MARKETING - MEDITERRANEE

Un nouveau centre de formation maritime va naître en Tunisie

Dominique Bussereau, secrétaire d’Etat chargé des transports, a annoncé la mise en place d’un partenariat franco-tunisien en vue de la création d’une école de la marine marchande à Radès.

Le futur établissement formera à la fois des navigants dans les secteurs de la plaisance, de la pêche et de la navigation de commerce.

Le gouvernement français apporte son soutien à cette structure à hauteur de 2 millions d’euros.

Il a également confié à l’Afpa la formation des futurs enseignants.

Ce sont 600 étudiants et un millier de salariés en formation continue qui devraient sortir chaque année de cet établissement.

Source : GREP.com

Les Israéliens ont investi "100 millions de dollars" dans les green tech en 2008

Dans un article intitulé “les PME green tech poussent comme des champignons”, le magazine Capital cite IsraelValley au sujet des investissements israéliens dans les start-up vertes.

“Comme au temps des pionniers de l’Internet, les Américains mènent la danse, avec près de 5 milliards de dollars apportés à des start-up vertes l’an passé, essentiellement dans le solaire, les biocarburants et les solutions pour économiser l’énergie.

Les Européens sont aussi dans la course (environ 1,5 milliard de dollars), et sur des créneaux différents : l’éolien, la gestion des déchets, les batteries…

Quant aux Israéliens (plus de 100 millions de dollars de financements l’an passé, selon une enquête Israel Valley), ils privilégient le solaire photovoltaïque et le traitement de l’eau.

Et la crise ne ralentit pas cet afflux d’argent : selon le cabinet Ernst & Young, il y en aura toujours autant cette année, alors que les start-up de l’Internet et des biotechnologies vont souffrir.”

“…le business vert a déjà ses jeunes prodiges, comme Shaï Agassi. Cet Israélien de 40 ans était l’un des dirigeants de SAP, le numéro 1 mondial du logiciel pour entreprise, quand il a tout quitté pour lancer, fin 2007, un projet qui pourrait révolutionner l’industrie automobile.

Basée à Palo Alto, au cœur de la Silicon Valley, sa start-up Better Place entend mettre en place la logistique permettant d’imposer la voiture électrique : un réseau de bornes pour «faire le plein» d’électricité et surtout des stations-service d’un genre nouveau, où l’automobiliste pourrait rapidement changer une batterie à plat.

Deux ans après avoir créé son entreprise, Agassi a déjà amassé 200 millions de dollars pour financer cet ambitieux dessein. Il a aussi conclu des accords avec les gouvernements israélien et danois pour construire ses deux premières installations.

Gage supplémentaire de crédibilité, Renault-Nissan s’est engagé à proposer à la location, à compter de 2011, des voitures électriques compatibles avec le système conçu par Better Place, équipées de batteries d’une autonomie de 160 kilomètres.”

Source : IsraelValley

Ouverture aujourd’hui au Sheraton du 59ème congrès de neurochirurgie

La Société algérienne de neurochirurgie (SANC) organise à partir d’aujourd’hui et jusqu’au 18 mai 2009 à l’hôtel Sheraton, le 59ème Congrès de la Société de neurochirurgie de langue française (SNCLF).

Plusieurs thèmes sont retenus, comme les pathologies vasculaires (chirurgie et traitement endovasculaire), l’hypophysaire, la chirurgie fonctionnelle et stéréotaxique (Parkinson et mouvements anormaux, douleur, épilepsie…), la neuroendoscopie ainsi que la pathologie rachidienne traumatique et dégénérative.

D’autres axes concernent la traumatologie crânio-encéphalique et la neurochirurgie pédiatrique. De nombreux participants d’Europe (Suisse, Belgique, Allemagne, Roumanie, France), des Amériques (Etats-Unis, Canada, Argentine), d’Afrique (Sénégal, Guinée) et du Maghreb (Maroc, Tunisie et Mauritanie) sont attendus.

Source : La Tribune

La rocade méditerranéenne, la voie du développement du nord du Maroc

La rocade méditerranéenne, longeant les villes de Tanger à Saïdia sur une longueur de 510 km, constitue un axe structurant à fort impact sur le développement économique et social du nord du Maroc et réduira le temps de trajet entre les deux villes de 11 à 7 heures en améliorant très sensiblement les conditions de confort et de sécurité des usagers de la route.

Nécessitant des investissements de l'ordre de 5,7 milliards de dirhams, la rocade méditerranéenne est composée de huit tronçons allant de 30 à 120 km. Six tronçons sont déjà achevés, à savoir Tanger-Ksar Sghir (30 km), Ksar Sghir- Fnideq (30 km), autoroute Fnideq-Tétouan, Ajdir-Ras Afrou (84 km), Ras Afrou- Ras Kebdana (92 km) et Ras Kebdana-Saïdia (20 km).

Le tronçon El Jebha-Ajdir (103 km) sera opérationnel vers la fin de l'été prochain, alors que le dernier du projet Tétouan-El Jebha (120 km) sera mis en service fin 2011.

L'importance du réseau routier a été soulignée par Feu SM Hassan II lors d'une réunion que le regretté Souverain avait présidé et qui était consacrée au développement économique du nord.

"Tant que nous n'aurons pas construit de nombreuses routes dans le Rif, il ne s'épanouira pas car les routes sont comme les veines et les artères. Partout où elle existe, la route donne lieu à une activité intense et bénéfique ", avait affirmé Feu SM Hassan II lors de cette réunion.

L'envergure du projet, lancé en 1997, et qui traverse les provinces de Tanger, Tétouan, Chefchaouen, Al Hoceima, Nador et Berkane, ainsi que sa complexité dans un environnement naturel difficile font de lui un projet pas comme les autres, ce qui a nécessité plusieurs études faisant appel à une multitude de disciplines. L'objectif premier étant d'assurer à la rocade les caractéristiques d'une route d'un niveau de service élevé tout au long de son tracé.

Le projet de cette grande rocade devrait mettre en valeur les potentialités de tout le littoral. D'un point de vue touristique, ses sites naturels, maritimes ou montagnards sont comparables à ceux qui ont fait la réussite des côtes espagnoles voisines.

Le littoral recèle aussi d'importantes ressources halieutiques, avec des perspectives d'augmentation notable, par la mise en place de nouveaux abris côtiers rationnellement reliés entre eux. Grâce à l'implantation stratégique des ports de Tanger et de Nador à ses deux extrémités, son développement industriel pourrait lui aussi, être considérablement optimisé par la mise en service de la rocade.

En somme, la rocade est un projet structurant qui s'inscrit dans une stratégie de développement du Nord. Elle permet de faciliter l'accès de la population aux ressources naturelles, aux équipements sociaux, aux services et aux marchandises.

Selon les prévisions du ministère de l'Equipement et des Transports, la rocade permettra d'améliorer les conditions de vie d'environ 3 millions d'habitants, de relier 6 provinces et plus de 40 communes, de gagner 4 heures en temps de parcours entre Tanger et Saïdia, de desservir plus de 200 km de plages, de générer 80.000 places hôtelières et de créer 50.000 emplois directs et près de 200.000 emplois indirects.

La rocade méditerranéenne devrait également atténuer les déséquilibres territoriaux, induire un déplacement progressif des populations vers la côte et permettre la concentration de la population dans des petits noyaux urbains sur le bord de la route.

Source : Biladi

Santé: Interdiction de fumer dans les lieux publics en Libye

Le comité populaire général libyen a adopté une loi interdisant la cigarette dans les lieux publics ainsi que la publicité sur le tabac et ses dérivés ou sa promotion directe ou indirecte dans tous les médias du pays.

La loi, qui a été promulguée mercredi soir, porte interdiction de toutes les formes de publicité et de promotion des produits du tabac et de ses dérivés sur la voie publique, les aéroports et les lieux publics et utilisation des noms, marques et enseignes incitant à la consommation du tabac.

L'article 4 de la loi interdit la fabrication de produit portant les appellations de produits de tabac ou ses dérivés à l'instar des vêtements, des casquettes, des chaussures, des jeux d'enfants, des équipements scolaires et l'importation ou la fabrication de tout produit sous n'importe quelle forme de tabac ou qui portent des noms de marque de cigarettes ou leurs dérivés.

La loi oblige aussi les établissements de fabrication ou d'importation du tabac ou de ses dérivés d'inscrire des avertissements indiquant que "le tabagisme est nocif et altère la santé" sur les boîtes ou tout autre emballage utilisé pour ces produits.

Elle interdit de fumer dans les lieux publics, notamment les services de Santé comme les hôpitaux, les centres de Santé, les polycliniques, les cabinets médicaux, les centres de réhabilitation et les pharmacies et dans les secteurs publics et privés, les lieux de vente des produits alimentaires destinés à la consommation humaine, les endroits fermés à l'intérieur des cafés, les restaurants, les parcs, les hôtels et les centres scientifique comme les universités, les instituts, les écoles, les bibliothèques publiques, les institutions publiques, centre, offices et bureaux d'administration publique.

La cigarette est également interdite dans les endroits fermés abritant des activités sociales, culturelles, sportives, dans les marchés, les magasins de commerce, les aéroports, les ports, les postes frontaliers terrestres et maritimes, les stations de passagers et les aérogares de tous les types de transport public aussi bien privé que public ainsi que dans les installations industrielles et centres de formation.

Les représentants du ministère public et les chefs des services sont chargés de la mise en oeuvre de cette loi, qui interdit aussi l'octroi d'autorisation de vente de tabac dans les cafés, les restaurants opérant à l'intérieur des services sanitaires, les hôpitaux, universités, centres scientifiques et les services d'administration publique.

Elle interdit aussi la vente du tabac et de ses dérivés aux personnes âgées de moins de 18 ans et la vente de cigarettes en détail ou dans de petites boîtes.

La vente de tabac et de ses dérivés est également prohibée, dans tous cas de figure, dans les endroits qui ne lui sont pas destinés et la loi stipule qu'une distance de 500 mètres doit séparer un bureau de tabac et le plus proche établissement d'enseignement, clubs sportif et social.

Source : Afriquenligne

# Charte euro-méditerranéenne pour l'entreprise : la Tunisie en bonne posture

La Commission européenne et l’Agence de promotion de l’industrie ont tenu ce jeudi 14 mai 2009 à Tunis une réunion en vue de livrer les résultats de l’évaluation de la mise en œuvre de la Charte euro-méditerranéenne pour l’entreprise, et plus particulièrement le cas de la Tunisie.

Démarrée en février 2008 et clôturée en avril de la même année, l’évaluation a porté sur : cadre institutionnel de la politique de l’entreprise, cadre de consultation entre le secteur public et privé, l’information, simplification administrative, enregistrement de société, accès au financement, accès aux marchés et innovation.

Pour ce qui est du cadre institutionnel de la politique de l’entreprise, et sur une échelle de 1 à 5, la Tunisie dépasse la barre des 3, soit un peu moins qu’Israël et l’Egypte, mais en bonne position par rapport au Liban, la Jordanie, la Syrie et l’Algérie.

Il est souligné à ce niveau une approche à la fois pragmatique et dirigiste, et une stratégie de développement à moyen terme bien définie.

Au chapitre de la consultation entre secteur public et secteur privé, l’on remarque qu’elle est fréquente et institutionnalisée, que l’UTICA est consultée à travers le processus législatif, mais que dans une prochaine étape il faudrait développer des mécanismes communs de contrôle de la mise en œuvre de la politique, sachant que dans ce chapitre c’est encore Israël, l’Egypte et même le Maroc qui devancent la Tunisie.

Dans le cadre d’une information claire et ciblée, on se réjouit du grand nombre de portails et de sites Webs en place, du portail API qui est bien adapté pour les entrepreneurs et assez détaillé, mais des contraintes de consultation dues à l’accès limité à l’Internet par les micro-entreprises.

C’est probablement sur la question de la simplification administrative que les choses piétinent un peu : on remarque qu’est encore en cours la simplification administrative, que le RIA (analyse coût/bénéfices) n’est pas encore en place, mais qu’en revanche, 80% des autorisations administratives sont remplacées par les prescriptions générales (ou cahier de charges).

La Tunisie brille néanmoins au chapitre de l’enregistrement de société, sachant que c’est le premier pays dans la région MED à expérimenter l’approche «guichet unique OSS», que ces guichets uniques, au nombre de 14, constituent un bon réseau, que l’inscription en ligne est possible, mais qu’il va peut-être falloir développer les guichets uniques en une base de données des entreprises.

En ce qui concerne l’accès au financement, on reconnaît à la Tunisie la diversité des instruments de financement et l’instauration de lois sur la faillite et le crédit-bail, mais on lui reproche la timidité, sinon l’absence, d’un système d’enregistrement des actifs mobiliers qui constitue un point fort en Israël, de même que la micro-finance dont brille le Maroc.

Autre atout pour la Tunisie : l’accès aux marchés qui fait qu’elle est parmi les plus avancées dans la région MED en termes d’intégration du commerce (accords de libre-échange régionaux et avec l’UE), qu’elle a un niveau avancé de la simplification des procédure d’import/export, sauf que le guichet unique virtuel n’est pas encore en place, mais un très bon fonctionnement de l’organisme de promotion des exportations (CEPEX).

En matière d’innovation, on salue le palier élevé des dépenses sur la recherche et le développement (1,25% du PIB en 2009), une main-d’œuvre qualifiée et des liens université-industrie, des pépinières dans les établissements d’enseignement supérieur, six technopoles et trois en cours, mais reste pour la Tunisie le défi consistant à attirer plus de financement du secteur privé.

Source : WebManagerCenter

Maroc : Vers la production de 1200 mégawatts d’énergie éolienne à l’horizon 2012

Le Maroc ambitionne d’inscrire le développement des énergies renouvelables comme priorité nationale, et a misé sur l’élaboration de sa propre stratégie énergétique.

Il s’agit en fait d’une stratégie qui consiste à atteindre 20% d’électricité produite à partir des énergies renouvelables d’ici 2012, avec 500 mégawatts de capacité installée à partir de l’énergie solaire et 1200 mégawatts à partir de l’éolien qui reste le potentiel le plus prometteur et le plus élevé du monde.

Une réflexion a été en effet menée par le ministère du commerce et des nouvelles technologies pour la création de la Kyoto Parc, un site dédié aux entreprises du secteur de l’énergie à Oujda.

La création de ce site entre dans le cadre d’attirer des investissements pour la fabrication notamment des lampes, des panneaux photovoltaïques et des pales de moteurs pour l’éolien.

Source : Developpement Export Consulting

La Tunisie aura désormais son Ecolabel

La norme « Ecolabel tunisien », un concept qui se place au-dessus de la norme écologique classique ISO 14001, a été lancé, mercredi, à Tunis. La nouvelle norme, calquée sur le modèle européen, a pour avantage de garantir et de donner une plus value aux produits et services respectueux de l'environnement, produits très prisés par le consommateur européen en particulier.

Avec le lancement de cette norme, au cours d'un séminaire organisé à cet effet, le ministère de l'Environnement et du développement durable, moyennant un cofinancement de la Commission européenne et l'assistance de l'agence de coopération technique allemande (GTZ), entame la mise en place d'un Ecolabel tunisien.

A travers ce projet, le gouvernement tunisien s'est engagé à mettre en place les bases institutionnelles réglementaires et juridiques nécessaires à l'instauration et à la reconnaissance internationale de l'Ecolabel Tunisien et à assurer son fonctionnement.

L'Ecolabel présente une bonne incitation aux opérateurs économiques pour contribuer à la protection de l'environnement par l'adoption d'une gestion visant l'optimisation de l'utilisation des ressources naturelles et le recours aux bonnes pratiques environnementales. Ceci engendrera une réduction de la consommation en eau, en énergie et une minimisation de la pollution sous toutes ses formes. Les secteurs prioritaires ciblés dans une première phase, textile, l'agroalimentaire et le tourisme.

Intervenant, le ministre de l'Environnement et du développement durable, M.Nadhir Hamada a indiqué que l'Ecolabel consiste en une certification facultative de la qualité des produits et services. Elle définit avec précision les spécificités des produits et leur degré de conformité à un ensemble de normes techniques et écologiques.

Il a ajouté que le lancement de l'Ecolabel tunisien permet aux produits locaux de s'adapter aux normes et restrictions exigées de plus en plus à l'entrée des marchés internationaux, particulièrement, du marché de l'Union européenne.

Il a rappelé que la pérennité des échanges commerciaux avec l'union européenne (+83 %) exige des 2700 entreprises exportatrices tunisiennes de se conformer à cette nouvelle norme.

Il a fait état de la disposition de son ministère à leur apporter l'assistance nécessaire pour assurer l'efficacité requise en matière de mise à niveau environnementale.

Le ministre a annoncé qu'un laboratoire de conformité biologique sera crée dans les prochains jours au Centre international des technologies de l'environnement de Tunis (CITET). Ce laboratoire a pour principale mission de contrôler la conformité de la qualité des produits tunisiens aux standards internationaux.

Il a également fait savoir que l'Institut national de la normalisation et de la propriété intellectuelle(INNORPI) a reçu pour nouvelle mission, l'octroi de cette nouvelle norme environnementale, tout en veillant à assurer l'échange d'expertises avec les structures internationales spécialisées dans le domaine.

Des conventions en vertu desquelles une quinzaine d'entreprises opérant dans les domaines de l'hôtellerie, du textile et de l'agriculture biologique, s'engagent à adopter de nouvelles pratiques de production respectueuses de l'environnement, ont été signées à cette occasion.

Source : BusinessNews

Casablanca : Première édition du salon international de l’eau

Le premier salon international de l'eau au Maroc aura lieu du 20 au 24 mai à Casablanca.

La première édition du salon international de l'eau «Eau Expo et Forum de l'eau» sera tenue, du 20 au 24 mai au Parc d'exposition de Casablanca, indique un communiqué de presse publié mardi 12 mai.
Initiée par l'Association marocaine de l'eau potable et d'assainissement (AMEPA) et l'Agence Medcom, cette manifestation se veut une plate-forme biennale incontournable de la rencontre des industriels, experts et opérateurs mondiaux du secteur de l'eau, précise le communiqué.

Plus de dix pays seront présents à cette édition notamment le Maroc, la France, l'Espagne, l'Italie, la Belgique, les Pays Bas, la Tunisie, la Turquie, les Emirats Arabes Unis et le Cameroun.

Au programme de ce salon figurent des expositions culturelle, artistique et de matériel de produits et de services, des forums scientifiques ainsi que des conférences notamment sur « La gouvernance et la gestion du secteur de l'eau », « La réutilisation des eaux usées » et « L'eau et la santé ».

Source : La Vie Eco

Tunisie : La demande en eau potable atteindra 600 millions de m3 d'ici 2030

Des prévisions officielles font état d'une demande d'eau potable urbaine et rurale de l'ordre de 600 millions m3 par an à l'horizon 2030.

 Les calculs se basent sur un accroissement de 2,5% de la consommation urbaine et de 1,8% dans le monde rural, et aussi sur une amélioration du rendement du réseau de distribution qui devrait atteindre 90% en 2030, contre 74% en 1996. En 2007, la demande en eau potable a atteint 348 millions m3.

 Le volume de production d'eau potable avait atteint 453 millions m3, dont 18,2 millions m3 par dessalement.

Source : les Afriques