MARKETING - MEDITERRANEE

la COTUNACE augmente son capital

La COTUNACE (Compagnie tunisienne pour l'assurance du commerce extérieur) a augmenté son capital social de 5 000 000 dinars tunisiens, passant ainsi de 15 000 000 DT à 20 000 000 DT.

50 000 nouvelles actions d'une valeur nominale de 100 dinars ont été émises.

Elles comportent une prime d'émission de 19 DT, ce qui donne un prix d'émission de 119 DT.

Source : Les Afriques

Tunisie : Construction d'une nouvelle unité de cancérologie

Les travaux ont démarré pour la construction d'une unité interrégionale de cancérologie à l'Hôpital régional de Jendouba (coût 500 mille dinars) et d'un centre de dialyse à Tabarka-ville.

Le centre devra entrer en service fin 2010. 

Ces projets s'ajoutent à celui de l'hôpital régional de Tabarka dont les travaux ont atteint un taux d'avancement de 70% (coût total 6,6 MD).

D'autres travaux sont en cours à l'Hôpital régional de Jendouba pour l'entretien de la climatisation centrale et le réaménagement des services de réanimation, de chirurgie générale et de maternité. 

L'année 2009 a connu l'entrée en service des urgences à l'Hôpital de Ain Draham ainsi que du service de psychiatrie à l'Hôpital régional de Jendouba.

Le cadre médical s'est, également, renforcé par le recrutement de médecins spécialistes en psychiatrie, ophtalmologie, réanimation et anesthésie, ainsi que de cinq cadres paramédicaux et deux techniciens supérieurs en radiologie.

Source : Investir en Tunisie

Près de 50% de l’aide publique au développement reçue par la Tunisie est française

«Principal lieu de production et de création de richesses, l’entreprise a besoin de financements adaptés, qui pourraient être mobilisés, entre autres, dans le cadre de programmes de coopération avec nos principaux partenaires commerciaux», a déclaré le gouverneur de la Banque centrale au séminaire d’information consacré à la ligne de financement de 40 millions d’euros mise en place par le gouvernement français en direction des petites et moyennes entreprises.

La rareté des sources de financement sur le marché financier international et le renchérissement des taux d’intérêt sur les prêts accordés rendent de plus en plus difficile le recours à des emprunts aux conditions acceptables qui permettraient de renforcer les capacités compétitives des entreprises et soutenir les jeunes promoteurs. D’où l’importance de la ligne française de crédit.

«La France est plus qu’un partenaire ordinaire, elle est surtout un allié sûr», a déclaré Ridha Ben Mosbah, ministre du Commerce et de l'Artisanat à la clôture du séminaire d’information sur la ligne française de financement. Il a rappelé à ce propos que près de 41% des entreprises étrangères opérant dans notre pays (1.200) sont françaises.

Ces dernières années, elles ont touché des activités à forte valeur ajoutée comme les secteurs électriques, électromécaniques, les services et la plasturgie. Sans oublier l’apport des investissements français dans les secteurs de l’aéronautique, des composantes automobiles, de l’informatique ou des télécommunications.

La relation économique entre la Tunisie et la France est une relation gagnant/gagnant, a assuré le président de l’UTICA, les efforts fournis par le gouvernement français au niveau de l’investissement viseraient également à limiter les flux migratoires à destination de l’hexagone, grâce à l’amélioration du taux d’employabilité des jeunes diplômés tunisiens.

L’accord sur le développement solidaire et la gestion concertée de l’immigration signé entre les deux pays, a-t-il précisé, représente une réponse plus adaptée aux besoins des professionnels, tout en ajoutant que grâce à la coopération tuniso-française, on a réussi aujourd’hui dans notre pays à mettre au point un réseau d’universités françaises privées.

La France est le premier bailleur de fonds bilatéral de la Tunisie avec des concours atteignant en moyenne 100 millions d’euros au cours des dernières années, soit pres de 50% de l’aide publique au développement reçue par la Tunisie. Ce qui conforte sa place de partenaire privilégié de la Tunisie.

Source : WebManagerCenter

Renault Trucks remporte un marché en Tunisie

En cette période de crise, une bonne nouvelle est toujours bonne à prendre : celle de la vente par la division poids lourds de Volvo, Renault Trucks, de 226 véhicules en Tunisie remontera un peu le moral des "Grands lyonnais" puisque le siège de Renault Trucks est installé à St-Priest.

Après un appel d’offre, la Caisse des prêts et de soutien des collectivités locales (CPSCL) de Tunisie a donc choisi Renault Trucks pour l’acquisition de matériel de propreté et de voirie. Les 226 véhicules prochainement livrés sont principalement des Midlum et des Premium Lander.

Tous les quatre ans, la Caisse des prêts et de soutien des collectivités locales (CPSCL) de Tunisie organise un appel d’offre pour renouveler son parc de véhicules dédiés à l’entretien des routes tunisiennes. Cette année, c’est Renault Trucks qui est sorti vainqueur de la compétition.

La société Ennakl, concessionnaire de Renault Trucks en Tunisie livrera donc prochainement à la CPSCL 226 véhicules selon deux types de configuration :

-des véhicules équipés de bennes basculantes à savoir 70 Midlum 220.16 DXi5 et 27 Premium Lander 280.19 DXi7

-des véhicules Type BOM à bennes tasseuses à plaques, équipées d’un lève-conteneur universel à savoir 40 Midlum 220.16 DXi et 89 Premium Lander 280 DXi7

Le carrossier Farid Industrie, devient pour la première fois partenaire de Renault Trucks sur cette affaire.

Source : Lyon-économie

Un nouveau projet écolo pour la Tunisie !

La Tunisie se lance avec le projet Med Test Tunisie, visant le transfert des technologies écologiquement rationnelles dans le sud de la Méditerranée.

L’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel ( ONUDI) ayant approuvé ce projet, trois centres techniques se rassemblent alors, à savoir : le centre technique du textile (CETTEX), le centre national du cuir et des chaussures (CNCC), et le centre technique de l’agroalimentaire(CTAA), selon webmanagercenter.

Med Test Tunisie est donc un projet de transfert des meilleures technologies environnementales dans le sud de la méditerranée, il a été crée à l’initiative de l’ONUDI, et s’étalera sur une période de 30 mois et présentera des cycles de formation et d’assistance technique aux entreprises choisies.

L’ONUDI étant basée à Viennes, elle y a organisé un séminaire de formation des cadres tunisiens, sur la stratégie et la méthodologie de mise en œuvre des technologies rationnelles. Un comité consultatif a été constitué, englobant des représentants du ministère de l’Industrie, de l’Energie, et des PME, de celui de l’Environnement, et du Développement durable.

Sont aussi venus des cadres des fédérations et des centres techniques des trois secteurs, ainsi que (et surtout) les représentants de l’ONUDI et du coordinateur nationale du projet.

Quinze nouvelles entreprises, appartenant au secteur du textile, du cuir, et de l’agroalimentaire, bénéficieront de ce projet.

L’ONUDI a été fondée en 1966 et est devenue une Agence des Nations Unies en 1985. Elle aide les pays en voie de développement et les pays avec des économies en voie de transition dans leur combat contre la marginalisation dans des sociétés en pleine mondialisation.

Le but ultime est de faire disparaitre la pauvreté en favorisant l’augmentation de la productivité, en promouvant l’industrialisation. L’ONUDI encourage donc la connaissance, les compétences, l’information et la technologie.

Source : InfoTunisie

Tunisie : croissance des importations

La balance commerciale a s’est clôturé le au premier semestre 2009 avec un solde déficitaire, estimé à 2507 millions de dinars, selon l'Agence de promotion de l'Industrie (API).

Les importations industrielles ont atteint au cours de cette période environ 11 992,8 millions de dinars contre des exportations de l'ordre de 9485,8 millions de dinars.

La radioscopie des secteurs d'activités fait ressortir que le secteur des Industries mécaniques et électriques (IME) accapare la part du lion en matière d'importations avec quelque 6340,3 millions de dinars, suivi du secteur textile-habillement (1884,2 millions de dinars) et les Industries chimiques (ICH) pour le un montant de 1703,6 millions de dinars.

Pour ce qui est des exportations, les mêmes données révèlent que les Industries mécaniques et électriques (IME), le Textile-habillement et les Industries chimiques, représentent les secteurs les plus vendus affichant le meilleur chiffre d’affaires à l'extérieur avec des valeurs d'exportation respectives de l'ordre de 3338 millions de dinars, 2877,6 millions de dinars et 1186,5 millions de dinars.

Source : AfricanManager

Les PME tunisiennes reçoivent une ligne de crédit de 40 millions d'euros

La France va consentir aux PME tunisiennes une ligne de crédit de 40 millions d'euros, a fait savoir l'agence TAP lundi 14 septembre.

Ce plan, qui prévoit une période de remboursement de dix ans et des taux d'intérêt annuels peu élevés, bénéficiera essentiellement aux entreprises tournées vers l'exportation.

Source : Magharébia

Tunisie : Installation des unités de protection de l’environnement

En l’absence d’un système de collecte, de transport et de traitement des déchets industriels et spéciaux, le milieu naturel peut connaître une dégradation irréversible et dangereuse.

En effet, de tels déchets contiennent des substances nocives en mesure de polluer les terres agricoles ainsi que les espaces verts, d’où les dispositions prises par le ministère de l’Environnement et du Développement durable en vue d’orienter ces déchets vers des espaces adéquats de traitement.

De plus, les industriels peuvent bénéficier du financement nécessaire avec facilités en recourant au Fonds de dépollution (Fodep) qui a permis déjà à plusieurs promoteurs d’installer des unités de traitement et de protection de l’environnement.

Le travail se poursuit en vue d’inciter d’autres professionnels à opter pour la production propre à la faveur de nouvelles techniques utilisées de par le monde.

Le dispositif national des décharges contrôlées pour les déchets ménagers et similaires a été renforcé.

Celui-ci ne doit pas recevoir les déchets industriels et spéciaux qui sont malheureusement parfois jetés dans des décharges anarchiques que les services compétents sont en train de fermer pour les transformer en espaces verts ou jardins publics.

Un programme spécial consacré à ce type de déchets a été donc mis en œuvre en installant d’abord une unité de traitement à Jradou – qui a été inaugurée par le Chef de l’Etat – relevant du gouvernorat de Zaghouan pour un coût de 30 MD.

En outre, trois centres de stockage et de transfert ont été installés à Bizerte pour le Nord, à Sfax pour le Centre et à Gabès pour le Sud, ce qui a nécessité un financement estimé à 22 MD.

Avant la mise en fonction de tout ce dispositif, les industriels ont été invités à optimiser le stockage de leurs déchets en évitant de les jeter dans la nature.

L’année dernière, des journées de sensibilisation et d’information ont été organisées au profit des chefs d’entreprise pour les inciter à prendre en compte la dimension écologique dans le processus de production.

Le Centre international des technologies de l’environnement de Tunis (Citet), sous la tutelle du ministère, a mis en œuvre, l’année écoulée, un programme de visites sur le terrain en vue d’assurer le diagnostic environnemental primaire gratuitement auprès de 36 entreprises industrielles et cinq établissements hôteliers.

Ce programme vise, en définitive, à présenter les prestations dudit centre en matière de gestion saine tout en incitant les industriels à adhérer au programme de mise à niveau environnementale. Une première évaluation de la situation environnementale de l’entreprise a été effectuée à cette occasion en vue de définir les points positifs et négatifs.

Ensuite, des procédures sont proposées aux chefs d’entreprise pour limiter les effets de la pollution. Un partenariat entre l’entreprise et le centre est possible à la faveur d’une convention d’assistance technique conclue entre les deux parties.

L’assistance technique vise à soutenir les entreprises concernées pour une gestion rationnelle des différents types de déchets, à savoir les déchets hydriques, atmosphériques et solides conformément à la législation en vigueur.

Il s’agit aussi d’améliorer les méthodes de production en vue de comprimer le coût de consommation des matières premières, de l’énergie et de l’eau, parallèlement à l’atténuation des effets de la pollution à la source. 

Parmi les interventions effectuées l’année dernière par le centre, à titre d’exemple, on peut citer la mise à niveau de la station de traitement des eaux usées industrielles, l’assistance technique pour l’installation d’une telle station et l’amélioration du rendement de celle-ci au profit d’un nombre d’entreprises.

Le diagnostic relatif aux émissions de gaz a concerné, quant à lui, 100 entreprises industrielles.

L’assistance a même abordé la pollution sonore dans les entreprises en recourant à la production propre.

Une stratégie préventive intégrée devrait être mise en œuvre par toute entreprise en vue de réduire les risques pour l’effectif humain et le milieu naturel. Une journée de sensibilisation a été organisée à cet effet pour inciter les industriels à choisir le système de production propre.

Source : InvestirenTunisie

Les Tunisiens et les libanais sont les plus motivés au travail

Selon une étude élaborée par le site de recrutement en ligne bayt.com, les  Tunisiens et les libanais sont les plus motivés dans leur travail dans la région arabe, et ce à hauteur de 72%.

Cette étude qui a concerné l’ensemble des pays arabes a été menée par ledit site en collaboration avec le site spécialisé YouGov.

L’étude comprenait des interrogations aux interviewés sur l’importance de l’équilibre travail- vie et si cette équation est respectée par les employeurs ? 73% de l’échantillon ont t insisté sur l’importance de cet équilibre sur le niveau de motivation.    

Les sondeurs ont  interrogé les personnes étudiées si elles sentaient que le travail qu’elles faisaient est utile et  important pour leurs compagnies. 76%, -comme moyenne de la région-  des personnes interrogées approuvent que c’est important, mais cela varie selon les pays : 84% des personnes interrogées en Syrie, 83% au Maroc.

Les travailleurs les plus positifs quant à leur apport à leurs postes de travail se trouvent en Tunisie et en Algérie, avec 92% admettant que ce qu’ils font est « personnellement important ».

L’étude a par ailleurs déduit que 84% des  répondants du Bahreïn sont satisfaits, soit le plus important taux, suivis par les Tunisiens (83%) et l’Egypte 82%.

Cette étude a été élaborée durant la période allant du 3 au 17 juillet 2009, et  a concerné 13,376 personnes de tous les pays de la région (Arabie Saoudite, EAU, Qatar, Oman, Koweït, Bahreïn, Syrie, Jordanie, Liban, l’Egypte, le Maroc, l’Algérie, la Tunisie et le Pakistan).

L’échantillon de l’étude était composé d’hommes et de femmes âgés de plus de 21 ans.

Source : AfricanManager

Précisions sur la station de dessalement d’eau potable à Djerba

Comme nous l’avions annoncé précédemment, une station de dessalement de l'eau de mer sera aménagée à Djerba (gouvernorat de Médenine) pour répondre aux besoins croissant de la région en eau potable. 

Il est attendu que cette station, dont le coût est estimé à 60 millions de dinars,  fournisse au quotidien 50 mille mètres cubes, avec des possibilités d'extension, en vue de pouvoir répondre à la demande, jusqu'à l'année 2025.

La demande en eau potable, dans, est marquée par une augmentation palpable, au cours de l'été. Ainsi, dans l'île de Djerba, uniquement, la consommation a atteint des pics de 53 mille mètres cubes, par jour, durant l'été 2009.

En raison de la rareté de l'eau et de sa salinité qui atteint 7 grammes par litre, la région a bénéficié de l'installation de deux stations de dessalement de l'eau des puits, l'une à Zarzis, en 2000, avec une capacité de production d'environ 15 mille mètres cubes par jour, et la deuxième à Djerba, produisant près de 20 mille mètres carrés au quotidien, depuis 2001.

Source : AfricanManager