MARKETING - MEDITERRANEE

Tunisie : Les réfrigérateurs « classe 4 » interdits à l'importation à partir de 2009

Peu importe si les cours du brut chutent au-dessous des 60 dollars ou grimpent au-desss de 147 dollars, la rareté des ressources énergétiques et la frénésie de la demande aussi bien à l'échelle internationale que nationale dictent la poursuite du programme national de la maîtrise de l'énergie.

Rationalisation de la consommation d'énergie et promotion des énergies renouvelables sont les principaux axes du programme triennal. Les secteurs, les entreprises et les produits grands consommateurs d'énergie font l'objet d'un suivi particulier visant la réduction de 2 millions TEP (tonnes équivalents pétrole) ses consommations d'énergie à l'horizon 2011.

En Tunisie comme ailleurs, les réfrigérateurs  sont classés parmi les produits les plus consommateurs d'énergie. En France par exemple, les réfrigérateurs et les congélateurs consomment annuellement 2 fois plus d'électricité que l'ensemble du réseau T.G.V. En Tunisie, la réfrigération constitue 41% de la facture énergétique tunisienne et enregistre une progression annuelle permanente de 8%.

Une telle image révèle clairement le coût élevé de la consommation des réfrigérateurs qu'ils soient à usages domestique ou industrilel, qui se répercute directement sur la facture d'électricité. Laquelle tout naturellement s'embrase.

D'où l'importance du choix des réfrigérateurs qui doivent satisfaire aux normes énergétiques en vigueur. Les appareils sont classés de 1 à 6. Plus on se rapproche du chiffre 1, plus la consommation électrique devient faible.

Afin de rationaliser la consommation d'énergie des réfigérateurs et congélateurs, la commercialisation et l'importation des réfrigérateurs classe 4 seront interdites en Tunisie  à compter de l'année 2009.

Ainsi et en vertu d'un arrêté conjoint entre le ministre de l'Industrie, de l'Energie et des PME et le ministre du Commerce et de l'Artisanat, l'importation et la commercialisation en Tunisie des réfrigérateurs et des congélateurs combinés de classe énergétique 4 seront interdites à partir de 2009.

Cette mesure qui s'inscrit dans le cadre de l'amélioration de l'efficacité énergétique des réfrigérateurs vise à remplacer progressivement sur le  marché local les appareils énergivores  par des équipements économes en énergie tout en permettant aux industriels de prendre les dispositions nécessaires afin de  s'adapter à cette mesure.

L'interdiction de la commercialisation des réfrigérateurs de classe 4 permettra  de réaliser annuellement des économies d'énergie de 220 GWh .

Cette mesure s'inscrit dans le cadre du programme de maîtrise de l'énergie visant le tassement de l'intensité énergétique de 300 kg au moins  d'ici 2011.

Consommateurs et ménages n'ont d'alternative que de s'aligner sur ce genre de mesures. Mais faut-il encore espérer une réduction du coût de la consommation de l'électricité ?.

Source : TunisieAffaire

Accord au sujet de l’exploitation de la nappe albienne

L’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS) est arrivé à mettre en place, pour la première fois, un plan à même de pérenniser les ressources hydriques souterraines partagées entre l’Algérie, la Tunisie et la Libye.

Appelé système aquifère, il s’agit d’une réserve d’eau considérable mais peu renouvelable et non exploitée dans sa totalité. Pendant de longues années, les trois pays l’exploitaient à leur guise, sans plan précis, ce qui a fini par constituer un facteur de discorde.

Un accord vient d’être signé par les trois pays pour un meilleur suivi de cette manne d’eau, a indiqué récemment le ministre algérien des Ressources en eau, M. Sellal, lors de la cérémonie d’ouverture de la 9e édition de la réunion du comité d’orientation stratégique de l’OSS.

L’accord, qui n’a pas encore été rendu public dans le détail, se veut une solution à la problématique de l’exploitation des nappes sahariennes par les trois pays en question, de manière à répondre également aux besoins des autres pays subsahariens.

Le système aquifère saharien désigne la superposition de deux principales couches aquifères profondes : la nappe albienne, la plus profonde, et le complexe terminal.

Ce système recouvre une étendue de plus de 1 million de km2. Environ 700.000 km2 se trouvent en Algérie, 80.000 en Tunisie et 250.000 en Libye.

Ce nouveau plan vise essentiellement à assurer le maximum de prélèvement d’eau pour un meilleur développement de la région, sans pour autant dégrader irrémédiablement l’état de cette ressource.

Il s’agit d’un bon modèle, extrêmement important et valable pour les autres pays, a expliqué le ministre à propos du plan arrêté entres les trois pays.

 La réunion de l’OSS qui se clôture aujourd’hui s’est également penchée sur la question de l’eau dans les pays membres et la démarche à adopter pour lutter contre la désertification et préserver les ressources hydriques.

Source : WebManagerCenter

La SIPHATE ambitionne d’accentuer son activité d’exportation

La Société des industries pharmaceutiques de Tunisie (SIPHAT), ambitionne de réaliser en 2009 un chiffre d'affaires de 42,3 millions de dinars, soit une hausse par rapport aux prévisions tracées pour 2008, lesquelles portent sur  41 millions de dinars.

La Société des industries pharmaceutiques de Tunisie table  en effet sur la consolidation du volume de ses exportations par l’augmentation du volume d’investissement en 2009, pour atteindre 4,1 millions de dinars, dont 3,1 millions de dinars seront consacrés à la consolidation des capacités de production et l’accès à de nouveaux marchés.

Au cours d’une rencontre avec la presse, tenue tout récemment à Tunis, M.Maher Kammoun, PDG de la Siphat a indiqué que l'entreprise devra, au cours de l'année prochaine, renforcer son réseau de partenariat avec les fabricants de médicaments, effectuer le relooking de certains produits pour l'exportation en Afrique subsaharienne et de mettre en oeuvre sur le marché 5 nouveaux produits.

Selon les statistiques, en 2007, le volume des exportations a atteint 2,441 millions de dinars, soit une croissance de 178,95%.

Pour l’année en cours ,le secteur a exporté, au cours du premier semestre, pour un montant de 2,456 millions de dinars contre 1,156 million de dinars au cours de la même période de 2007, soit une augmentation de 112,37%.

Le chiffre d’affaires de la société représente 13,67% du chiffre d’affaires global du secteur des industries pharmaceutiques au plan national. Elle met sur le marché 5 nouveaux médicaments par an et, fabrique elle-même 84 % de ces produits par ses propres moyens et 16 % sous licence.

Par ailleurs, le secteur de l'industrie pharmaceutique ayant un potentiel de croissance important et sur du long terme la Tunisie vient de développer de nouvelles industries afin d'impulser l'exportation des médicaments à savoir ;les médicaments génériques, les bio-médicaments et les phyto-médicaments.

Source : Audinet

Autoroute Est-Ouest : Le tracé de la jonction avec la Tunisie n’a pas été modifié

Le tracé de la jonction entre la section algérienne de la Trans-maghrébine et celle de la Tunisie n’a pas été changé d’un iota, sa conception initiale a été maintenue et le restera.

Le tracé de la jonction entre la section algérienne de la Trans-maghrébine et celle de la Tunisie n’a pas été changé d’un iota, sa conception initiale a été maintenue et le restera.

C’est en ces termes que M. Amar Ghoul, ministre des Travaux publics a apporté un niet catégorique aux informations ayant circulé récemment faisant état d’un éventuel changement de l’itinéraire de l’autoroute Est-Ouest au niveau des frontières est.

« On ne peut pas opérer des changements sur un coup de tête, car il s’agit d’une convention signée par nos deux pays », souligne M. Ghoul.

Interrogé sur la question, il précisera qu’un point de jonction sera réalisé à titre temporaire en attendant que la partie tunisienne avance dans son projet d’autoroute.

Ainsi, c’est la CW110 d’El Tarf qui fera office de jonction entre l’autoroute Est-Ouest et le futur tracé de l’autoroute tunisienne « ce chemin sera réhabilité pour servir de point de jonction », précise M. Ghoul.

Cette modernisation de la CW110 est suivie de près par l’Observatoire national pour la promotion de l’environnement dont le siège est établi à El Taref qui veille, souligne-t-on, sur le respect et la préservation de l’environnement immédiat.

Source : El Moudjahid

Des spécialistes tunisiens créent un test de diagnostic précoce de la maladie d' Alzheimer

Tunisia Online rapporte, lundi 13 octobre, qu' un groupe de neurologues et de neuropsychiatres tunisiens ont développé un nouveau test capable de fournir un diagnostic précoce de la maladie d'Alzheimer.

Cette découverte progressiste, qui a été faite à l'issue de quatre ans de recherche, a été présentée lors d'une cérémonie qui s'est tenue vendredi à Tunis, organisée pour marquer la journée mondiale de la santé mentale.

Source : Magharébia

La Banque Tunisienne lance trois nouveaux crédits «écolo»

La Banque de Tunisie offre désormais trois nouveaux crédits «verts», avec des financements appropriés à des taux préférentiels pour les particuliers comme pour les entreprises désirant s’équiper pour réduire la facture énergétique et s’engager dans des projets de développement durable, et ce, à la faveur du Salon de la création d’entreprises et du 2e Salon des services bancaires et de la monétique.

Le premier crédit, BT Energie, destiné aux ménages, finance l’acquisition et l’installation d’appareils de chauffage (chauffe-eau solaire, chauffe-eau combiné gaz naturel-électricité), l’installation et le raccordement au réseau du gaz naturel, l’achat d’équipements portant étiquetage énergétique (Anme 1,2 et 3), l’acquisition de matériaux et produits d’isolation thermique, etc. La BT offre des conditions avantageuses pour un financement sans apport personnel allant jusqu’à 5.000 DT et une durée de remboursement jusqu’à 60 mois avec 3 mois de grâce.

Quant au crédit BT Ecolo, il est destiné aux entreprises qui souhaitent créer ou développer des projets dans le domaine de l’environnement, ou entreprendre au sein même de leurs activités industrielles ou agricoles des actions spécifiques de développement durable couvrant la protection de l’environnement. Il finance l’acquisition d’équipements de dépollution, la gestion des déchets et leur valorisation, l’utilisation de technologies propres.

Enfin, le crédit BT Energio, positionné économie d’énergie et destiné lui aussi aux entreprises, finance l’audit énergétique, la cogénération, la production de l’électricité à partir d’énergies écologiquement propres, la substitution de l’énergie par le gaz naturel, l’isolation thermique, etc.

La BT apporte son assistance rapprochée dans l’étude des projets, un financement pouvant aller jusqu’à 85% des coûts. Un délai de remboursement étendu jusqu’à 12 ans, avec une période de franchise pouvant atteindre 3 ans.

Source : GlobalNet

Stations de traitement des eaux industrielles: Six nouvelles station

Les stations de traitement des eaux usées industrielles sont réparties dans plusieurs régions et assurent un travail important dans la mesure où elles ne permettent pas au milieu réceptif d’être pollué par une eau usée qui a des impacts négatifs sur les ressources naturelles.

 A la faveur d’une réglementation mise en place par l’Etat, la mobilisation des moyens humains et matériels conséquents, en plus des encouragements et incitations aux industriels, le souci du développement durable est aujourd’hui partagé par nombre d’industriels.

L’une des stations d’envergure est celle qui se trouve à Ben Arous. La station de traitement des eaux industrielles de Ben Arous (Step) permet un traitement chimique.

Elle est opérationnelle depuis 2001 avec une capacité de traitement chimique de 500m3/j alors que celle du traitement biologique(BA) est de 5.000 m3/j.

Deux types de déversement des eaux industrielles dans la Step de Ben Arous :

- raccordement direct à un réseau spécifique transféré directement vers la station,

- transport des eaux industrielles vers la station dans des camions par des transporteurs agréés.

La station a été conçue pour traiter les eaux usées relevant d’un certain nombre d’activités, à savoir les imprimeries (20), le traitement de surface (8), l’agroalimentaire (3), le textile (5).

En 2007, la station a traité les rejets de 42 unités industrielles dont 30 unités raccordées directement à la station par un réseau spécifique et 12 unités dont le rejet est transporté par camion. 2.700 m3/j sont traités et 5.300 m3/j de boues.

Le rendement épuratoire est de 95%, alors que le rendement énergétique est de 3,11 kwh.

Ainsi, grâce à cette station, les entreprises ne déversent pas dans le milieu réceptif une eau usée et polluée qui peut avoir des conséquences fâcheuses sur le milieu naturel.

Le développement durable est ainsi consacré puisque les entreprises continuent à produire conformément à leurs programmes sans pour autant porter atteinte à l’environnement.

Une prise en charge des stations par le secteur privé

 Rappelons, d’une façon générale, les principaux programmes durant la décennie 2007-2016 consistant en la réalisation de 6 stations industrielles dans 5 zones qui sont Oued El Bey, Moknine, Sfax, Utique, Enfidha et El Fejja.

Un programme d’économie d’énergie dans les stations d’épuration sera appliqué, en plus du changement des systèmes actuels d’aération de surface d’une dizaine de stations d’épuration par des systèmes à fines bulles (moins énergivores).

Il est question aussi d’assurer la méthanisation des boues des stations d’épuration pour la production d’énergie électrique à partir de bio-gaz destinée à satisfaire partiellement les besoins en énergie de ces stations. L’exploitation des stations d’épuration sera prise en charge par le secteur privé, soit 60 stations en 2016.

Au programme également, l’extension et la réhabilitation de 22 stations d’épuration, l’élaboration des études et la réalisation des travaux d’extension et de réhabilitation de 10 autres stations d’épuration.

La conception, la construction, le financement et l’exploitation des stations d’épuration d’El Allef et d’El Attar 2 sont également programmés. Il est prévu d’exploiter les stations d’épuration Sud Meliane II et de Choutrana II, ainsi que de la station d’épuration d’El Attar I.

La réalisation de 40 nouvelles stations d’épuration dont 3 dans la région du Grand-Tunis (environ 170.000 m3/j), 20 stations dans les villes côtières et 17 stations dans les villes de l’intérieur figurent sur la liste des projets futurs.

Source : DEV-Export

L'entreprise et l'Union pour la méditerranée : Approches pour un nouvel Avenir

Autour de la Mer Méditerranée, la question au cœur du débat cette année est : « quel sera l'avenir de la proposition française pour la création d'une Union pour la Méditerranée ? »

L'idée du projet a suscité l'approbation de la plupart des parties concernées, la différence de points de vue, réside essentiellement dans l'approche, la méthodologie et le planning qui seront adoptés.

La nouvelle donne laisse les entreprises de la région se confronter à la fois à la récession de l'économie mondiale, l'augmentation des prix des matières premières, la concurrence asiatique et à l'impératif de réussir leurs adaptations aux changements en terme de marchés et de facteurs influençant leurs compétitivités.

Ainsi plus la mondialisation se consolide, plus les pays reconnaissent la nécessité de l'intégration et plus on s'oriente vers la signature d'accords consacrant la constitution de groupements régionaux qui couvrent désormais l'ensemble des continents.

L'une des rares régions n'ayant pas encore réalisé l'intégration des économies des pays qui la constituent, demeure, malheureusement, la Méditerranée.

Tel est le contexte dans lequel se dérouleront, à Port El Kantaoui, les 27 et 28 novembre  2008, les Journées de l'Entreprise 2008, sur le thème :

«L'entreprise et l'Union pour la méditerranée : Approches pour un nouvel Avenir»

Une première séance concernera les différentes manières d'appréhender l'Union pour la Méditerranée.

Cette Union se fera-t-elle par des projets structurants, regroupant ainsi les différents pays de la région sur des thèmes fédérateurs nécessitant la cohésion de tous, tels que l'énergie, l'eau et l'environnement.

La deuxième approche proposée est  celle de la création d'institutions fortes qui tenteront d'accélérer la mise en œuvre de l'union et de rapprocher les différents efforts déployés. (Par exemple, la création de la banque Méditerranéenne de développement).

Le rôle de l'Europe dans ce projet, la question du calendrier de mise en œuvre seront débattus lors de cette première session.

La deuxième séance étudiera la possibilité de réussir cette union par l'intégration des marchés et le rapprochement des opérateurs et ce en facilitant la circulation des capitaux autour de la méditerranée.

La mise en place progressive et réfléchie d'accords de libre échange pour la méditerranée et le renforcement du partenariat et du développement de projets multilatéraux dans la région constitueront les éléments essentiels pour la réussite de ce projet.

Pour y arriver, une approche graduelle sera discutée ainsi que le choix de politiques sectorielles adaptées pour des domaines stratégiques pour la méditerranée tels que les nouvelles technologies, le tourisme, l'agriculture ou le textile.

Source : Audinet

Situation et perspectives du transport maritime des marchandises

La situation et perspectives de promotion du transport maritime des marchandises dans un contexte d'ouverture de la Tunisie sur l'espace européen a été au centre d'une rencontre organisée, vendredi, à Tunis, par le journal "l'Expert" avec la participation de tous les intervenantes dans le secteur.

Le transport maritime assure 98% des échanges commerciaux de la Tunisie, soit environ 30 millions de tonnes, qui transitent par sept ports :La Goulette, Bizerte, Radés, Sousse, Sfax, La Skhira, Gabès et Zarzis.

Il s'agit là de ports de première génération, peu profonds. Malgré l'importance des échanges commerciaux, la part de la Tunisie dans leurs transport ne dépasse pas 8%.

Elles est assurée par la Compagnie Tunisienne de Navigation (CTN) et les compagnies maritimes privées, alors que 92% du transport maritime des marchandises est assuré par les flottes étrangères. La Tunisie n'assure qu'entre 1 à 2 % du transport des solides et des liquides en vrac.

M.Mokhtrar Rachidi, directeur de la marine marchande a affirmé que le développement du transport maritime de par le monde constitue une opportunité importante que la Tunisie se doit d'exploiter à bon escient en mettant une stratégie cohérente pour le développement de ce secteur, évoquant la création d'une nouvelle génération de ports en eaux profondes à l'instar du port d'Enfidha.

Le participants à cette rencontre ont soulevé plusieurs questions relatives à la complexité des démarches douanières outre les obstacles entravant le dédouanement des marchandises.

Ils ont, en outre, évoqué les stratégies arrêtées pour intégrer les autoroutes maritimes et développer le transport multimodal.

Source : DEV-Export

Tunisie - Transport : Des investissements de plus de 28 MD à Gabès

Trois grands projets dans le secteur du transport sont en cours de réalisation dans le gouvernorat de Gabès.

Le premier projet porte sur la construction de l'aérogare des voyageurs à l'aéroport de Gabès-Matmata, dont le coup d'envoi a été donné, le 22 décembre 2007, par le Président Ben Ali, lors de sa visite dans la région.

D'une capacité d'accueil de 200.000 voyageurs par an, ce terminal, dont le coût s'élève à 5,5 millions de dinars (MD) comporte un hall, un salon d'honneur, un espace d'enregistrement, une salle d'embarcation, un pavillon administratif, en plus des locaux commerciaux et d'un parking.

Le second projet qui nécessite une période de 4 mois, concerne le curage du port commercial de Gabès moyennant un investissement de 22 MD.

Ce projet permettra d'extraire 2,5 millions de m3 de sable et d'améliorer les conditions d'accostage des grands navires dont le nombre s'élève à 700 par an.

Le troisième projet porte sur l'aménagement et l'extension de la Gare des chemins de fer de Gabès moyennant un investissement d'un million de dinars à travers la construction d'une consigne à bagages, de locaux commerciaux, d'une salle d'attente et de bureaux administratifs, outre la réhabilitation de l'environnement extérieur.

Source : Audinet