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L' ORT ISRAËL FORMERA DES ELEVES EN FRANCE ET EN EUROPE EN NANOTECHNOLOGIE

Succès exceptionnel donc pour l’ORT qui va former à la nanotechnolgie des élèves et enseignants européens. Comme chef de file l’ORT va préparer du matériel pédagogique qui sera utilisé par plus de 30 000 élèves dans 400 écoles en Europe, dont la France.

Les experts de l’ORT ont remporté le contrat avec la participation de Cambridge University.

Une institution française, associée au consortium mené par l’ORT fait également partie des vainqueurs.

Le projet sera mis en place en Belgique, France, Danemark, Autriche, Espagne.

Le projet est baptisé NANOYOU et sera donc lancé au printemps 2009, vise à informer les jeunes sur les nanotechnologies dans l’UE.

L’objectif du projet NANOYOU est d’encourager la participation des jeunes Européens aux dialogues sur les aspects éthiques, légaux et sociaux des nanotechnologies.

Pour ce faire, NANOYOU propose des expositions, des jeux informatiques innovants, des expériences en ligne et d’autres activités. Les activités sont en rapport avec les trois sujets principaux : la médecine, l’environnement et l’énergie, ainsi que les technologies de l’information et de la communication.

L’ORT FRANCE est une institution d’éducation et de formation à caractère privé.

SELON LE SITE WEB : “Ouverte à tous, elle accueille élèves et étudiants qui acceptent son caractère propre et le règlement intérieur de ses établissements, ses collèges et ses lycées sous contrat d’association avec l’Etat, ses centres de formation continue agréés par le Ministère du Travail formant un réseau implanté dans les grandes villes.

Elèves, étudiants et stagiaires préparent à l’ORT des diplômes de l’enseignement général, technologique ou professionnel : du brevet des collèges au baccalauréat et jusqu’au BTS. Beaucoup de diplômés poursuivent leurs études dans l’enseignement supérieur.

Les adultes trouvent à l’ORT des formations orientées sur l’accès ou le retour à l’emploi. Des stages de formation continue permettent aux salariés de développer leur employabilité.

L’ORT est aussi le seul établissement juif en France où existe une classe préparatoire aux grandes écoles d’ingénieurs comme Polytechnique, les Mines ou Centrale”.

Source : IsraelValley

ELBIT SYSTEMS a fini son opération d’acquisition de Kinetic Systems pour 110 millions de dollars en cash

Elbit Systems devra payer 8 millions de dollars supplémenaires, à condition que Kinetic Systems affiche des résultats pour 2009 conformes aux prévisions.

Elbit Systems possédait préalablement plus de 51% des parts du fabricant israélien de systèmes de contrôle environnemental.

Elbit Systems a d’abord acquis 34% de Kinetic Systems en 1998, et a ensuite levé l’option pour augmenter sa participation à 51% en 2000.

La société Kinetic est une filiale de la société US Real-Time Laboratories LLC.

Kinetic Systems produits des systèmes de contrôle climatiques, biologiques et chimiques ainsi que des systèmes de protection pour les véhicules de combat.

Il développe et fabrique également des systèmes hydrauliques, de carburant, de freinage et des systèmes de suspension, pour les véhicules terrestres, ainsi que des systèmes hydrauliques pour avions.

Les principaux clients de Kinetics sont en Israël, en Europe et aux États-Unis. La société est basée à proximité de l’aéroport Ben Gourion, à l’extérieur de Tel-Aviv.

Source : IsraelValley

En Israêl, la production d'eau dessalée va augmenter de 25% dès l'année prochaine

Le Trésor vient de signer un protocole d’accord avec les opérateurs des trois usines de dessalement de l’eau de mer qui fonctionnent actuellement en Israël.

Objectif: accroître la quantité d’eau potable produite par dessalement de 25% par an, soit 57 millions de mètres cubes supplémentaires. Au total, Israël produira alors 300 millions de m³ d’eau potable dessalée d’ici à la fin 2010.

L’accord a été signé avec les trois sociétés de dessalement qui opèrent en Israël: Véolia, Maris et H2ID.

Véolia a construit et exploite l’usine de dessalement d’Ashkelon; il s’agit de la plus grande usine au monde de dessalement d’eau de mer utilisant la technologie membranaire d’osmose inverse.

Sa capacité de production actuelle est de 108 millions de m3 d’eau potable par an.

Maris, qui a construit l’usine de Palmahim, et le consortium israélien H2ID, qui a fabriqué et qui exploite les installations de désalinisation de Hédéra, se sont aussi engagés à accroître leur production d’eau potable de 25% d’ici à l’année prochaine.

Parallèlement à l’accroissement de la production des installations existantes, le Ministère israélien des Finances a lancé un appel d’offres pour la construction d’une nouvelle usine de dessalement à Sorek, d’une capacité annuelle de 150 millions de m³.

Selon le contrat de type BOT qui lie l’Etat d’Israël aux producteurs d’eau potable, le Trésor israélien rachète l’eau produite au tarif fixe de 2,6 shekels le m³

Source : IsraelValley

Une soixantaine d’entreprises françaises emploient près de 4 000 salariés en Israël

Les exportations israéliennes vers la France progressent. Israël exporte essentiellement des produits technologiques et de télécommunication, des métaux et des produits métalliques, ainsi que des produits chimiques.

La place des entreprises françaises continue à se renforcer en Israël. Au total, on recense une soixantaine d’entreprises françaises, qui emploient près de quatre mille salariés.

Les sociétés israéliennes sont également bien représentées en France dans des secteurs aussi variés que l’Aéronautique (Israel Aircraft Industries), la Pharmacie (Teva), l’Alimentation (Yarden, Agrexco), les Télécommunications (Comverse, Alvarion, ECI Telecom) et l’Informatique (CheckPoint, Aladdin).

Le département commercial à l’Ambassade d’Israël en France, directement relié au Ministère du Commerce et de l’Industrie israélien, ainsi qu’aux différents organismes officiels, tels que le Bureau du Chief Scientist, Israel Export Institute et la MAI (l’équivalent du Medef en Israël) est un interlocuteur privilégié.

Il représente en France tous les niveaux de décisions et tous les secteurs économiques, ce qui permet d’organiser des délégations françaises ou des visites sur mesures pour des groupes français en Israël.

Il organise des rendez-vous one-on-one, comme par exemple en février, au Mobile World Congress de Barcelone, où nous fixons environ 200 rendez-vous entre les sociétés israéliennes de téléphonie mobile et les opérateurs, les équipementiers et les intégrateurs français.

Source : IsraelValley

Israël manque d’eau

Israël est l’un des pays les plus menacés au monde par la pénurie d’eau : Israël est cette année au bord de l’assèchement, et ce en dépit des pluies récemment tombées.

L’eau représente désormais en Israël une urgence nationale. Israël pompe un tiers de ses besoins en eau dans le lac de Tibériade.

Problème : le niveau de celui-ci ne cesse de baisser et l’eau pompée est ainsi de moins en moins potable.

Le risque, c’est de voir cette réserve d’eau se transformer à son tour en "Mer morte", qui pourrait elle disparaître d’ici quelques dizaines d’années.

Face à ce risque de pénurie, Israël va devoir abandonner ou revoir certaines activités.

A commencer par les cultures d’agrumes, particulièrement gourmandes en eau.

En augmentant au besoin le prix de l’eau pour les consommateurs.

Sans oublier l’industrie de l’armement, particulièrement polluante pour les nappes phréatiques.

A titre de comparaison, les réserves d’eau naturelle en Israël sont estimées à 276 m3 par an et par habitant. Contre 1.261 dans le Liban voisin ou 3.439 en France.

Source : Israël Magazine

CARDIOVENTURES cherche à compléter un tour de financement d'Angels de $1 million.

Cardio Ventures est un “Business Accelerator” basé a Jérusalem qui se concentre sur la création d’entreprises dans le domaine des diagnostics et des instruments médicaux.

CardioVentures a récemment lancé sa première entreprise: LeukoDx.

LeukoDx a le but de développer des instruments de cytométrie de flux portable et miniaturisés basés sur une technologies financée par la NASA et développée au California Institute of Technology (Caltech) pour laquelle ils ont acquis les droits.

Le développement est basé en Israël, LeukoDx cherche actuellement à compléter un tour de financement d’Angels de $1 million avec un ticket d’entrée de $50,000.

La technologie permet d’apporter une technologie complexe normalement basée sur des instruments de laboratoires complexes et coûteux ($50,000 à $200,000 par instrument) au chevet des malades et là où le besoin se fait sentir.

La première application a pour objectif de donner des réponses rapides au médecins pour la septicémie et la deuxième pour faire le suivi des malades du SIDA dans le tiers-monde.

CARDIOVENTURES a été créé en 2008, avec trois partenaires très expérimentés, par Julien Meissonnier, un ressortissant français, résidant en Israël depuis dix ans, .

Source : IsraelValley

Les technologies innovantes au service de l'eau en Israël

L'accès à l'eau dans le monde est très inégal.

L'approvisionnement en eau et la sécurisation des ressources sont devenus de véritables enjeux, parfois politiques. De nombreux pays disposent d'ailleurs d'un ministère de l'eau.

Et parfois la technologie vient compenser le manque des ressources. C'est le cas en Israel.

Territoire très aride mais aussi très agricole qui consomme énormément d'eau pour son irrigation. Tellement que ses réserves n'y suffisent plus.

L'Etat a donc investi dans des projets de recyclage des eaux usées et de déssalinisation qui fournissent aujourd'hui 40% des eaux d'irrigation.

Ronid Golovatim est la chef du département eau et environnement de l'Israeli export international corporation institut

"Aujourd'hui nous avons le plus grand programme de désalinisation du monde aux prix les plus bas. C'est seulement 60 cents le m3 pour désaliniser ce qui est peu. nous recyclons aussi les eaux usées.
C'est-à-dire traiter ces eaux d'une certaine manière pour qu'elles conviennent à l'irrigation sans aucun risque pour la santé, pour l'environnement. Aujourd'hui 75% des eaux usées sont recyclées en Israel pour l'irrigation. Nous sommes les premiers dans le monde.Le second c'est l'Espagne avec seulement 12%."

Une technologie encore chère mais qu'Israel entend amortir en l'exportant.

Source : FréquenceTerre

CLASSEMENT MONDIAL ET CELLULES SOUCHES : les chercheurs israéliens sont classés à la deuxième place

Les scientifiques israéliens qui travaillent dans la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines (hESC) sont parmi les meilleurs au monde dans ce domaine.

Le Professeur Joseph Itskovitz-Eldor du centre médical Rambam et du Technion à Haïfa, est l’un des meilleurs chercheurs israéliens sur les hESC.

D’après une étude réalisée en 2006 par la compagnie StemCells, spécialisée dans ces recherches, les chercheurs israéliens sont en deuxième place derrière leurs homologues américains en ce qui concerne le nombre d’articles publiés sur les cellules souches jusqu’à la fin de l’année 2005, largement devant le Royaume Uni, la Corée, la Chine, Singapour, l’Australie, la Suisse et le Canada.

Deux des quatre “meilleurs articles sur les hESC” publiés dans les journaux scientifiques ont été écrits par le Professeur Binyamin Reubinodd de l’Université du centre médical Hadassah de Jérusalem. Les deux autres ont été rédigés par le Professeur Itskovitz-Eldor et le Dr Shoulamit Levenberg du Technion.

Israël a réussi à occuper cette place de choix pendant des années car le gouvernement n’a émis aucune restriction sur la recherche, en dehors d’une interdiction de l’utiliser pour le clonage humain.

Cette politique a été permise par la Loi juive qui est très ouverte à ce sujet et encourage d’ailleurs de telles recherches qui ont le potentiel de sauver des vies. Pour le judaïsme, la vie ne commence pas au moment de la conception, surtout lorsqu’elle a lieu in vitro, mais seulement lorsque l’embryon a 40 jours et qu’il est à l’intérieur de l’utérus.

La cellule souche (ou cellule indifférenciée) est une cellule qui, d’une part, peut donner des cellules spécialisées par différenciation cellulaire et, d’autre part, peut virtuellement se renouveler indéfiniment.

Les cellules souches font l’objet de beaucoup de recherches notamment en vue de régénérer des tissus, voire de créer de toute pièce des tissus et organes. Dans un futur proche, les cellules souches pourraient servir à soigner des maladies cérébrales telles que la maladie d’Alzheimer.

Source : IsraelValley

Une start-up israélienne primée par l’ILSI (Israel Life Science Industry).

Une attaque cardiaque transforme votre vie ! Non comme un nouveau régime ou un nouveau mode de vie … les patients doivent arrêter de fumer, commencer à faire du sport, consulter un médecin au moins une fois par semaine pour mesurer leur vitesse de coagulation.

Cette visite hebdomadaire chez le médecin devient vite une contrainte et les études montrent que la plupart des patients l’abandonnent dès qu’ils se sentent un peu mieux.

Selon leur destinée, ils n’auront pas de nouvelle attaque. Toutefois, ces études démontrent que plusieurs patients reviennent au point de départ … une nouvelle attaque voire l’aggravation de leur état.

Actuellement, une start-up israélienne primée en 2008 par l’ILSI (Israel Life Science Industry) et l’Institut d’Export développent un appareil qui rendrait l’examen hebdomadaire moins contraignant : non seulement sa technologie ne nécessite pas de prélever du sang mais elle permet surtout aux patients de faire le test à domicile.

Les attaques et autres maladies cardiaques sont souvent provoquées par le blocage des artères qui empêchent le sang de drainer le cerveau. L’embolie et la thrombose, deux causes majeures associent un problème de coagulation.

Lorsque les vaisseaux deviennent trop étroits pour permettre aux caillots ou au sang coagulé de passer (l’artériosclérose durcit les artères), le risque d’attaque augmente de manière significative. Si elle se produit, le système cardio-vasculaire ralentit et dans la plupart des cas, n’en supportera pas une deuxième.

Pour les médecins, le besoin immédiat porte sur la prévention de la seconde attaque et puisque la « remise en état » artérielle nécessite à la fois effort et temps, la plupart d’entre eux optent pour un traitement qui donnera des résultats immédiats (prescription de diluants sanguins) qui n’empêcheront pourtant pas la seconde attaque, à haut risque si la coagulation bloque les artères.

Et ce phénomène est astucieux : si la dose est insuffisante, le sang – trop épais – risque de provoquer un incident thrombotique. Trop fluide, il peut déclencher une hémorragie. D’où l’importance de surveiller la vitesse de coagulation des patients.

C’est ce que s’efforce d’assurer l’écran de contrôle de coagulation d’Elfi-Tech, en cours de validation par les autorités médicales européennes puis ultérieurement par la FDA.

Le Dr Ilva Fine, qui dirige l’entreprise, assure qu’il s’agit d’un dispositif d’avenir : le patient acceptera plus facilement la routine du contrôle s’il peut s’en accommoder plus aisément. D’abord, à domicile et surtout, sans prélèvement sanguin.

C’est la lumière qui va permettre de déterminer la vitesse de coagulation. La méthode de C.P.R. (Circulation Pattern Recovery) utilise une imagerie de contraste lumineux – L.S.C.I. (Laser Speckle Contrast Imaging) déterminant la vélocité du flux sanguin dans les artères par la couleur indiquant si le sang doit être dilué ou non.

Après analyse par de savants algorithmes propres au système de contrôle d’Elfi-Tech, l’information sera transmise au prescripteur du patient (soit en Wi-Fi soit par SMS). Son médecin pourra alors déterminer si le dosage doit être modifié ou maintenu.

Ce qui sauvera des vies à plusieurs étapes du processus, révèle le Dr Fine : « Plusieurs patients sont contrôlés mensuellement alors que le corps humain subit des modifications régulières. Les études démontrent qu’un contrôle hebdomadaire réduirait déjà les thromboses de 70 à 90%.

Alors que des patients en état aggravé sont suivis de très près, la plupart des médecins et des hôpitaux sont trop débordés pour instaurer ce rythme. Avec nos écrans, le contrôle se fait par le patient, le médecin dispose de l’information en temps réel sans entraver son planning.

C’est une précision capitale comparée au décalage entre un prélèvement et l’attente ultérieure du résultat d’analyse. » Le Dr Fine pense que le contrôle à domicile relève d’une tendance actuelle déjà en vigueur pour la tension artérielle ou les piqûres d’insuline.

Sans compter la garantie en matière d’hygiène et de prévention puisque d’une part, il n’y a plus de manipulation sanguine mais que l’envoi simultané au médecin évite la tentation de certains patients à s’auto-médicamenter.

Cette entreprise recherche activement des investisseurs : « Vivre plus longtemps, est un concept qui se vendra toujours ! ».

Source : IsraelValley

TRAITEMENT DE CHIMIOTHERAPIE- INNOVATION DE L'INSTITUT WEIZMANN POUR LUTTER CONTRE LE CANCER

Le cancer tue nos proches bien-aimés et détruit plusieurs vies. Malgré les millions dépensés pour la recherche, ce fléau semble nous dépasser … Il semblerait que la chimiothérapie combatte le cancer mais pas tous et pas tout le temps !

Après un traitement, des cellules résistantes peuvent être isolées et se transformer en métastases d’où la question à 1 million de dollars à laquelle une équipe scientifique israélienne de l’Institut Weizmann semble avoir trouvé des éléments de réponse : qu’est-ce qui fait que certaines cellules résistent alors que d’autres sont définitivement détruites ?

Le doctorant Ariel Cohen ainsi que Naama Geva-Zatorsky et Eran Eden, du laboratoire de Biologie moléculaire du Professeur Uri Alon sont parvenus à analyser un millier de cellules de notre corps en les répertoriant à l’issue d’un traitement de chimiothérapie.

Cet outil breveté, récemment mis en avant par la revue américaine Science est inspiré de l’imagerie et de l’analyse des protéines. Il a vocation à devenir l’outil ultime des chercheurs développant les médicaments anti-cancéreux et ceux de la recherche générale.

Selon A.Cohen : « La biologie en tant que discipline scientifique est comme une fenêtre qui vous permet soudain de faire entrer de la lumière dans une maison fermée ».

Pendant que les chercheurs espèrent commercialiser l’outil déjà fort utile pour la recherche fondamentale sur le cancer, ils en attendent une application immédiate pour les traitements pharmaceutiques.

Car cette recherche permet d’étudier les effets directs de la chimiothérapie sur une cellule du corps humain, comment elle l’affecte, l’absorbe et ce qui la rendrait toxique, sans passer par les combinaisons animales ou des composants chimiques.

Ces observations de milliers de cellules donnent des indications sophistiquées pouvant d’ores et déjà être utilisées dans les essais de composants pré-cliniques, ce qui intéresse toute la communauté scientifique au-delà des laboratoires pharmaceutiques, souligne A. Cohen.

A ce jour, la société Yeda relevant de l’Institut Weizmann est en recherche active d’investisseurs pour cette technologie révolutionnaire utilisant un gène fluorescent coloré permettant de capturer des images de cellules dans un espace-temps record pour analyser comment le traitement chimiothérapeutique entraîne instantanément la mort ou la défense de ces cellules.

Il en résulte une bibliothèque de cellules marquées, photographiées croisées de données sur leurs protéines, « véritable mine d’or de matériau fin prêt pour la recherche contre le cancer », selon le porte-parole de l’Institut israélien.

Source : IsraelValley