La coopération algéro-allemande est au beau fixe.
L’Algérie compte profiter davantage du savoir-faire des
Allemands dans le domaine de la gestion de l’eau et de
l’environnement et des énergies renouvelables.
Les chiffres avancés hier, à l’hôtel Sheraton, à l’occasion de l’ouverture du salon «EnviroAlgérie 2008» l’attestent.
«Le gouvernement allemand a consacré dans le cadre de la coopération 25 millions d’euros pour la gestion intégrée des eaux et de l’environnement en Algérie pour une durée de 5 à 6 ans et environ 4 millions d’euros pour le programme régional au Maghreb [Algérie, Maroc et Tunisie]», a annoncé Mme Ulrike Rosesler, directrice générale de l’Agence de coopération allemande (GTZ).
Pas moins de 60 sociétés allemandes et plus de 30 entreprises et institutions algériennes activant dans la gestion des déchets, des eaux, des énergies renouvelables prennent part au premier Salon algéro-allemand sur l’environnement, l’eau, l’efficience énergétique et les énergies renouvelables intégrant un congrès scientifique et une bourse de coopération.
Le directeur général de la Chambre algéro-allemande de commerce et d’industrie (AHK Algérie), M. Andreas Hergenrother, a relevé l’évolution des échanges économiques et commerciaux entre l’Algérie et l’Allemagne.
Ces derniers ont enregistré une hausse considérable de 20% en 2007 et 30% durant le premier semestre 2008.
Les chiffres avancés hier, à l’hôtel Sheraton, à l’occasion de l’ouverture du salon «EnviroAlgérie 2008» l’attestent.
«Le gouvernement allemand a consacré dans le cadre de la coopération 25 millions d’euros pour la gestion intégrée des eaux et de l’environnement en Algérie pour une durée de 5 à 6 ans et environ 4 millions d’euros pour le programme régional au Maghreb [Algérie, Maroc et Tunisie]», a annoncé Mme Ulrike Rosesler, directrice générale de l’Agence de coopération allemande (GTZ).
Pas moins de 60 sociétés allemandes et plus de 30 entreprises et institutions algériennes activant dans la gestion des déchets, des eaux, des énergies renouvelables prennent part au premier Salon algéro-allemand sur l’environnement, l’eau, l’efficience énergétique et les énergies renouvelables intégrant un congrès scientifique et une bourse de coopération.
Le directeur général de la Chambre algéro-allemande de commerce et d’industrie (AHK Algérie), M. Andreas Hergenrother, a relevé l’évolution des échanges économiques et commerciaux entre l’Algérie et l’Allemagne.
Ces derniers ont enregistré une hausse considérable de 20% en 2007 et 30% durant le premier semestre 2008.
Il a par ailleurs
souligné que 160 sociétés allemandes sont
implantées aujourd’hui dans notre pays.
L’Algérie est concernée directement par la pollution émergente mais également la forte croissance de la population algérienne, surtout dans les zones de concentration urbaine le long de la côte, qui demande de nouvelles solutions dans la gestion des eaux usées et dans le domaine de l’énergie.
Organisé par la Chambre algéro-allemande de commerce et d’industrie (AHK) en collaboration avec la GTZ (Agence de coopération allemande) sous le patronage du ministère de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme et le soutien du ministère allemand de la Coopération.
L’Algérie est concernée directement par la pollution émergente mais également la forte croissance de la population algérienne, surtout dans les zones de concentration urbaine le long de la côte, qui demande de nouvelles solutions dans la gestion des eaux usées et dans le domaine de l’énergie.
Organisé par la Chambre algéro-allemande de commerce et d’industrie (AHK) en collaboration avec la GTZ (Agence de coopération allemande) sous le patronage du ministère de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme et le soutien du ministère allemand de la Coopération.
Différentes entreprises allemandes sont déjà en charge de projets en Algérie dans les domaines de l’environnement, comme par exemple dans ceux des eaux usées, de la gestion des déchets et des énergies renouvelables.
«EnviroAlgérie 2008» donne des impulsions supplémentaires au renforcement des relations économiques existantes et en initie de nouvelles pour des coopérations à valeur ajoutée pour les deux pays. Le but est de relever les défis environnementaux en renforçant le partenariat avec l’Allemagne, leader dans le domaine de la production de la technologie et de la gestion de l’environnement, a indiqué Cherif Rahmani.
Ce salon est dans ce sens une occasion incontournable non seulement pour les instituions publiques mais aussi pour les collectivités locales qui doivent profiter des capacités d’expertise et du savoir-faire des Allemands. Les entreprises algériennes devraient y trouver l’opportunité de partenariat avec la partie allemande désireuse d’investir en Algérie.
Donc, l’occasion est à saisir pour nouer des contacts.
Abondant
dans ce sens, Son Excellence l’ambassadeur de la
République d’Allemagne en Algérie, M. Johannes
Westerhoff, a évoqué l’importance de ce salon qui,
dit-il, est une première entre l’Algérie et
l’Allemagne.
Il traduit, selon lui, la volonté des deux partenaires d’élargir la coopération pour relever en commun les défis environnementaux. Il ajoutera que le gouvernement fédéral se réjouit de voir que l’Algérie et son gouvernement, avec à leur tête le président Bouteflika, ont clairement désigné les problèmes de l’environnement comme une priorité politique au niveau national.
Toutefois, souligne-t-il en substance, «une politique nationale est nécessaire mais pas suffisante aujourd’hui, d’où la nécessité d’un partenariat Algérie-Allemagne plus étroit et plus fructueux». «Je crois que, aujourd’hui, toutes les conditions sont réunies pour que cette coopération porte ses fruits», conclut–il.
Source : La Tribune
Il traduit, selon lui, la volonté des deux partenaires d’élargir la coopération pour relever en commun les défis environnementaux. Il ajoutera que le gouvernement fédéral se réjouit de voir que l’Algérie et son gouvernement, avec à leur tête le président Bouteflika, ont clairement désigné les problèmes de l’environnement comme une priorité politique au niveau national.
Toutefois, souligne-t-il en substance, «une politique nationale est nécessaire mais pas suffisante aujourd’hui, d’où la nécessité d’un partenariat Algérie-Allemagne plus étroit et plus fructueux». «Je crois que, aujourd’hui, toutes les conditions sont réunies pour que cette coopération porte ses fruits», conclut–il.
Source : La Tribune
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