En coopération
avec la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Zahlé et
de la Békaa, le programme pour l’amélioration de la qualité des
produits libanais destinés à l’exportation « Quality Lebanon » (Qualeb)
et le Projet du développement agricole (PDA), tous deux financés par
l’UE, ont inauguré hier une session de formation de deux jours, autour
des exigences de l’Organisation internationale de normalisation (ISO)
relatives au système de management de la sécurité des denrées
alimentaires.
Le directeur du programme Qualeb, Ali Berro, a affirmé que « le développement de la mondialisation et la libéralisation des échanges entre les pays ont été accompagnés par la complexité du niveau des critères sanitaires dans les pays développés, ce qui a conduit dans bien des cas au rejet des exportations libanaises, notamment celles du secteur agricole ».
Les chiffres comparatifs du ministère de l’Économie entre la période mai 2002-décembre 2004 et la période décembre 2005-juillet 2007 semblent lui donner raison : ils révèlent une augmentation des cas de rejet des exportations libanaises de 133 à 199.
Concernant les raisons de ces rejets, les cas dus à l’aflatoxine ont progressé de 5 % à 6 %, ceux dus à la salmonella de 5 % à 22 %. Et ceux rejetés faute d’enregistrement du producteur auprès des autorités libanaises sont passés de 8 à 20 %, notamment en raison des nouvelles lois d’exportation à destination des États-Unis.
Par contre les cas de rejet liés aux conditions d’emballage et de packaging ont décru de 40 % à 30 % entre les deux périodes. Pareil pour les cas relatifs aux colorants qui ont reculé de 25 % à 10 %.
Afin de résoudre « efficacement » ces problèmes, les coopératives d’agriculteurs de fruits et de légumes participant au programme Qualeb se chargeront désormais des opérations de lavage, de remplissage, de refroidissement, et de transport vers les marchés locaux et internationaux, ainsi que de la vente des produits à l’étranger.
Les revenus de la vente seront ensuite redistribués aux agriculteurs après déduction des dépenses de la coopérative, a affirmé le représentant du ministre démissionnaire de l’Agriculture, Mohammad Jomaa. Le projet a octroyé aux coopératives concernées des aides financières couvrant 40 % des investissements requis pour la construction des infrastructures nécessaires à de telles opérations, a-t-il poursuivi.
Le directeur du programme Qualeb, Ali Berro, a affirmé que « le développement de la mondialisation et la libéralisation des échanges entre les pays ont été accompagnés par la complexité du niveau des critères sanitaires dans les pays développés, ce qui a conduit dans bien des cas au rejet des exportations libanaises, notamment celles du secteur agricole ».
Les chiffres comparatifs du ministère de l’Économie entre la période mai 2002-décembre 2004 et la période décembre 2005-juillet 2007 semblent lui donner raison : ils révèlent une augmentation des cas de rejet des exportations libanaises de 133 à 199.
Concernant les raisons de ces rejets, les cas dus à l’aflatoxine ont progressé de 5 % à 6 %, ceux dus à la salmonella de 5 % à 22 %. Et ceux rejetés faute d’enregistrement du producteur auprès des autorités libanaises sont passés de 8 à 20 %, notamment en raison des nouvelles lois d’exportation à destination des États-Unis.
Par contre les cas de rejet liés aux conditions d’emballage et de packaging ont décru de 40 % à 30 % entre les deux périodes. Pareil pour les cas relatifs aux colorants qui ont reculé de 25 % à 10 %.
Afin de résoudre « efficacement » ces problèmes, les coopératives d’agriculteurs de fruits et de légumes participant au programme Qualeb se chargeront désormais des opérations de lavage, de remplissage, de refroidissement, et de transport vers les marchés locaux et internationaux, ainsi que de la vente des produits à l’étranger.
Les revenus de la vente seront ensuite redistribués aux agriculteurs après déduction des dépenses de la coopérative, a affirmé le représentant du ministre démissionnaire de l’Agriculture, Mohammad Jomaa. Le projet a octroyé aux coopératives concernées des aides financières couvrant 40 % des investissements requis pour la construction des infrastructures nécessaires à de telles opérations, a-t-il poursuivi.
Source : l'Orient-Le Jour
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