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Atel se développe sur le marché des Enr en Italie

Le groupe suisse Atel a pris une participation de 30% dans les activités de Moncada Energy Group S.r.l. en Italie.

La nouvelle entreprise réalise et exploite en Italie des parcs d’éoliennes onshore et offshore, ainsi que des installations solaires et biomasse.

M & A Rinnovabili dispose déjà d'une puissance installée de 105 MW avec ses installations éoliennes.

D’autres projets offrant une puissance totale de plus de 1000 MW sont en cours.

A travers l’acquisition de cette participation de 30%, Atel renforce sa présence sur le marché italien et son engagement dans les énergies renouvelables.

Par ailleurs, Atel s’est fixé pour but d’obtenir en Italie une partie des certificats verts dont elle a besoin à partir de l’exploitation de ses propres centrales électriques et à travers des prises de participation dans des centrales électriques.

Atel possède déjà des participations dans toute une série de centrales électriques en Italie qui produisent du courant aussi bien de manière conventionnelle qu’à partir  de sources d’énergie renouvelables.

Ces centrales sont au nombre de dix-sept et leur puissance installée globale s’élève à 1'700 MW. Depuis 2008, deux parcs d’éoliennes, dont Atel détient 49%, sont en activité en Sicile: leur production annuelle est de 220 GWh.

En Italie du Nord, Atel s’engage par ailleurs dans l’utilisation de la force hydraulique.

La nouvelle entreprise commune englobe les complexes énergétiques éoliens, solaires et biomasse de Moncada, qui sont actuellement en service ou en projet en Italie.

Grâce à son partenariat avec Atel, Moncada dispose désormais d’un partenaire européen puissant pour le commerce de l’électricité produite à partir d’énergies renouvelables. Les deux parties ont convenu de tenir le prix de vente secret.

Source : Enerzine

Les usines se mettent au vert

La guerre contre la pollution sévit sur tous les fronts, y compris celui des usines. Les sites de production font également l'objet d'améliorations constantes afin de réduire leur impact sur l'environnement.

Les constructeurs investissent de plus en plus dans les technologies permettant de réduire les rejets de CO2 de leurs véhicules.

Mais il n'y a pas que le produit en lui-même qui pollue : sa fabrication demande également beaucoup d'énergie, laquelle est de plus en plus onéreuse. Les constructeurs y voient donc également des économies potentielles.

De gros progrès ont été réalisés dans les processus de fabrication, de la matière première jusqu'au produit fini. Les normes permettent de mieux protéger l'environnement mais certains constructeurs vont encore plus loin.

D'un point de vue écologique, aucun processus de fabrication n'est épargné, non plus que les énergies employées. L'eau est un élément à protéger. Dans certaines régions, elle se raréfie et sa sensibilité aux affluents toxiques peut entraîner de graves dégradations du milieu. 

Certaines usines possèdent leur propre station d'épuration comme, par exemple, Toyota à Valenciennes ou PSA à Rennes. Le gain n'est pour l'instant pas d'ordre économique mais s'évalue plutôt en termes d'image et d'indépendance vis-à-vis de la commune dont les usines dépendent.

Un site de production peut tout à fait utiliser l'eau potable uniquement pour les activités humaines (cuisine, sanitaire...), et pas forcément pour la production automobile. La consommation d'eau utilisée pour l'élaboration d'un véhicule a sensiblement diminué et atteint aujourd'hui 1,13 m3 pour une Toyota Yaris, contre 2,4 m3 en 2002. 

Quelques détails, comme la disposition de la cartouche de peinture, limitent la consommation d'eau. Placée près de l'extrémité du robot, elle évite de nettoyer les tuyaux lors d'un changement de couleur. Seule la cloche centrifugeuse est concernée dans ce cas. 

L'énergie électrique est aussi en recul d'environ 50 % depuis 2002. Les équipements de production moderne, tels les nouveaux échangeurs thermiques pour les cabines de peinture ou les chaudières à eau chaude sont désormais plus performantes et permettent de réaliser ces économies. 

Un site de production ne s'implante pas à la légère. Beaucoup plus de paramètres sont dorénavant pris en compte, et c'est pourquoi les futures usines seront plus compactes.

L'impact sur l'environnement sera alors moins important. Les constructeurs ont à y gagner en énergie, mais aussi en temps. Le besoin en éclairage est moindre, les déplacements sont plus rapides et les opérateurs voient leurs mouvements limités. 

La prochaine étape consistera à accroître les énergies renouvelables. Les bacs de récupération d'eau, les panneaux solaires ou encore les éoliennes sont ainsi amenés à se développer à brève échéance. Les automobiles évolueront également : PSA espère, d'ici à 2011, porter la part des matériaux verts (matériaux organiques recyclés, matériaux naturels et polymères non issus de la filière pétrochimique) à 20 % dans chacun de ses véhicules.

Source : l'Argus

L'Algérie s'associe à une entreprise allemande pour développer l'énergie solaire

La Silicon Technology Development Unit (UDTS) algérienne et l'entreprise allemande Sonnergy GmbH ont signé un protocole d'accord visant la création d'une entreprise en partenariat pour le développement de l'énergie solaire en Algérie, a fait savoir l'UDTS lundi 4 août.

Ce protocole d'accord couvre le consulting, l'ingénierie, le transfert de technologie et la formation, a précisé aux journalistes le directeur général de l'UDTS, Messaoud Boumaour.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts de l'Algérie visant à développer les énergies renouvelables, en particulier solaire et nucléaire, en coopération avec la France, les Etats-Unis, l'Allemagne, la Russie, la Chine et le Brésil.

Source : Magharébia

Cevital construira une centrale thermique solaire en 2009

Cevital poursuit sa diversification, avec des projets dans  l'électricité. Le premier groupe privé du pays par le chiffre d'affaires veut se doter d'un prototype de centrale électrique fonctionnant à l'énergie solaire

Pour y arriver, Cevital a entamé il y a quelques mois des discussions avec plusieurs sociétés américaines, allemandes, françaises et italiennes possédant la technologie de construction de centrales électriques thermique solaire.

Les discussions concernent l'établissement d'un partenariat pour la construction dans le Sahara algérien d'un prototype de centrale électrique thermique solaire.

Cette centrale la première du genre du pays devrait voir le jour en 2009.

Cevital s'intéresse particulièrement à l'acquisition de la technologie nécessaire pour devenir pionnier dans la génération électrique à partir du soleil.

« Le solaire est l'énergie de demain.

Le montant des investissements nécessaires à la réalisation d'une centrale électrique thermique solaire ne sera déterminant, ce qui nous intéresse, c'est la technologie », affirme à toutsurlalgerie.com, le PDG de Cevital Issaâd Rebrab.

Cevital va lancer bientôt, via sa filiale MFG (Méditerranéen float glass) la production du verre utilisé dans la fabrication des miroirs destiné aux centrales électriques thermique solaire.

Par ailleurs, Cevital a lancé la construction de deux centrales électriques en cogénération de 25 MW chacune à Bejaia.

But : alimenter son complexe agroalimentaire situé dans cette ville, et proposer l'excédent de production aux particuliers.

La production d'électricité est ouverte au privé en Algérie, selon une loi adoptée récemment par le gouvernement.

Source : Tout sur l'Algérie

L'Europe compte investir 45,5 M€ en Tunisie et au moyen orient

La Tunisie figure dans un plan d'investissement de 45,5 M€ dans l'Energie Solaire 

* Des câbles transporteur d'énergie qui passent par la Tunisie

L'Institut de l'énergie de la Commission européenne est en train d'étudier des propositions visant à construire « des fermes solaires » couvrant une superficie égale à celle du Pays de Galles dans le Sahara et les déserts du Moyen-Orient.

Ces propositions ont été basées sur l'affirmation que 0,3% de l'énergie solaire dans les régions du moyen orient et de l'Afrique du Nord pourrait couvrir la totalité des besoins énergétiques de l'UE.

Source : Audinet