MARKETING - MEDITERRANEE

Le marché algérien se rétrécit pour l’industrie pharmaceutique méditerranéenne

La facture d’importation des médicaments en Algérie a augmenté de près de 30% en un an, suivant en cela la courbe ascendante des importations en général qui a frôlé les 40 MDS de dollars en 2008.

Pour y remédier, certains médicaments produits localement par au moins deux fabricants sont désormais interdits à l’importation. Plusieurs pays méditerranéens et à leur tête la France sont touchés par cette mesure.

La facture d’importation de médicaments s’est élevée à 1,850 MDS de dollars (18 M€) en 2008 contre 1,447 MDS (14,5 M€) en 2007, soit une augmentation de 27,86% en un an.

Ce chiffre englobe les médicaments conditionnés pour la vente au détail ainsi que ceux qui ne sont pas conditionnés.

Les médicaments ont représenté 28,87% des importations du groupe "biens de consommation non alimentaires" en 2008 contre 27,7% en 2007.

Mais on devrait en toute logique assister à une inversion de tendance au cours de cette année 2009, le Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme (MSPRH) ayant adopté un arrêté, en date du 30 décembre 2008, qui modifie et complète la liste des produits pharmaceutiques et dispositifs médicaux interdits à l’importation dans le cadre d’un premier arrêté pris en date du 30 novembre 2008.

Pour rappel, en 1996 le ministère de la santé et de la population (MSP) instaurait un cahier des charges faisant obligation aux importateurs de médicaments d'investir dans la production dans un délai ne dépassant pas deux ans. Or, en juin 2005, le MSPRH décidait de la suppression de l'obligation d'investir. Puis, revirement en octobre 2008 avec la réintroduction de l'obligation de produire.

Des pertes en perspective pour les laboratoires européens

Cette mesure touchera en premier lieu la France et, dans une mesure moindre, l’Espagne et l’Italie d’où provient l’essentiel des médicaments conditionnés pour la vente en détail.

Ces derniers se chiffrent comme suit en dollars US pour l’année 2008 : la France 697,7 M$, l’Espagne 113,4 M$, l’Italie 107,5 M$, la Grèce avec 16 M$ et enfin le Portugal 1,6 M$.

Certains experts du secteur de l’industrie pharmaceutique estiment que le gain approximatif de la valeur marchande à l'importation rapporté à la part occupée par les produits interdits à l'importation durant l'exercice 2008 se rapprochera des 280 millions d'euros en 2009.

Pour eux, si l'obligation d'investir avait été maintenue et régulièrement appliquée, les importations de produits finis représenteraient moins de 20% de la valeur total du marché algérien des médicaments.

Les capacités de production auraient même dégagé un excédent à l'export en mesure de couvrir les 20% importés, ajoutent-ils.

A moins d'investir dans la production locale, le marché algérien du médicament risque de ne plus être l’un des plus importants de ces laboratoires pharmaceutiques européens, d’autant qu’une campagne nationale de prescription de génériques a été lancée pour éviter d’alourdir les pertes de la sécurité sociale.

Source : Econostrum

Les outils de la traçabilité des médicaments

• idèle à son rôle de passeur au monde de la synchronisation des données et des standards internationaux, GS1 Tunisia, organisme ouvert, référent, neutre et à but non lucratif, a organisé le 03 mars 2009, à La Maison de l’Entreprise, en collaboration avec l’UTICA et la Chambre Nationale de l’Industrie Pharmaceutique, un atelier de sensibilisation sur « la thématique de l’identification, de la codification et de la traçabilité des médicaments », en présence de plusieurs représentants d’organes publics et privés, en charge de la santé des citoyens, à l’instar de l’Institut Pasteur, du Centre National de Pharmacovigilance, du Laboratoire Nationale de Contrôle des médicaments, de l’Agence Nationale de Contrôle Sanitaire et Environnemental, des laboratoires « Adwya » et autres grossistes répartiteurs.

  La mission de GS1 Tunisia : Après avoir souhaité la bienvenue à un auditoire tiré sur les volets, Monsieur Karim Gharbi, Directeur Général de GS1 Tunisia, a mis en exergue, dans son discours d’ouverture, les défis auxquels doit faire face le secteur de la santé en Tunisie, dans une chaîne d’approvisionnement soucieuse d’assurer la transparence, l’efficacité et la précision, conformément aux normes internationales en vigueur dans les pays du nord.

• «Notre plateforme est en mesure d’accompagner les professionnels de la santé dont l’objectif majeur est de réduire le nombre des interventions manuelles dans le processus commercial, d’éviter les erreurs de prédication, entraînant, souvent, des traitements supplémentaires ou des handicaps et de lutter contre la contrefaçon, une menace mondiale croissante», souligne le premier responsable de GS1 Tunisia, pour qui les rappels de produits peuvent s’avérer difficile à gérer, en particulier pour les dispensateurs des soins.

• Il s’agit, insiste-t-il, de garantir, grâce à l’étiquette logistique standardisée et aux informations en code à barre portées,les droits du patient au bon moment, d’obtenir une interopérabilité totale entre les différents acteurs de l’acte médical et de faciliter les flux d’information tout au long de la chaîne logistique, ce qui est de nature à générer un gain de temps important, une meilleure traçabilité et une crédibilité certaine auprès d’une clientèle, de plus en plus exigeante sur l’itinéraire et l’identité des produits destinés à la consommation.

  Pour une dématérialisation des échanges

  De son côté, Madame Fatma Ben Ammar, responsable de la Qualité au sein de GS1 Tunisia, a décrit, dans son exposé, le modèle de l’expérience française dans l’identification des médicaments, l’utilisation des standards internationaux de codification et la concertation entre les industriels pharmaceutiques pour aboutir à l’intégration du code AMM du médicament dans la structure du GTIN (identifiant standard GS1).

• Tout au long d’une intervention à caractère technique, notre interlocutrice a mis l’accent sur les bonnes pratiques de marquage, de planification et du travail collaboratif, en vogue au nord de la méditerranée, ce qui a permis, dit-elle, le raffermissement du leadership des laboratoires français à l’échelle mondiale, la portabilité des solutions exécutées dans l’hexagone et l’optimisation de la dématérialisation des échanges à travers la propagation des catalogues électroniques, la normalisation des messages logistiques répartiteurs et les plateformes EDI.

• A la fin du séminaire, des groupes de travail sectoriels composés des principaux représentants de la chaîne sanitaire du pays (Ministère de la Santé, laboratoires, hôpitaux, grossistes, officines…) ont réfléchi sur les meilleures modalités pour adapter les standards mondiaux aux besoins réels des utilisateurs locaux, favoriser l’adoption d’une identification unifiée des médicaments à la place de la coexistence de plusieurs nomenclatures (code AMM, code PCT, code standard GTIN) et de préparer les circuits de distribution tunisiens à intégrer ceux de l’Europe afin de rogner des parts de marché dans un espace où la sécurité du patient et la lisibilité de la chaîne d’approvisionnement sont un souci de tous les instants des pouvoirs publics.

• Source : WebManagerCenter

GS1 Tunisia au service de l'industrie pharmaceutique

En collaboration avec la Chambre syndicale nationale de l’industrie pharmaceutique et l’UTICA, GS1 Tunisia, anciennement Tunicode -une structure à but non lucratif-, conformément à sa mission de passeur au circuit de la synchronisation globale des données, organise, le 3 mars 2009, au siège de la Maison de l’Entreprise (IACE), un atelier de sensibilisation au profit des différents acteurs de la santé (pharmaciens grossistes, officines, laboratoires) pour débattre «des outils de la codification et de la traçabilité des médicaments».

Il s’agit donc d’un séminaire destiné à éclairer les industriels pharmaceutiques sur les meilleurs moyens d’installer le e-procurement (échange électronique), d’optimiser la compétitivité de leurs chaînes d’approvisionnement, de lutter efficacement contre la contrefaçon -fléau des temps modernes- et d’assurer la traçabilité des médicaments, conformément aux standards internationaux en vigueur dans les pays du Nord.

Au cours de la séance matinale, M. Karim Gharbi, directeur général de GS1 Tunisia, assisté de ses collaborateurs, donnera un aperçu sur l’expérience internationale de la dématérialisation des flux d’échange dans le secteur de la santé, les projets gérés en partenariat avec la Poste Tunisienne et le ministère du Transport, tout en dressant un état des lieux de l’identification des médicaments en Tunisie.

Source : WebManagerCenter

Forum international sur l'industrie pharmaceutique et l'exportation

"L'industrie pharmaceutique tunisienne et l'exportation : l'exemple de l'Afrique" est le thème du Forum international organisé, vendredi à Hammamet, par la revue "Réalités" en collaboration avec le centre national de pharmacovigilance.

M. Mondher Zenaidi, ministre de la santé publique, a indiqué que ce Forum se tient quelques semaines après le Salon international de "la pharmacie, la parapharmacie et du bien- être" et le premier Salon «médico-sanitaire tuniso-libyen», soulignant l'intérêt accru accordé en Tunisie pour le développement de l'industrie pharmaceutique en concrétisation du plan d'action décidé par le Chef de l'Etat en vue de consolider les atouts de la Tunisie en tant que pole d'exportation des services de santé à l'horizon 2016.

Il a mis l'accent sur le bond qualitatif que connaît l'industrie pharmaceutique tunisienne et qui a permis de générer des recettes d'exportation de 20 millions de dinars, soulignant l'attention soutenue accordée à l'amélioration du rendement de cette activité et de la qualité des médicaments ainsi que le développement des produits médicaux issus de la biotechnologie.

Le ministre a mis en valeur les résultats des recherches médicales menées au pole de biotechnologie de Sidi Thabet, soulignant qu'au cours du prochain quinquennat, l'objectif est de réaliser un chiffre d'affaires satisfaisant à l'exportation, de l'ordre de 50 à 100 millions de dinars en produits pharmaceutiques.

Il a souligné l'importance de renforcer et diversifier les partenariats commerciaux et industrielles dans ce domaine entre les pays africains en vue d'élargir la base des marchés extérieurs pour l'exportation du continent en médicaments.

M.Mohamed Gueddiche, ministre-conseiller auprès du Président de la République, a précisé que cette rencontre s'inscrit dans le droit-fil des orientations nationales pour la promotion de la compétitivité du secteur médico-sanitaire et de l'industrie pharmaceutique, se félicitant des résultats positifs enregistrés par cette activité.

Il a mis l'accent sur l'intérêt que le Chef de l'Etat accorde à la valorisation des compétences du secteur et à la consolidation de la place de la Tunisie en tant que pole d'exportation des prestations sanitaires, appelant à la cohésion autour de la politique nationale qui a fait de l'investissement dans le savoir, l'innovation et la recherche, un choix pour l'avenir.

Les communications présentées, lors de ce forum, ont porté sur "L'Etat de l'industrie pharmaceutique tunisienne, « les défis de l'exportation", "le système du contrôle qualité des médicaments" et "les incitations pour l'exportation des médicaments".

Des prix de la meilleure entreprise exportatrice de produits pharmaceutiques au titre de l'année 2008 et de la meilleure entreprise ayant enregistré une évolution de son activité au cours des trois années, ont été remis respectivement, aux laboratoires "SAIPH" et à la Société "SIPHAT".

A noter que Le nombre des unités industrielles est passé de 3 à 30 entre la période 1987-2009, portant le taux de couverture des besoins nationaux en médicaments de 8 à 50%.

Source : Tunisie Affaire

L’industrie pharmaceutique égyptienne se plaint des nouvelles charges

La Chambre de l’industrie pharmaceutique a appelé à une réunion avec le ministre de la Santé, Hatem El-Gabaly, pour discuter des nouvelles charges imposées par son département.

La nouvelle décision comprend l’imposition de 400 LE pour chaque type de médicament devant être exporté.

Le président de la Chambre, Magdy Hassan, estime que la nouvelle décision aura des répercussions négatives sur les exportations de médicaments.

Source : les Afriques

Suspension ou réduction de taxes sur certains produits destinés au secteur de la santé

Conformément au décret n°2008-3962, diverses taxes sur certains produits destinés au secteur de la santé baissent ou sont suspendues.

La suspension concerne la taxe sur la valeur ajoutée et/ou les droits de douane et de consommation dus à l’importation et à la vente des médicaments n’ayant pas de similaires fabriqués localement (numéros 30.03 et 30.04 du tarif des droits de douane), des sérums et autres fractions du sang (30.02), des moyens contraceptifs (pilules contraceptives, ligatures stériles pour nouer les trompes, préservatifs, et implants et stérilets et autres appareils contraceptifs) importés par les personnes autorisées par le ministère de la Santé publique, des produits et préparations alimentaires destinés spécialement aux malades phénylcétonuriques et diabétiques ou les patients qui ne tolèrent pas le gluten (numéros 17.02, 19.01, 19.02, 20.05, 20.07, et 21.06), des glucomètres et des bandelettes réactives pour l’analyse d’urine et du sang (902780) et 30.22), des seringues destinées au conditionnement des médicaments (901831900) importés par les entreprises industrielles pharmaceutiques, des poches stériles de conservation des dérivés sanguins et moelle osseuse ne contenant pas de solution anticoagulante (392690), des shampooings et les dentifrices à usage médical (330510 et 330610), et des préparations alimentaires liquides destinées exclusivement à la nutrition clinique par sonde –soumises à l’autorisation de mise sur le marché.

Sont réduits à 15% les taux de droits de douane et/ou la TVA dus pour l’importation des produits à usage médical unique en pâte à papier, papier, ouate de cellulose ou nappes de fibres de cellulose (papiers et cartons stérilisés, vêtements et accessoires de vêtements stérilisés, et draps de lit et articles similaires), à 7% ceux appliqués sur les shampooings et les dentifrices à usage médical (330510 et 330610), des barrières anti-adhérence stériles utilisées dans la chirurgie ou l’art dentaire (300610), les préparations alimentaires liquides destinées exclusivement à la nutrition clinique par sonde, et à 6% ceux perçus sur les poches stériles de conservation des dérivés sanguins et moelle osseuse ne contenant pas de solution anticoagulante (390690).

Source : WebManagerCenter

Algérie: un groupe public pharmaceutique va investir 230 M USD d'ici à 2015

Le groupe public algérien pharmaceutique Saïdal compte investir 230 millions de dollars durant la période 2007-2015 notamment pour construire huit nouvelles unités de fabrication qui permettront de réduire la facture des importations de médicaments, a-t-il annoncé dimanche.

Le directeur général, Rachid Zouani a indiqué que Saïdal doit investir 230 millions de dollars sur cette période pour construire de nouvelles unités et réaliser un chiffre d'affaires de 2,4 milliards de dollars en 2015, ce qui permettra, selon lui, de réduire la facture d'importation de médicaments d'un milliard de dollars pour l'Algérie dès 2015.

Le marché algérien du médicament a connu une "forte" croissance entre 2004 et 2007 pour atteindre "un volume de 450 millions unités de vente (boites) et 1,7 milliard de dollars en valeur", a-t-il dit.

Ce marché connaîtra une croissance moyenne de 19,76% (en valeur) durant la période 2007-2015 pour atteindre 7,1 milliards de dollars et 703 millions de boîtes en 2015, selon M. Zouani.

La part de marché de Saïdal en 2015 sera de 57% en quantité et de 34% en valeur, soit 2,4 milliards de dollars, a-t-il ajouté.

Le groupe réalisera huit nouvelles unités de production de médicaments à travers le pays dont une à Tamanrasset (extrême sud), a indiqué M. Zouani au Forum El Moudjahid (francophone, public), selon l'agence APS.

L'unité de Tamanrasset, dont les médicaments seront destinés au traitement des pathologies répandues en Afrique, sera lancée dès que cette ville sera desservie en eau potable, a-t-il expliqué.

L'Algérie a entamé en 2007 le transfert, sur 700 kilomètres, d'eau potable d'In Salah (sud) à Tamanrasset, pour un coût de 300 millions d'euros et un délai de trois ans.

M. Zouani a par ailleurs annoncé que son groupe entamera la production du vaccin contre l'hépatite B durant le deuxième semestre 2009, en partenariat avec l'Institut Pasteur d'Algérie et des spécialistes cubains.

Source : RomandieNews

La Tunisie, premier pays à lancer EXFORGE en Afrique

Lors du premier Salon de la pharmacie, de la parapharmacie et du bien-être «Saidalya 2008», tenu les 27 et 28 décembre, à Hammamet, sous le haut patronage du Président de la République Zine El Abidine Ben Ali, Audinet Tunisie s'est entretenue avec Mr Chadely Ghedira, délégué médical à Novartis, l eader mondial des produits cardiovasculaires .

A ce propos le délégué a mis l'accent sur les nouveaux produits offerts par Novartis à cette occasion ainsi que le positionnement de Novartis sur le marché local, régional et même international.

Novartis est une multinationale, leader mondial dans l'offre de produits innovants pour la santé. Actif dans plus de 140 pays, le Groupe est fermement basé en Suisse.

Etant une des plus grandes entreprises pharmaceutiques suisses. Les collaborateurs de Novartis sont actifs dans les domaines du marketing et de la vente, conseillent à l'extérieur des praticiens et des médecins hospitaliers ou s'occupent de projets de recherche clinique, de la documentation scientifique et de l'enregistrement de nouveaux médicaments.

Novartis est spécialiste dans sa plus grande partie du chiffre d'affaires dans la commercialisation et le développement des médicaments du domaine cardiovasculaire et pour le traitement des maladies de l'hypertension artérielle.

Nouveauté, Novartis lance, ces jours-ci et particulièrement en Tunisie, de nouvelles spécialités.

On note le lancement d'un nouveau médicament appelé EXFORGE. La Tunisie est le premier pays a lancé EXFORGE au Maghreb et en Afrique. Ce dernier a été lancé aussi aux Etats Unies et dans la plupart des pays de l'Europe.

L'EXFORGE en bref est une combinaison de deux molécules ou de deux médicaments qui étaient au paravent séparés. Aujourd'hui, le fait de lier ces deux médicaments dans un seul comprimé permet de diminuer le prix de reviens du médicament et en plus de faciliter la tâche au malade, vu que c'est plus facile de prendre un comprimé par jour que deux.

En ce qui concerne notre participation aujourd'hui à « Saidalya 2008 », nous sommes là pour présenter nos nouveautés et en plus pour rappeler d'autres médicaments que la plupart des professionnels de la santé connaissent déjà à savoir : les sols pour l'hypercholestérolémie, TAREG et COTARTEG pour l'hypertension artérielle ; LAMISIL pour les maladies à base de champignons qui touchent les angles… et pour l'asthme on distingue MIFLONIDE et FORADILL.

Pour notre positionnement sur le marché mondial, Novartis est leader mondial sur le marché de l'hypertension artérielle.et en ce qui concerne d'autres marchés, Novartis est généralement placé parmi les cinq premiers.

Et la molécule la plus vendue dans le monde pour traiter l'hypertension artérielle est le VALSARTAN, c'est un produit de Novartis appelé TAREG et COTAREG dans les pays francophones et Diovan et Codiovan dans les pays anglophones.

Source : AudiNet

le groupe Boujbel renforce sa branche pharmaceutique

Plus connu pour son activité dans l’hôtellerie et l’agroalimentaire, le groupe Boujbel poursuit sa montée en puissance dans l’industrie pharmaceutique, entamée il y a deux ans.

Ce groupe vient en effet de créer une nouvelle société de fabrication et de commercialisation de médicaments.

En 2007, il avait successivement racheté 50% du laboratoire algérien Inpha, et lancé une société de fabrication et de conditionnement de médicaments et produits d’hygiène à usage animal..

Source : WebManagerCenter

Perrigo obtient l’accord de la FDA pour commercialiser le générique de l’Ibuprofen

Perrigo vient de recevoir l’accord de la FDA pour commercialiser le générique de l’Ibuprofen. la firme israélienne espère commencer cette commercialisation dès le début de 2009.

Le produit, qui aura un packaging similaire à l’Advil de Wyeth, tentera de grignoter et de dépasser les ventes de 70 millions de dollars affichés par ce dernier.

Joseph C.Papa, le PDG de Perrigo affirme : « Nous sommes évidemment ravis de cette nouvelle autorisation, qui est un autre exemple de l’efficacité des investissements de PERRIGO pour rendre la qualité des soins de santé plus abordables pour les consommateurs américains. »

La compagnie Perrigo (Israël) est l’une des plus grosses compagnies spécialisées dans la fabrication de médicaments de comptoir, c’est-à-dire pouvant être vendus sans ordonnance, aux pharmacies, supermarchés et magasins.

PERRIGO a posté pour le dernier trimestre de 2008 un chiffre d’affaires de $ 480 millions, soit une hausse de 25,5% sur le trimestre correspondant l’an dernier.

La société a affiché des bénéfices de 38 millions de dollars soit 40 cents par action.

Récemment, les employés de l’usine Caroline de Perrigo se sont vus octroyer une augmentation de 15%.

Rappelons également que l’entreprise pharmaceutique israélienne Perrigo poursuit actuellement sa politique de croissance externe et qu’elle a récemment racheté la firme Unico Holdings pour environ 49 millions de dollars en cash.

L’entreprise israélienne avait racheté il y a peu la société mexicaine Laboratorios Diba pour 25 millions de dollars et avait annoncé un peu avant encore l’acquisition pour une somme de 86 millions de dollars de la compagnie britannique Galpharm Healthcare Ltd. Galpharm, basée à Barnsley dans le Yorkshire.

Perrigo a des unités de production aux USA, en Israël, au Mexique et au UK.

Source : IsraelValley