L’ordonnance n°03-11 du 26 août 2003 relative à la monnaie et au crédit confère à la Banque d’Algérie des pouvoirs de politique monétaire à trave...
L’ordonnance n°03-11 du 26 août 2003 relative à la monnaie et au crédit confère à la Banque d’Algérie des pouvoirs de politique monétaire à travers, entre autres, l’intervention sur le marché interbancaire.
Dans son article 35 il est dit que �’La Banque d’Algérie a pour mission de créer et de maintenir dans les domaines de la monnaie, du crédit et des changes, les conditions les plus favorables à un développement rapide de l’économie, tout en veillant à la stabilité interne et externe de la monnaie’(1).
Bien sûr, la loi confère aussi diverses autres fonctions à la Banque d’Algérie. La fonction liée à la ’politique monétaire’ est celle qui nous intéresse aujourd’hui. Plus spécifiquement, nous nous intéresserons à la politique de change de la Banque d’Algérie et à ses implications sur l’inflation et le pouvoir d’achat des ménages.
L’OBJECTIF OPERATIONNEL DE LA BANQUE D’ALGERIE, EN TERMES DE POLITIQUE MONETAIRE, EST AMBIGU
Au-delà de cet objectif stratégique dévolu à de la Banque d’Algérie, il n’est pas évident de comprendre son objectif opérationnel. En d’autres termes, comment la Banque d’Algérie va-t-elle oeuvrer pour favoriser un développement rapide de l’économie et veiller à une stabilité interne et externe ?
Et dans la mesure où il n’existe pas d’objectifs chiffrés à atteindre, il est difficile de juger de l’efficience et de la pertinence des décisions prises par la Banque d’Algérie.
Au niveau théorique et pratique, la connaissance des objectifs de politique monétaire de la Banque centrale devrait contribuer à diminuer les risques liés aux décisions d’investissement et de consommation prises par les entreprises et les ménages.
Si on doit tendre à introduire progressivement les mécanismes de gestion par le marché, il est alors primordial de fournir toute l’information nécessaire pour que les entreprises et les consommateurs prennent les décisions qui leur semblent optimales. Ces décisions ont un effet direct sur l’allocation optimale des ressources dans le pays.
En effet, une autorité monétaire ne se gère pas comme une administration et ne se contente pas seulement d’accumuler des fonds. Elle a le devoir, entre autres, de soutenir le développement de l’économie à travers des actions de �’politique monétaire’.
Bien sûr, il est important de détenir suffisamment de réserves de change pour assurer la sécurité des importations. Relevons cependant que cette accumulation n’a été que la résultante d’événements favorables au niveau international.
L’autorité monétaire centrale algérienne n’a joué aucun rôle actif dans cette accumulation : le sous-sol algérien a fourni la ressource, le marché international en a fixé le prix et la Banque centrale, quant à elle, s’est contentée d’ouvrir ses coffres pour accueillir les fonds.
Au niveau de la gestion de la politique de change, la Banque d’Algérie a par contre joué un rôle actif. Nous allons par conséquent tenter de comprendre la rationalité qui se cache derrière l’évolution du taux de change du dinar et évaluer son impact sur l’économie en général.
Pour faire cette analyse, nous avons dû nous baser sur des notes de conjoncture publiées par la Banque d’Algérie.
Dans une des notes publiées, on peut lire �’Par ailleurs, en contexte de fortes fluctuations des taux de change des principales devises sur les marchés internationaux, la Banque d’Algérie poursuit la politique de flottement dirigé pour assurer la stabilisation du taux de change effectif de la monnaie nationale.’(2)
Nous interprétons ceci comme un objectif opérationnel de la Banque d’Algérie.
Il faut d’abord dire qu’il est difficile de trouver des documents susceptibles de nous éclairer sur ce que veut dire exactement cette affirmation et sur ses modalités de mise en oeuvre.
Nous l’interprétons donc comme voulant dire que le prix du dinar, en monnaies étrangères, est fixé comme une moyenne pondérée de diverses monnaies en fonction, vraisemblablement, du poids relatif des différents pays dans la balance commerciale. Malheureusement nous n’avons pas pu trouver la formule précise utilisée par la Banque d’Algérie pour effectuer ce calcul.
DANS UN MONDE DE FLUCTUATIONS DE MONNAIES, STABILISER LE TAUX DE CHANGE EST UN LEURRE
Dans un monde de ’fortes fluctuations des taux de change’, comme le reconnaît si bien la Banque d’Algérie, on ne comprend pas ce que veut dire �’assurer la stabilisation du taux de change effectif de la monnaie nationale’.
En effet, si on fixe la parité avec le dollar US, cela veut dire que vous venez de stabiliser votre monnaie par rapport à la monnaie US, par contre, elle fluctuera dans les mêmes conditions que le fera le dollar US par rapport à l’euro et aux autres devises.
Nous nous alignons du même coup sur les cycles économiques qui affectent la zone dollar, en l’occurrence les Etats-Unis, et nous acceptons de facto de subir les fluctuations des autres monnaies telles qu’elles affectent le dollar US.
La détermination du taux de change est un des éléments importants de la politique monétaire en Algérie. Dans la mesure où la détermination du prix de la monnaie nationale en monnaie étrangère est l’apanage de la Banque d’Algérie, elle se doit à une transparence quant à sa manière de gérer le taux de change. Ceci représente un des outils d’action de sa politique monétaire.
Les décisions qu’elle prend alors sur l’évaluation de la parité du dinar auront inéluctablement des effets importants tant sur l’orientation des investissements que sur le pouvoir d’achat en Algérie.
A moins de considérer que les prix ne contribuent pas à l’allocation des ressources, ce qui serait une vision bien singulière de l’économie de marché, à l’heure où la mise en place opérationnelle de tous ces mécanismes est devenue un impératif stratégique urgent.
Le taux de change du dinar est son prix en monnaie étrangère. Il est représenté par la quantité de dinars que l’on doit échanger en contrepartie de la monnaie étrangère.
Par exemple, en octobre dernier, le cours du dinar par rapport au dollar US était de 67.5 dinars. Il fallait échanger 67.5 dinars pour un dollar US(3). Dans un monde de taux de change flexibles, dès que la Banque d’Algérie fixe la parité dinar/dollar, elle accepte - de facto - de laisser le dinar fluctuer par rapport à l’ensemble des autres monnaies.
Les pays dont les monnaies sont fixées par rapport au dollar US doivent, en pratique, suivre la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine.
Et ceci représente un des problèmes actuels auxquels sont confrontées les banques centrales des pays du golfe Arabo-Persique(4).
La volatilité du dinar est fortement dépendante de la volatilité des marchés des changes. Prétendre l’atténuer par rapport à l’ensemble des monnaies n’est qu’un leurre. La seule volatilité que l’on peut réduire est celle relative à la monnaie par rapport à laquelle la parité est fixée au départ.
C’est le cas de certaines monnaies asiatiques et du Moyen-Orient dont les parités sont fixées par rapport au dollar US. Elle aura aussi des implications sur la manière dont les fluctuations des prix internationaux de matières premières affecteront l’économie nationale.
Ce n’est pas sans raison que les pays du Golfe sont actuellement aux prises avec des niveaux d’inflation historiquement inégalés, de l’ordre de 12%, qui compliquent leurs politiques d’union monétaire prévue vers 2012.
Divers facteurs peuvent affecter l’évolution du taux de change. Il est ultimement la résultante d’un équilibre entre une offre et une demande par rapport à une devise donnée. Les taux de change peuvent fortement varier au cours d’une journée.
Ils varieront en fonction des situations budgétaires des pays concernés, des anticipations de gains dans chacun des pays, des loyers de l’argent, des rendements boursiers, de l’inflation, de la productivité de la demande intérieure et extérieure, de la croissance anticipée, etc.
Toutes ces variables sont considérées de façon relative. Mais à long terme, on pense que les parités doivent théoriquement se rapprocher de niveaux d’équilibre cohérents avec les fondamentaux de chacune des économies.
L’Algérie est un pays exportateur de pétrole. Le prix de sa principale matière exportée (les hydrocarbures) est fixé sur les marchés internationaux. Cependant, elle doit fixer une parité pour sa monnaie par rapport aux monnaies étrangères car les transferts de capitaux de l’Algérie vers l’étranger ne sont pas libres. Examinons alors la stratégie adoptée par la Banque d’Algérie dans ce contexte.
LA DEPRECIATION DU DOLLAR US NE DEVRAIT CONDUIRE A LA DETERIORATION DU POUVOIR D’ACHAT DES PAYS EXPORTATEURS DE PETROLE QUAND LES PRIX DU BRUT AUGMENTENT
Il y a historiquement une relation négative entre l’évolution de la valeur du dollar US par rapport aux autres monnaies et le prix du pétrole (voir graphique 1). En effet, comme le pétrole est négocié en dollar US, toutes choses étant égales par ailleurs(5), si le dollar US se déprécie, par rapport aux autres monnaies, alors la valeur du baril de pétrole augmente pour compenser la perte de la valeur du dollar par rapport aux autres monnaies.
Ce raisonnement est valable pour l’ensemble des matières premières dont les prix sont fixés en dollars US, sur les diverses bourses de matières premières. Plusieurs études documentent ce fait stylisé.
La hausse actuelle du prix du brut ne peut pas s’expliquer uniquement par la dépréciation du dollar. En effet, l’entrée de la Chine et de l’Inde comme nouveaux gros consommateurs combinée à un plafonnement de l’offre mondiale de pétrole a poussé les prix du brut à des niveaux encore plus élevés que ceux induits par la dépréciation du dollar US.
Ceci implique une plus grande amélioration du pouvoir d’achat des pays exportateurs de pétrole. En effet, la dépréciation du dollar US ayant été plus que compensée par la hausse du prix du brut, devrait conduire à une appréciation significative des monnaies des pays exportateurs de pétrole et de matières premières.
C’est ainsi qu’en pratique le dollar canadien, australien, néo-zélandais et la couronne norvégienne, pour ne citer que quelques monnaies échangées librement sur les marchés financiers, se sont tous considérablement appréciés ces dernières années à la faveur des hausses successives des prix de matières premières dont ces pays sont exportateurs.
Ces appréciations ont été de l’ordre de 50% depuis 2003, pour certains pays. Qu’en est-il alors du dinar algérien et de la politique de change suivie par la Banque d’Algérie ?
ALORS QUE LES CONDITIONS ECONOMIQUES DE L’ALGERIE S’AMELIORENT, LA BANQUE D’ALGERIE DEPRECIE LE DINAR
Pour effectuer notre analyse, nous allons nous intéresser à la couronne norvégienne. La Norvège est un pays dont l’état occupe une place importante dans l’économie. A l’exemple de l’Algérie, il contrôle l’extraction de pétrole à travers des sociétés d’Etat.
La Norvège exporte principalement des matières premières, dont le pétrole, et des produits semi-finis. La Norvège est après l’Arabie Saoudite le plus gros exportateur de pétrole brut. Elle importe la moitié de ses besoins en biens de consommation. Elle ne fait pas partie de la zone euro. Ces caractéristiques en font un bon exemple de comparaison avec l’Algérie.
Contrairement au dinar, dont la parité est fixée par la Banque d’Algérie, la couronne norvégienne fluctue librement sur les marchés de change. Pour chacun des pays (Algérie et Norvège), nous considérons le taux de change nominal ajusté par rapport au niveau de l’indice des prix (taux de change réel).
Ces graphiques indiquent que la couronne norvégienne s’est appréciée en termes réels de 35% par rapport au dollar US et de 3% par rapport à l’euro. Dans le cas de l’Algérie, l’autorité monétaire a choisi de maintenir la valeur réelle du dinar par rapport au dollar constante depuis 2000.
Ce faisant, elle a accepté implicitement une dépréciation réelle cumulée du dinar de 30% par rapport à l’euro. Y a-t-il une quelconque rationalité à cette politique ?
Quand on regarde le bilan économique annoncé par la Banque d’Algérie et les institutions économiques algériennes, on constate, depuis 2000, une nette amélioration de la situation macroéconomique de l’Algérie.
Du dire même de la Banque d’Algérie �’L’évolution macro financière au cours des années 2000 à 2006 s’est caractérisée par l’émergence, d’une manière soutenue, d’une position financière solide, conjuguée à une performance économique robuste en termes de forte croissance (5% en moyenne annuelle)...’(6).
La position extérieure de l’Algérie s’est considérablement améliorée depuis 2004. Les réserves de change ont dépassé les 77 milliards de dollars au premier trimestre 2007. Et de l’aveu de la Banque d’Algérie �’la vulnérabilité de l’économie nationale aux « chocs externes » liés à l’endettement extérieur est ainsi évacuée.’(7)
L’excédent du compte courant est passé de 8.8 milliards de dollars en 2003(8) à près de 25 milliards de dollars en 2007(9). La dette extérieure de l’Algérie est passée de près de 40 milliards de dollars US en 2000 à 4.62 milliards de dollars US à fin juin 2007.
En somme, la situation macroéconomique s’est nettement améliorée en Algérie.
Enfin, selon une étude du FMI, la productivité du travail semble avoir augmenté depuis 2001 après une période de baisse suivie d’une stagnation(10).
PAR SA POLITIQUE DE CHANGE, LA BANQUE D’ALGERIE A CONTRIBUE A DETERIORER LE POUVOIR D’ACHAT DES MENAGES ALGERIENS
Selon la Banque d’Algérie, �’Il importe de souligner que la stabilisation du taux de change effectif réel du dinar à son niveau d’équilibre est conduite par la Banque d’Algérie avec rigueur, servant l’intérêt de l’économie nationale dans cette phase d’ouverture accrue. L’évaluation du taux de change d’équilibre du dinar, selon les trois principales méthodologies utilisées au niveau des institutions multilatérales, indique que la monnaie nationale n’a pas connu de sous-évaluation. En outre, le régime de change est en phase avec les engagements au niveau multilatéral en matière de régime de change.(11).
Cette affirmation nous semble excessive et invérifiable en l’absence totale de documentation sur la politique de change de la Banque d’Algérie. La Banque d’Algérie demeure sourde aux évolutions macroéconomiques alors qu’elle prétend soutenir par son action la politique d’ouverture.
La gestion du taux de change devrait représenter un des jalons de la gestion de la politique monétaire, de par son effet sur l’affectation des ressources, sur les investissements ainsi que sur le pouvoir d’achat en Algérie. Au delà des revenus générés par l’exportation du pétrole, la hausse des prix de l’énergie a induit un accroissement des investissements étrangers en Algérie qui �’nécessairement’ ont et auront des effets sur le pouvoir d’achat des ménages.
En effet, ce mouvement des facteurs du capital vers l’Algérie va augmenter la demande de main-d’œuvre locale et exercer des pressions à la hausse sur les salaires et donc sur la demande intérieure et les prix.
De plus, en maintenant le taux de change réel effectif du dinar constant, cela équivaut implicitement à le déprécier, en terme nominal, par rapport aux autres monnaies. Ce faisant, la Banque d’Algérie transfert ainsi directement une partie des hausses des produits de base (huile, semoule, blé, etc.) sur le consommateur algérien.
C’est de l’inflation importée. En effet, la dépréciation de plus de 30% du dinar augmente d’autant les coûts des produits importés. Comme près de 50% des importations proviennent de la zone euro, il est évident que ceci se répercutera sur le panier de la ménagère. Par exemple, un quintal de blé dont le prix de revient actuel serait de 4000 dinars au détail aurait dû coûter en fait autour de 2800 dinars si la Banque d’Algérie n’avait pas choisi de déprécier le dinar.
Pour endiguer ces hausses, le gouvernement a dû légiférer en décembre 2007 pour fixer des prix plafonds pour la semoule et le blé dur(12). Qui plus est, et de l’aveu même de la Banque d’Algérie dans l’une de ses notes de conjoncture, il est fait état d’un contexte de forte expansion de crédit et de la monnaie. La Banque d’Algérie fait état �’d’une multiplication par plus de quatre des flux de monnaie fiduciaire durant les années 2005 - 2007, soit une croissance de plus de 400 %(13).
Le crédit a doublé, passant de �’8,5 % au second semestre 2006, bien plus que le rythme du second semestre 2005 (4,7%) et du premier semestre 2006 (4%)(14). Selon une autre note, �’l’année 2006 se caractérise par une forte croissance de la masse monétaire (17,3%) comparativement au rythme en la matière (10,8 %) de l’année 2005, sous l’effet notamment de l’expansion des dépôts des entreprises des hydrocarbures...(15).
Il est étonnant de constater à quel point les chiffres et les faits semblent s’ignorer. Alors que le pouvoir d’achat des ménages moyens se détériore de plus en plus, on ne cesse de dire que l’inflation est contenue. Sous d’autres cieux, le passage de l’inflation de 2,5% en 2006 à 3,5% en novembre 2007(16), pour les chiffres officiels, serait vu comme un dérapage inflationniste alarmant, contre lequel serait brandi tout un arsenal de mesures correctives.
Il ne fait aucun doute que la Banque d’Algérie, par sa politique de change, a contribué au dérapage de l’inflation au cours de ces dernières années. Et la tendance de l’inflation devrait demeurer à la hausse si des mesures structurelles réelles ne sont pas prises en compte.
Cette situation n’est pas propre à l’Algérie. En effet, les pays du Golfe qui ont choisi de fixer la parité de leurs monnaies respectives, principalement par rapport au dollar US, subissent une détérioration de leurs pouvoirs d’achat dans des conditions similaires à celle de l’Algérie.
Et ce n’est pas sans raison que les banques centrales de ces pays cherchent actuellement des voies pour assouplir leurs attaches au dollar US et contrecarrer l’inflation galopante dont ils font l’objet ces dernières années. Une combinaison entre inflation importée et vigueur de la demande intérieure menace la stabilité financière de leur union monétaire.
Certaines de ces banques centrales étudient la possibilité de réévaluer de manière significative leurs monnaies - de 20% à 30%.
On ne peut pas continuer à gérer la politique monétaire selon des schémas incohérents alors que l’économie algérienne s’ouvre chaque jour davantage à l’économie mondiale. Ceci revient à créer des entraves inutiles à l’économie et à occasionner des surcoûts.
Si la Banque d’Algérie se targue d’avoir des études qui confirment ses actions, que celles-ci soient publiées et discutées sans complaisance. Ce que nous avons examiné dans cet article nous laisse penser que les actions de la Banque d’Algérie depuis 2000 ne sont pas cohérentes avec l’évolution de certains agrégats macroéconomiques.
Ce qui ne manquera pas d’exacerber les déséquilibres intérieurs. Plus qu’une évidence théorique, ceci est une certitude pratique et historique.
1- A ce sujet, les informations provenant du site Web de la Banque d’Algérie sont désuètes et incomplètes. Elles font toujours référence à la loi 90-10 du 14 avril 1990 dont plusieurs éléments ont été abrogés par l’ordonnance n°03-11 du 26 août 2003.
2- ’Tendances monétaires et financières au second semestre de 2006’ Banque d’Algérie.
3- Nous ferons abstraction de l’achat et de la vente qui ne sont pas importants pour cet exercice.
4- Qatar, Emirats arabes unis, Arabie Saoudite, Koweït, Bahreïn.
5- Pour des conditions d’offre et de demande constantes.
6 -Tendances monétaires et financières au premier semestre de 2007.
7- Tendances monétaires et financières au premier semestre de 2007.
8- Données du FMI, World Economic Outlook.
9- Chiffre estimé par le FMI pour 2007.
10-’Why Has Unemployment in Algeria Been Higher than in MENA and Transition Countries ?’
Kangni Kpoda, FMI document de travail WP07/210.r
11-Tendances monétaires et financières au premier semestre de 2007.
12- Décret exécutif n°07-402 du 25 décembre 2007 fixant les prix à la production et aux différents stades de la distribution des semoules de blé dur.
13- Note d’information sur l’évolution de la monnaie fiduciaire (09 octobre 2007).
14- ’Tendances monétaires et financières au second semestre de 2006’ Banque d’Algérie.
15- ’Tendances monétaires et financières au second semestre de 2006’ Banque d’Algérie.
16- Indice des prix à la consommation’ ONS, décembre 2007, 1111 - 4940.
Source : El Annabi
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