Il s’agit de sept projets types dans les domaines de l’énergie solaire, et de la lutte contre la pollution des eaux de la Méditerranée, ainsi que de l’autoroute du Maghreb et la route méditerranéenne.
La commission européenne évalue le coût de ce projet à environs deux milliards d’euros.
Selon l’Agence France Presse, la commission a proposé aux membres probables de la nouvelle union, de concrétiser ces projets, lors du sommet de chefs d’Etat concernés par l’union pour la Méditerranée, attendu le 13 juillet prochain à Marseille.
Il est connu que l’Algérie et la Libye émettent des réserves sur le projet, à cause de l’opacité de ses objectifs, de même que les deux pays craignent qu’il mène à une naturalisation avec Israël, qui sera membre de l’union pour la Méditerranée.
Les Etats de l’union pour la Méditerranée s’engagent, conformément aux propositions françaises, à combattre 80 % des sources de pollution de la Méditerranée, à l’horizon 2020, en plus du soutien et de la prise en charge des dépenses afin de relier les autoroutes dans les cinq pays du Maghreb, à partir de la Mauritanie, en passant par le Maroc et l’Algérie, jusqu’en Libye.
Par ailleurs, le Parlement européen s’apprête à approuver un projet qui vise à renforcer la coopération euro-méditerranéenne dans le domaine de la protection civile, afin de faire face aux tremblements de terre dans les pays méditerranéens.
Source : Algérie-dz
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