabat.

Pour rappel, la première ligne du tramway de Casablanca reliera les principaux quartiers de la ville sur une distance de 30 km et à travers 49 stations. Aussi, elle permettra de transporter quotidiennement 250.000 voyageurs.

Le tramway offrira, donc, aux Casablancais une solution de transport urbain écologique, rapide et économique. «Nous voulons faire du tramway un partenaire quotidien indispensable à l’activité urbaine et au développement de la ville», indique Youssef Draiss, directeur de Casa Transport.

De ce fait, le plus grand challenge, non seulement pour le maître d’ouvrage, mais également pour les autorités locales, est de réduire le nombre d’agréments, notamment ceux des grands taxis dont le parc est complètement délabré et qui sont souvent source d’accidents et aussi d’embouteillages.

Une condition cependant: offrir aux citoyens un tramway rapide, ponctuel et accessible à un prix raisonnable. Quant aux gênes occasionnées par les travaux de ce grand projet, plusieurs mesures ont été adoptées, afin d’organiser la circulation aux abords des chantiers et d’en limiter les tracas.

Un plan de déplacement a été, ainsi, élaboré pour maintenir la fluidité du trafic et garantir la sécurité des citoyens. A ce propos, les travaux de la première ligne ont été lancés depuis mai 2009. Ils concernent la déviation des réseaux et la levée des contraintes

Le planning du projet prévoit la livraison de la première rame en novembre 2011 pour une mise en service en décembre 2012.

Après le lancement (en juin dernier) de l’appel d’offres relatif à l’achat du matériel roulant du tramway de Casablanca, cinq constructeurs mondiaux avaient retiré le cahier des charges: Alstom Transport (France), Caf (Espagne), Bombardier Transport (Canada), Siemens Transportation (Allemagne) et Ansaldobreda (Italie). Parmi eux, trois ont présenté des offres.

Suite à l’ouverture des plis, qui s’est déroulée le 1er octobre, l’italien Ansaldobreda a été écarté après l’étude des offres techniques.

Restaient, donc, en compétition le français Alstom et l’espagnol Caf. Les offres financières de ces derniers étaient, dit-on, très «proches». Et c’est, finalement, celle du constructeur français qui a été jugée la plus avantageuse.

Source : 1Stactu

Les autoroutes de la mer « West Med » jouent les prolongations

L’appel à projets autoroutes de la mer en Méditerranée occidentale joue les prolongations. Les opérateurs, qui avaient jusqu’au 15 novembre pour y répondre, ont désormais jusqu’au 31 décembre 2009 pour déposer leur candidature.

L'appel à projets a été lancé par Malte (notre photo), la France, l'Italie et l'Espagne. (Photo CMA CGM)

Source : Econostrum

Le Maroc envisage une révision des prix des médicaments

Une nouvelle instance gouvernementale doit être instaurée pour négocier les prix des médicaments, selon un récent rapport d'une commission du parlement marocain.

[Siham Ali] Les Marocains paient d'une façon générale leurs médicaments trop cher, selon un récent rapport d'une commission parlementaire qui se déclare favorable à des mesures de changement.

Les médicaments sont trop chers au Maroc, et la responsabilité de la fixation des prix doit être retirée au ministère de la Santé, selon le rapport récemment publié par une commission parlementaire.

Pour rendre les médicaments plus abordables, leur prix devrait être fixé par une nouvelle instance gouvernementale, explique ce rapport publié le 3 novembre. Cette organisme serait composé de représentants du ministère de la Santé, des sociétés d'assurance santé, des organismes professionnels et du Conseil de la Concurrence.

Les auteurs de ce rapport indiquent que les médicaments de marque sont en général plus chers au Maroc que dans d'autres pays. Les prix en Tunisie peuvent être de 30 à 189 pour cent inférieurs à ceux pratiqués au Maroc, et la France propose des médicaments de marque à des prix de 20 à 70 pour cent moins élevés.

Au Maroc, le prix d'un même médicament peut varier de manière importante, selon la société qui le fabrique (une différence pouvant parfois atteindre 600 pour cent) et l'endroit où il est vendu (une différence de 300 pour cent).

Bien qu'ils soient moins chers que les médicaments de marque, les médicaments génériques sont également plus chers au Maroc qu'en Tunisie ou en France, selon ce rapport. Néanmoins, la majorité des Marocains achètent les médicaments les plus chers, dans la mesure où ils sont ceux qui sont souvent prescrits par les médecins.

Yasmina Baddou, ministre de la Santé, reconnaît que les procédures de fixation des prix des médicaments sont dépassées et doivent être revues.

La commission parlementaire recommande également que l'AMO, l'un des principaux systèmes de couverture médicale du Maroc, ne rembourse plus les clients qui achètent les médicaments les plus chers.

La commission, qui enquêtait sur le prix élevé des médicaments depuis le mois de février dernier, s'est également dite très favorable à la promotion des médicaments génériques pour abaisser le coût des ordonnances.

Selon le parlementaire Reda Benkheldoune, la responsabilité de ce coût élevé incombe à l’industrie pharmaceutique et aux procédures définies par l’Administration pour la fixation des prix des médicaments au Maroc.

Il qualifie ce problème de "véritable problématique vu que pour la population non couverte par l’assurance maladie, le prix de ces médicaments est tellement élevé qu’ils en deviennent inaccessibles".

"Pour la population couverte par les régimes d'assurance maladie, les systèmes de couverture médicale AMO et RAMED risquent, à moyen terme, de ne plus pouvoir supporter le coût de ces médicaments", ajoute ce parlementaire.

Le président de l’Association marocaine de l’industrie pharmaceutique Ali Sedrati explique que les fabricants s'engagent à baisser les prix. Mais "il faut mettre en place bon nombre de mesures pour encourager le secteur", ajoute-t-il.

"Soixante-dix pour cent des médicaments vendus au Maroc sont fabriqués localement", explique-t-il. "Si l'on agit sur la consommation en améliorant l’accès aux soins et à l’assurance maladie obligatoire et si l'on définit des règles du jeux claires, les prix baisseront."

"Si on arrive à doubler le volume de consommation, les prix seront inférieurs de 30 pour cent", affirme-t-il.

Le rapport demande également aux parlementaires marocains de s'inspirer du modèle tunisien pour créer un modèle viable de fixation des prix.

"La Tunisie a adopté une politique du médicament qui a permis la baisse des prix en se basant principalement sur un système de centralisation des achats", explique ce rapport, qui cite l'exemple tunisien d'instances gouvernementales centralisées pour négocier des prix "raisonnables" par l'achat de médicaments en grandes quantités et par l'incitation faite aux fournisseurs par le biais d'appels d'offres.

Source : Magharébia

Libye : Vinci sur les rails du futur métro de Tripoli

Gros contrat estimé à deux milliards d’euros où Vinci, Alstom et Systra sont actuellement sur les rangs pour la réalisation de ce métro.

Les autorités libyennes devraient choisir début 2010 le groupe qui doit réaliser la première ligne du métro de Tripoli.

Le directeur exécutif du projet du métro de Tripoli , Abdallah Elmiladi, a affirmé que le projet du métro représente un réseau intégré reliant Tripoli et ses banlieues de plus de 100 km.

Ce réseau dessert Janzour à l’ouest, Tajoura vers l’est, l’aéroport de Tripoli, Gasr Ben Gachir au Sud et le centre-ville au nord.

La capitale Tripoli est considérée comme une mégalopole du point de vue administratif et compte plus d’un million d’individus .

Elle s’étend de l’Est à l’Ouest sur plus de 60 km et du Nord au Sud sur plus de 30 km, mais manque de moyens de transport collectifs.

Elle concentre la majorité des activités commerciales et économiques ce qui a poussé la plupart des habitants de la Libye à s’y installer.

Source : DubaiFrance

Des sociétés françaises intéressées par le marché libyen de l'électricité

Neuf des plus importantes compagnies électriques françaises ont présenté des propositions aux responsables de l'énergie libyens à Tripoli mardi 10 novembre, a fait savoir l'agence ANSA.

Les produits destinés au réseau de transfert et de distribution dans le pays comprennent des solutions d'énergie non polluantes et des sous-stations électriques.

Source : Magharébia

Promotion des zones industrielles en Tunisie

Le développement du rendement industriel passe aussi par l’amélioration des infrastructures industrielles. D’où, l’importance de la maintenance.

C’est dans ce cadre que s’est organisé mercredi, à Tunis, le forum sur les zones industrielles, à l’initiative de l’agence de coopération allemande GTZ, en collaboration avec le ministère de l’industrie, de l’énergie et des petites et moyennes entreprises, où le projet lancé en 2008, pour une durée de 6 ans, concernant 82 zones industrielles réalisées par l’Agence foncière industrielle (AFI), et 39 aménagées par les municipalités, a été à l’ordre du jour.

Le projet est financé par le ministère allemand de la coopération économique et du développement en collaboration avec le ministère de l’industrie, de l’énergie et des petites et moyennes entreprises, et consiste en l’engagement d’une réflexion au profit de la promotion des zones industrielles en Tunisie.

Il est à rappeler que sa création a été prévue par la loi de janvier 1994, pour prendre en charge la gestion des zones industrielles. En présence d’experts nationaux et internationaux, le débat est axé sur la recherche de nouvelles approches innovatrices dans le domaine de gestion des zones industrielles.

De ce fait, le projet mise sur le renforcement des capacités de gestion durable des zones industrielles, l’augmentation du nombre d’entreprises engagées dans les activités des Groupements de Maintenance et de Gestion( GMG), l’ accroissement du nombre de zones industrielles dotées de GMG, et de l’organisation des rencontres régulières entre les GMG afin de débattre de leurs préoccupations et de leurs méthodes de travail.

Le rôle des Groupements de Maintenance et de Gestion (GMG), dont la principale tâche est d’entretenir «durablement» les infrastructures, ainsi que d’offrir aux industriels implantés dans le périmètre de sa zone, des services innovateurs, a aussi été signalé lors de ce forum.

Cependant, il est à constater que ces groupements seraient confrontés à des difficultés liées notamment à la faiblesse de l’adhésion des entrepreneurs, et à l’absence de spécialisation dans les zones industrielles.

Le Forum a également permis de faire le point sur la promotion des zones industrielles et de leur gestion en France, au Yémen et au Ghana.

Il est à savoir que l’aménagement de zones industrielles est de nature à répondre à la demande croissante des opérateurs économiques, tunisiens et étrangers.

Source : InfoTunisie