MARKETING - MEDITERRANEE

Avis de marché publiés du 16 au 31 janvier 2009

Avis de marché publiés du 16 au 35 janvier 2009 sur http://mediterranee.typepad.fr/opportunités :
Réf. :	Pays :	Secteur :	Détails :
MAR-2009-04	Maroc	Eaux usées	Assistance technique à la réforme
PAL-2009-05	Palestine	Energies	Projet global d’alimentation électrique
SYR-2009-06	Syrie	Eau potable	Projet de distribution d’eau et assainissement
TUN-2009-07	Tunisie	Eau potable	Actualisation d’un plan directeur d’assainissement
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Le monde risque une "faillite" des réserves en eau

Le monde risque une grave pénurie d'eau en raison de l'augmentation constante de la demande, plus rapide même que la croissance de la population mondiale, prévient un rapport publié vendredi par le Forum économique mondial à Davos (Suisse).

"Dans moins de 20 ans, la pénurie en eau pourra faire perdre à l'Inde et aux Etats-Unis la totalité de leurs récoltes", s'inquiétent les auteurs du rapport, ajoutant que parallèlement la demande alimentaire devrait exploser.

Près de 40% des ressources en eau des Etats-Unis sont utilisées pour la production énergétique. De fait, seuls 3% des réserves en eau sont consommées par des ménages.

Les besoins en eau pour la production d'énergie devraient augmenter aux Etats-Unis de 165% et de 130% dans l'Union européenne, selon le rapport qui s'inquiète de la réduction des ressources pour l'agriculture devant en résulter.

Il souligne encore que la majorité des glaciers de l'Himalaya et du Tibet auront disparu en 2100 au rythme actuel de leur fonte.

Ils fourniront malgré tout de l'eau pour deux milliards de personnes.

Pour le WEF, l'eau deviendra d'ici 20 ans un sujet majeur d'investissements, encore plus que le pétrole.

Source : RTBF Info

Le trafic passagers dans les aéroports marocains en hausse de 6,02% en 2008

En 2008, le trafic passagers dans les aéroports marocains a augmenté de 6,02% pour atteindre 12,98 millions de voyageurs, selon les derniers chiffres de l’Office national des aéroports(ONDA).

L’aéroport Mohamed V à Casablanca, hub international et première plateforme aéroportuaire du pays, a vu son trafic augmenter dans la même proportion pour s’établir à 6,21 millions de passagers.

Reste que la crise commence à se faire sentir. Assuré à près de 90% par l’aéroport Mohammed V à Casablanca, le fret est en recul de 6,41% sur l’année 2008 à 57 027 tonnes.

De son côté, Marrakech, première ville touristique du royaume, a enregistré 3,12 millions de voyageurs à fin 2008, en hausse de 1,59% seulement. En revanche, l’aéroport d’Agadir voit son trafic baisser de 2,67% à 1,46 million de passagers.

Rabat et Tanger restent dynamiques avec des taux de croissance de 32,44% (345 654 passagers) et 29,28% (484 391 passagers), respectivement.

Casablanca-Paris reste la liaison la plus dynamique, suivie de Marrakech-Paris, Agadir-Paris et Casablanca-Agadir.

La Royal Air Maroc (RAM) vient en tête avec près de 5,5 millions de passagers transportés, suivie de sa filiale Atlas Blue (1,6 million de passagers).

L’entrée en vigueur en 2006 de l’accord d’Open Sky, signé entre le Maroc et l’Europe, a donné un coup d’accélérateur pour la création de nouvelles dessertes low cost et charter, assurées notamment par EasyJet, Ryanair, Jet4You, Transavia.

Début 2009, une nouvelle compagnie aérienne low cost devrait voir le jour, fruit du rapprochement de Regional Air Lines, compagnie marocaine privée particulièrement active sur les liaisons domestiques, et d’ Air Arabia, première et plus grande compagnie low cost au Moyen-Orient et Afrique du Nord. Objectif : couvrir les marchés d’Europe, du Moyen Orient et d’Afrique.

L’absorption de Regional Air Lines par Air Arabia, laissant le champ libre à Royal Air Maroc pour lancer à son tour une autre compagnie aérienne dédiée aux vols intérieurs. L’arrivée de cette dernière est annoncée pour le mois de juin prochain.

Source : Econostrum

Le commissaire à l'énergie souligne l'accent mis par l'UE sur l'anneau méditerranéen de l'énergie

La Commission européenne centre son attention sur la construction d'un anneau méditerranéen de l'énergie, une condition essentielle qui permettra à cette région d'exploiter son immense potentiel en énergie solaire et éolienne, a déclaré Andris Piebalgs, commissaire européen à l'énergie.

 

M. Piebalgs s'exprimait en ces termes lors de la conférence d'inauguration de l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) à Bonn, où il a souligné la nécessité de lancer une «nouvelle révolution énergétique» pour assurer la disponibilité à long terme de l'énergie pour tous.

 
Source : MedInfoCenter

Total installe la première unité photovoltaïque pour la production d’électricité sur station de service

• Total vient de réussir une première, en l’occurrence l’installation de la première unité photovoltaïque pour la production d’électricité sur station de service, en Tunisie.

  Cette unité, installée sur la station Total Grombalia sera inaugurée jeudi 29 janvier 2009 par MM. François De Ligniville, directeur Méditerranée/Moyen-Orient de Total Raffinage & Marketing, et Maurizio Libutti, directeur général de Total Tunisie.

• Source : WebManagerCenter

Que vaut désormais la Tunisie en matière de chimiothérapie ??

Conçue pour améliorer de façon considérable  les services et la qualité de soins en Tunisie,la nouvelle policlinique Ennasr avec une équipe et matériels de pointe, semble être déjà inscrit dans le patrimoine du pays et, devrait se présenter comme un véritable attrait touristique. On ne dira sans doute jamais assez combien cet établissement  est entrain de redéfinir la santé  en Tunisie. Impressionnés  par les nouveaux équipements dont plusieurs font leur première apparition en Tunisie, nous avons pu découvrir en début de semaine, une partie des services de cet établissement ultra-moderne. Rappelons le, la grande nouvelle qui suscite  l’enthousiasme tant auprès  des patients  potentiels  que des soignants, est l’acquisition du tout premier  accélérateur linéaire, qui permet d’effectuer la radiothérapie dite conformationnelle. Mais, bien qu’étant à l’ombre de la radiothérapie, la chimiothérapie fait également partie de l’arsenal thérapeutique pour combattre le cancer , particulièrement pour éliminer les cellules cancéreuses qui se sont dispersées dans l’organisme. Elle implique la prise de médicaments chimiques qui peuvent ralentir ou même bloquer le développement des cellules cancéreuses et, ainsi, les empêcher de se multiplier ou d’envahir d’autres parties du corps. De ce fait, nous nous sommes intéressés de près à cette pratique au niveau de la polyclinique Ennasr  qui compte donner plus d’envergure  à la Tunisie dans le domaine de santé. En effet, l’arrivée de cet établissement tout neuf  a également favorisée la mise en place du tout premier isolateur  dans le pays. Parlant ainsi de ce traitement, nous avons pu découvrir sur les lieux un hôpital du jour bien aménagé avec des fauteuils confortables, où les patients peuvent recevoir leur traitement. D’ailleurs, une équipe importante y œuvre  déjà pour prodiguer  les meilleurs soins. La plus part des gens reçoivent leur traitement dans un hôpital de jour d’ou la nécessité d’avoir plusieurs fauteuils et accueillir un nombre important de patients. Comme partout ailleurs, l’hôpital du jour de la polyclinique Ennasr assure la plus part des traitements de chimiothérapie, mais sans doute c’est  la pharmacologie des médicaments anticancéreux qui reste le point le plus délicat à la réalisation des opérations. Ainsi, l’isolateur dont dispose l’établissement permet de réaliser des opérations en environnement confiné, protéger  les opérateurs, et respecter les doses prescrites de façon exacte. Il renferme  divers équipements  nécessaires pour effectuer les manipulations. Jusque là on ressort tout simplement, à quel point l’organisation du circuit du médicament représente un point où l’efficience peut être améliorée en utilisant mieux la haute technologie. Il peut l’être également  en développant les compétences des professionnels et acteurs de ce processus. Les deux  préparateurs en pharmacie présents sur les lieux, soient les tous premiers en Tunisie, chargés de reconstituer ces produits sous isolateur  avant de les acheminer  vers la salle d’administration ou dans la chambre des patients, ont en effet bénéficier, avec l’appui de la polyclinique, d’une formation à l’institut Paoli Calmette (Marseille) l’un des plus grands centres anti-cancéreux de la région PACA qui est à la pointe, pour les traitements thérapeutiques.                                                  D’un autre coté, cet établissement pluridisciplinaire peut également donner une nouvelle opportunité pour promouvoir la destination Tunisie. En effet, le tourisme et la santé sont aujourd’hui deux secteurs qui présentent une complémentarité assez forte, vu le flux des patients vers les cliniques tunisiennes généré par l’offre touristique. L’amélioration  de l’un des deux secteurs dans le pays ne peut que renforcer la compétitivité de l'autre. Source : TunisieAffaire

Tunisie : Le secteur du bâtiment consomme 27% de l'énergie

Dans le cadre du programme national de l'économie d'énergie, MM. Slaheddine Malouche, ministre de l'Equipement, de l'Habitat et de l'Aménagement du territoire et Afif Chelbi, ministre de l'Industrie, de l'Energie et PME ont présidé une séance de travail ayant pour thème "l'économie d'énergie dans les constructions".

M. Slaheddine Malouche a fait remarquer que le secteur du bâtiment consomme 27% de l'énergie à l'échelle nationale. Malgré que ce secteur est ciblé par les programmes de maîtrise de l'énergie à travers l'institution de lois visant à rationaliser la consommation d'énergie et à promouvoir les énergies renouvelables.

Dans ce cadre, plusieurs mesures ont été prises pour adapter les nouvelles constructions destinées à abriter des bureaux, des entreprises ou des établissements publics outre les constructions résidentielles, à des normes et autres spécificités techniques. Le ministère a affirmé la nécessite d'appliquer un programme de mise à niveau thermique des constructions et à adapter le bâti aux spécificités climatiques.

Parallèlement, il réfléchit sur les moyens de recourir, dorénavant, à des matériaux de construction et à des équipements moins energivores. Le ministre a passé en revue les projets résidentiels pilotes réalisés par l'Etat dans le cadre des programmes d'économie d'énergie et de la promotion des constructions collectives et verticales, appelant à redoubler d'efforts pour faire mieux connaître ces projets qui favorisent la promotion des énergies renouvelables telles que l'énergie solaire et géothermique.

A son tour, M. Chelbi a indiqué que la consommation d'énergie du secteur du bâtiment sera révisée à la hausse au cours des prochaines années, soit 40% de la consommation nationale, ce qui exige la mise à niveau thermique des constructions à la lumière des lois et les avantages institués par l'Etat.

Le ministre a appelé à sensibiliser les parties intervenantes (structures gouvernementales, secteur privé, municipalités, promoteurs immobiliers) à la nécessité de gagner le pari de l'économie d'énergie et à appliquer les lois sur l'obligation de l'adaptation aux nouvelles normes énergétiques.

Il a souligné l'importance d'utiliser des matériaux régis par des cahiers des charges et de vérifier la conformité des équipements techniques aux normes et aux exigences des ces cahiers des charges.

Source : TunisieAffaire

Le coût de l'eau en Tunisie : Qu'en est-il au juste?

L’eau, denrée rare, sujet de toutes les convoitises, considérée de nos jours comme un bien économique et social de première importance, est au cœur des stratégies de développement durable des pays, soucieux de bonne gouvernance, de gestion rationnelle de l’acte productif, de prévention sanitaire et du bien-être de leurs citoyens.

Selon le dernier rapport de la Banque mondiale sur le développement dans la région MENA, la disponibilité de l’eau par habitant baissera de moitié en 2050 et s’accompagnera de graves conséquences pour les nappes souterraines et les réseaux hydrographiques naturels, déjà assez limités de la région.

Au fur et à mesure de l’essor des économies et de la pression démographique au sud du Bassin méditerranéen, la demande de services d’approvisionnement en eau et d’irrigation dépendra de plus en plus des pratiques coûteuses de désalinisation.

Dans un contexte de crise écologique mondiale, de raréfaction de plus en plus reconnue sur le plan international, notre pays, doté d’un climat capricieux et variable, doit, de l’avis des experts, approfondir encore davantage l’analyse des coûts de production de l’eau, optimiser le rendement des différentes stations de dessalement et généraliser les systèmes de télégestion qui couvrent actuellement la totalité de la région du sud-est dont le nombre des abonnés à la Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (SONEDE) a atteint, d’après les dernières statistiques, publiées à l’occasion de la célébration du 40ème anniversaire de cette entreprise publique, 190.000 en 2006, assurant ainsi 94% des besoins des gouvernorats de Tataouine, Médenine (district Djerba inclus) et Gabès.

Peut-on parler d’un prix de revient ? «Avec plus de deux millions de clients, une nappe phréatique surexploitée et un génie rural ciblant essentiellement les zones dispersées à l’intérieur du pays, la SONEDE est chargée d’alimenter en eau potable l’ensemble du territoire national en appréciant non pas le prix de revient uniquement mais aussi les amortissements et le pourcentage de chaque composante des dépenses inhérentes aux charges courantes d’exploitation (solaires, énergies, produits chimiques…)», nous dit Madame Sihem Trimèche Ben Salah, directrice de la communication et de la coopération internationale à la SONEDE, qui évoque un coût de revient calculé et vendu en 2006 à 595 millimes/m3, un chiffre d’affaires annuel provenant essentiellement des ventes d’eau (79%), des redevances fixes (12%) et de l’exécution des nouveaux branchements et autres travaux (9%), tout en rappelant le maintien des tarifs spéciaux (140 millimes/m3) à l’intention des familles modestes dont la consommation ne dépasse pas généralement 20 m3 par trimestre.

Monsieur Kamel Fethi, directeur de la production à la Société nationale d’exploitation des eaux, a mis l’accent, dans une étude concernant «les percées technologiques en dessalement et la maîtrise des coûts», sur l’augmentation perceptible du prix de revient du m3 avec la mise en service des trois stations de dessalement de Gabès (1996), Zarzis et Djerba (1999), la nette diminution du taux de couverture qui est passé de 87% en 1994 à 76% en 2006, donnant ainsi toute leur importance aux redevances fixes dont le rôle, déclare l’auteur du rapport, est de combler le déficit enregistré au fil des années.

Finalement, d’après les sources du ministère de l’Agriculture et des Ressources hydrauliques, les tarifs pratiqués au niveau de la SONEDE ont toujours été différenciés en fonction de l’usage (domestique, touristique, borne fontaine et industrie) et de la tranche de consommation, ce qui explique la différence entre le prix de vente moyen d’eau (455 millimes) et le coût de revient estimé, en 2006, à 595 millimes/m3.

Source : WebManagerCenter

Suspension ou réduction de taxes sur certains produits destinés au secteur de la santé

Conformément au décret n°2008-3962, diverses taxes sur certains produits destinés au secteur de la santé baissent ou sont suspendues.

La suspension concerne la taxe sur la valeur ajoutée et/ou les droits de douane et de consommation dus à l’importation et à la vente des médicaments n’ayant pas de similaires fabriqués localement (numéros 30.03 et 30.04 du tarif des droits de douane), des sérums et autres fractions du sang (30.02), des moyens contraceptifs (pilules contraceptives, ligatures stériles pour nouer les trompes, préservatifs, et implants et stérilets et autres appareils contraceptifs) importés par les personnes autorisées par le ministère de la Santé publique, des produits et préparations alimentaires destinés spécialement aux malades phénylcétonuriques et diabétiques ou les patients qui ne tolèrent pas le gluten (numéros 17.02, 19.01, 19.02, 20.05, 20.07, et 21.06), des glucomètres et des bandelettes réactives pour l’analyse d’urine et du sang (902780) et 30.22), des seringues destinées au conditionnement des médicaments (901831900) importés par les entreprises industrielles pharmaceutiques, des poches stériles de conservation des dérivés sanguins et moelle osseuse ne contenant pas de solution anticoagulante (392690), des shampooings et les dentifrices à usage médical (330510 et 330610), et des préparations alimentaires liquides destinées exclusivement à la nutrition clinique par sonde –soumises à l’autorisation de mise sur le marché.

Sont réduits à 15% les taux de droits de douane et/ou la TVA dus pour l’importation des produits à usage médical unique en pâte à papier, papier, ouate de cellulose ou nappes de fibres de cellulose (papiers et cartons stérilisés, vêtements et accessoires de vêtements stérilisés, et draps de lit et articles similaires), à 7% ceux appliqués sur les shampooings et les dentifrices à usage médical (330510 et 330610), des barrières anti-adhérence stériles utilisées dans la chirurgie ou l’art dentaire (300610), les préparations alimentaires liquides destinées exclusivement à la nutrition clinique par sonde, et à 6% ceux perçus sur les poches stériles de conservation des dérivés sanguins et moelle osseuse ne contenant pas de solution anticoagulante (390690).

Source : WebManagerCenter

La BEI crée un fonds de voisinage au profit des pays du Sud et de l’Est

• Un fonds fiduciaire de la facilité de l’environnement du voisinage a été créé le 26 janvier 2009, en marge du Conseil des Affaires général et des relations extérieures de la Banque européenne d’investissement (BEI).

• La création de ce fonds vise à mobiliser, sur une base volontaire, des fonds supplémentaires en faveur de projets prioritaires d’infrastructure, essentiellement dans le secteur de l’énergie, des transports et de l’environnement.

  M. Fontaine Vive, vice-président de la BEI, a déclaré que la Banque a déjà enregistré dans ses livres des contributions d’Etats membres à hauteur de 18 millions d’euros en faveur dudit fonds. Il a indiqué que ce nouvel instrument permettra une harmonisation renforcée entre les approches suivies par les différentes institutions opérant dans les pays partenaires.

  Le responsable de la BEI a, d’ailleurs, souligné que la Banque contribuera activement à l’établissement des listes indicatives des projets communs éligibles au fonds. «En 2008, cette liste de projets communs prévoyait un total de 6 projets pour un montant global de 1,6 milliard d’euros pour les voisins du sud (Egypte, Maroc, Tunisie) et 13 projets pour un montant global de 1,2 milliard d’euros pour les voisins de l’est (Géorgie, Moldavie, Ukraine, projets régionaux», a-t-il ajouté.

  En effet, plus de 60% de ses volumes de financement se sont inscrits dans le cadre de cofinancements avec des institutions européennes, la BERD, la BAD et le Groupe de la Banque mondiale. Pour 2009, M. Fontaine Vive est optimiste : «nous avons l’ambition de faire encore mieux», au grand bonheur des pays du Sud et de l'Est.

• Source : WebManagerCenter