Depuis le lancement de la convertibilité des véhicules vers l’utilisation du GPL en Algérie, il y a eu 120 000 opérations de convert....
Depuis le lancement de la convertibilité des véhicules vers l’utilisation du GPL en Algérie, il y a eu 120 000 opérations de convertibilité seulement.
Le secteur des transports figure parmi les plus grands consommateurs d’énergie en Algérie. Le recours à l’utilisation des carburants non polluants fait partie des mesures prises dans le cadre de l’économie des ressources énergétiques.
Depuis le lancement de la convertibilité des véhicules vers l’utilisation du GPL, il y a eu 120 000 opérations de convertibilité seulement.
Un chiffre considéré comme faible par rapport au nombre des véhicules existants dans le parc national et surtout comparativement à l’expérience de l’Algérie en la matière.
Pour donner une impulsion à cette opération, le directeur général de l’Agence pour la préservation et la rationalisation de l’utilisation de l’énergie (APRUE), M. Salah Bouzriba, a proposé l’implication des banques dans ce processus à travers l’introduction d’un crédit spécifique aux automobilistes, de façon à leur permettre de convertir les moteurs de leurs véhicules.
Ce mécanisme de facilitation, avec la mise en place de fonds de garantie, va sensibiliser aussi bien les automobilistes que les concessionnaires en Algérie sur la nécessité d’utiliser ce carburant moins polluant et moins cher aussi.
Selon le même responsable, cette opération n’a pas connu le succès attendu pour de multiples raisons.
« Il y a une méconnaissance de ce carburant et une appréhension qui a entouré son utilisation. L’autre facteur est relatif aux coûts exorbitants de la convertibilité estimée à 70 000 DA pour une opération », a expliqué M. Bouzriba lors de son passage à la Chaîne III.
Selon lui, l’octroi des crédits de consommation pour cette opération va encourager les gens à adhérer à l’idée.
Source : Algérie-dz
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