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La Libye signe trois contrats ferroviaires

Dans ce cadre, l'Office des chemins de fer et la société sud-coréenne "Dong Myung" de consulting en ingénierie ont signé un accord de supervision sur l'exécution de l'axe "Syrte-Tripoli", le suivi technique et le contrôle de la marche des travaux sur cette ligne exécutée par une société chinoise d'ingénierie et d'architecture sur une longueur de 472 km à double voie destinée à transporter les personnes et les marchandises.

Le deuxième contrat signé entre l'Office et la société canadienne Gilmat porte sur la supervision et le suivi de l'exécution de l'axe "Al-Hichaz-Sebha" exécuté également par une société chinoise d'ingénierie et d'architecture sur une distance de 810 km à voie unique permettant d'atteindre une vitesse de 160 km/h en adéquation avec les normes de pointe dans le monde.

Les deux contrats stipulent la nécessité pour les entreprises contractantes de superviser les travaux de Génie civile dont les routes, les barrières de protection, les structures en béton, les stations et leurs annexes en plus des travaux des rails et leurs annexes, les travaux mécaniques, électriques, les divers types de signalisation, de communication et de protection de l'environnement.

La mise à disposition des techniciens et ingénieurs compétents pour superviser les travaux et former le personnel libyen en vue de les préparer à prendre la relève et à gérer ces lignes ferroviaires ont été mentionnés dans les clauses des contrats signés entre l'Office et les entreprises précitées.

L'Office libyen de chemin de fer a signé aussi avec la société allemande "DB" un contrat pour l'élaboration d'une étude portant sur le système d'utilisation de la main-d'?uvre recrutée et l'administration, ainsi que la planification scientifique pour l'exécution des axes et lignes de chemin de fer.

Le contrat stipule aussi l'élaboration d'un programme de maintenance pour son application, conformément aux exigences du chemin de fer en Libye pour garantir la sécurité des lignes ferroviaires selon les dernières normes mondiales dans ce domaine.

Source : Afrique en ligne

Un salon médical en Libye la semaine prochaine

La septième édition du salon médical annuel sur l'assistance sanitaire en Libye se déroulera du 19 au 22 octobre à Tripoli, la capitale libyenne Tripoli, a appris mardi la PANA auprès des organisateurs.

Initié par le comité populaire de la santé et de l'environnement de la municipalité de Tripoli, ce salon verra la participation de 30 entreprises locales, arabes et internationales spécialisées dans l'industrie pharmaceutique, les équipements, installations et instruments médicaux.

En plus des ateliers, de nombreuses communications seront faites au cours de ce salon portant sur la présentation des dernières inventions médiales en matière de médicaments, d'équipements et d'installation médicales de pointe.

Par ailleurs la ville de Tripoli abritera aussi les 21 et 22 octobre une conférence scientifique sur "la responsabilité médicale : entre la réalité et le droit" organisée par le comité populaire de la santé et de l'environnement de la capitale libyenne.

Plusieurs médecins, spécialistes, pharmaciens et membres du personnel agissant dans les secteurs publics et privés, les assistants médicaux ainsi que le syndicat des médecins, le conseil médical spécialisé dans la détermination des responsabilités lors des fautes médicales et plusieurs spécialistes de la médecine légale participent à cette rencontre.

Des experts et spécialistes des questions ayant trait aux lois et aux règlements régissant la responsabilité médicale venant de plusieurs pays arabes participeront également à cette conférence.

Le programme de cette conférence porte sur plusieurs communications et papiers de recherche scientifiques s'articulant autour de quatre principaux axes, à savoir, les risques répandus et les moyens de les éviter, le rôle des conseillers juridiques du secteur de la santé et du syndicat professionnels dans la détermination de la responsabilité médicale et celui des sociétés d'assurance médicales dans la promotion de ce domaine.

Le conseil médical et la médecine légale et leur rôle dans la détermination de la responsabilité médicale et la charria islamique et les questions de responsabilité dans la faute médicale ont figuré parmi les axes qui seront débattus par les participants à cette rencontre.

Source : Afrique en Ligne

Kadhafi nomme son fils au deuxième poste le plus élevé de l'Etat

Le guide libyen Moammar Kadhafi a nommé mardi 13 octobre son second fils, Seif al-Islam, à un poste équivalent à celui de chef de l'Etat, ont fait savoir Libya Al-Youm et la presse internationale.

Le titre de "coordinateur des comités sociaux et populaires" confère à son fils âgé de 37 ans "l'autorité de contrôler le parlement, le gouvernement et la sécurité". Seif al-Islam a lancé plusieurs projets destinés à moderniser le régime, y compris une révision de la constitution et un plan de développement économique de 70 milliards de dollars, a précisé l'agence ANSA.

Source : Magharébia

La compagnie "Libyan Airlines" acquiert deux avions ATR

La compagnie "Libyan Airlines" a signé, mardi à Tripoli, un accord avec le constructeur aéronautique franco-italien ATR pour l'achat de deux avions de type ATR42/500 à hélices d'une valeur de 31 millions de dinars libyens (1,250 dinar libyen = 1 dollar US).

L'accord signé en marge de la 3ème édition du Salon aéronautique libyen LAVEX2009, qui a débuté lundi pour se poursuivre trois jours durant à l'aéroport de Maatigua sous le parrainage du comité général provisoire libyen de la Défense, stipule que le délai de livraison est de 45 jours.

Quelque 100 entreprises spécialisées dans l'industrie aéronautique et les équipements de navigation, de construction de moteurs et de pièces détachées des différents types d'avions militaires et civils de plus de 18 pays dont la Russie, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France prennent part à cette manifestation.

L'espace aérien de l'aéroport de Maatigua a vécu, lundi et mardi, sous le rythme des vols de démonstration avec un spectacle auquel ont participé des pilotes libyens qui ont exécuté différentes figures avec des Mirages F1 et des Mig 23 et 39 de combat.

L'avion de chasse français, le Rafale, a participé à ces démonstrations ainsi que les avions "Eurofighters" européens en plus des avions italiens Augusta 109 et les hélicoptères de même marque 119 et 311 ainsi que le Portugal avec l'avion 319.

Les avions ATR commandés par la Libye se distinguent par une grande rentabilité économique, confort certain et une capacité à décoller et à atterrir sur des aéroports sommaires.

La "Libyan Airlines" a signé avec le constructeur aéronautique Airbus un contrat de commande de 7 avions de type/320, 4 de type/330 et 4/350. Le premier avion de type/320 devrait être livré en septembre 2010.

Source : Afrique en Ligne

MENA, comment naviguer entre la crise et la récession ?

Samedi 03 octobre 2009, les services de la Banque mondiale ont publié, à Istanbul, le rapport annuel relatif à la santé économique de la région MENA, aux retombées de la triple crise (financière, alimentaire et énergétique) sur les économies des pays qui la composent et aux facteurs structurels susceptibles d’enrayer, dans ces contrées, le choc du tassement du crédit international, d’améliorer la résilience des opérateurs économiques locaux et de renforcer l’aptitude des pouvoirs publics à réagir face à des crises ultérieures.

Les experts de cette institution financière internationale ont mis en exergue la surexposition des économies des pays du Conseil de Coopération du Golfe (CCG) aux aléas de l’ordre capitaliste mondial, de son délire boursier et de ses déboires bancaires en raison des liens organiques de ses secteurs capitalistiques avec les principales places marchandes de la planète, tout en soulignant la forte réactivité de ces émirats face à la déconfiture de la galaxie finance, grâce au matelas de devises fourni lors de la période des excédents pétroliers antérieurs.

Cela dit, les fonds souverains des pays du CCG ont enregistré des pertes considérables sur leurs investissements dans les institutions financières mondiales. Selon des estimations liminaires du Council on Foreign Relations, les portefeuilles ont vu leur valeur diminuer de 27% entre décembre 2007 et décembre 2008 avec des pertes à hauteur de 40% pour ceux qui avaient fortement investi dans des titres mondiaux.

Cependant, d’après le rapport, l’économie réelle de la région MENA a bien tenu le choc face aux effets de la crise en 2008 grâce à la reprise positive des cours pétroliers et au dynamisme du secteur du bâtiment. Le PIB était en hausse, passant de 5,6% en 2007 à 6,1% en 2008.

Cette résistance, indiquent certains observateurs, marque un contraste saisissant avec d’autres pays développés où la croissance a chuté par rapport aux niveaux enregistrés en 2007.

Dans ce contexte, la situation économique de MENA devrait se dégrader pendant l’année en cours avec une contraction brutale de la croissance globale passant de 6,1% en 2008 à 2,2% en 2009 pour revenir à 4% en 2010.

A cet égard, l’Organisation Internationale du Travail (OIT) prévoit, en 2009, une augmentation de 25% du taux de chômage au Moyen-Orient et de 13% en Afrique du Nord par rapport à 2007.

Les pays non exportateurs de pétrole

La Tunisie, l’Egypte et le Maroc, dôtés d’économies diversifiées et étroitement liées à la zone euro, sont objectivement exposés, à travers les échanges, aux événements intervenant dans le Vieux continent, disposent d’un volet budgétaire restreint, mais possèdent aussi une capacité institutionnelle à même d’appliquer des mesures macroéconomiques et structurelles draconiennes.

Dans ces trois pays, souligne la note de la Banque mondiale, la croissance devrait s’essouffler pour s’établir aux environs de 4% en 2009 et de 3,9% en 2010 avec une inflation autour de 5,2% en 2009 et de 4,3% en 2010.

Le déficit budgétaire moyen pendant ces deux années sera un peu identique à celui de 2008, soit 4,5% du PIB.

La Tunisie et le Maroc bénéficient d’un certain espace budgétaire grâce à leur faible endettement public ; l’Egypte, quant à elle, n’en a pas et aura des difficultés à financer en 2009-2010 d’autres mesures de relance que celles déjà annoncées par les autorités.

C’est ainsi que face à la chute des recettes publiques et au resserrement des financements extérieurs, la dette intérieure publique peut constituer une solution attrayante. Mais là, gare à l’inflation et à la prise d’otages des générations futures.

Enfin, les trois pays de ce groupe, tout en réussissant, durant la dernière décennie, à lever quelques obstacles à l’activité commerciale, à s’arrimer un tant soit peu à l’économie-monde et à renforcer le secteur privé, demeurent, conclut le rapport de la Banque mondiale, nettement en deçà des normes internationales relatives à la bonne gouvernance.

Les dirigeants des PME dans la région MENA dénoncent régulièrement les pratiques anticoncurrentielles, l’incertitude réglementaire, la corruption et les conditions non équitables qui favorisent certaines entreprises sur place au détriment de nouvelles venues ou des concurrentes.

Un vénérable trublion ! avait raison : La bonne gouvernance est un remède anti-crise, alors que la mauvaise est un appel d’air à la crise, dixit un ancien trotskiste, métamorphosé, grâce aux urnes, en locataire de Matignon.

Source : WebManagerCenter

Un projet de chemin de fer de 16 millions dinars en libye

L'Autorité d'exécution et de gestion du projet de chemin de fer en Libye a signé, mercredi soir à Tripoli, avec deux bureaux de consulting en ingénierie, un libyen et l'autre l'allemand "Dorsch Consult", un contrat pour la conception et l'élaboration de la maquette de l'axe de chemin de fer reliant Benghazi à Tobrouk à M'Saad (Est et Nord du pays) pour un coût de 16 millions de dinars libyens (1,250 dinar = 1 dollar US).

Le contrat stipule que la durée des travaux de conception de la maquette du projet de chemin de fer d'une longueur de 700 km est de 22 mois.

Une source auprès de l'Autorité d'exécution et de gestion du projet de chemin de fer en Libye a indiqué que cet axe sera conçu selon les normes internationales de transport des marchandises et des personnes et reliera les quartiers aux zones industrielles de Benghazi jusqu'à M'Saad.

La même source a indiqué qu'après l'élaboration de la maquette de ce projet, un appel d'offres sera lancé à l'intention des sociétés internationales spécialisées dans l'exécution des chemins de fer pour la mise en oeuvre de ce projet et le parachèvement du réseau de chemin de fer en Libye qui reliera de Ras Jedir à l'ouest à la frontière avec la Tunisie à M'Saad à l'Est jusqu'à la frontière avec l'Egypte et Al-Hicha au Nord jusqu'à Sebha et Chaati au Sud du pays.

Source : Afrique en Ligne

La Libye libéralise lentement le secteur bancaire

Dans une initiative visant à privatiser en partie son secteur bancaire, la Libye mettra sur le marché une participation de 15 pour cent dans la National Commercial Bank, pour une valeur de plus de 50 millions de dinars, a fait savoir l'agence Reuters citant le Gouverneur de la banque centrale Farhat Omar Bin Guidara, lundi 28 septembre.

Il a ajouté qu'un appel d'offre sera lancé l'année prochaine "pour deux ou trois licences de nouveaux établissements bancaires".

Source : Magharébia

La Tunisie et la Libye renforcent leur coopération dans le domaine de la santé

La Tunisie et la Libye ont signé samedi 26 septembre à Tunis un accord bilatéral dans le domaine de la santé, a fait savoir l'agence TAP.

Le ministre tunisien de la Santé Mondher Zenaidi et le secrétaire libyen à la Santé Mohamed Mahmoud Hijazi sont convenus de mettre en place un mécanisme conjoint pour l'achat de vaccins et de sérums et pour le contrôle de maladies contagieuses telles que le virus H1N1 de la grippe porcine.

Cet accord vise également à renforcer la coopération en matière de transplantation d'organes et de tissus, de recherche médicale conjointe et de formation.

Source : Magharébia

Vers une coopération tuniso-libyenne dans le domaine environnemental

Dans le cadre de ses visites effectuées à plusieurs ministères de la Tunisie comme celui de la santé publique, M. Mohamed Mahmoud Hijazi, Secrétaire du Comité populaire général libyen de la Santé et de l’Environnement a rencontré, hier, M. Nadhir Hamada, ministre de l’environnement et du développement durable.

Lors ce rendez-vous, M. Nadhir Hamada, a donné un aperçu des projets et programmes de la Tunisie en matière de protection de l’environnement, mettant l’accent sur les réalisations tel que la mise en œuvre d’un cadre juridique approprié dans le domaine de l’environnement et l’amélioration des conditions de vie des citoyens. Il a, aussi, rappelé que le pays consacre 1,2% du PIB par an au à ce secteur.

En outre, le ministre a souligné que la Tunisie a réalisé un progrès remarquable en matière de promotion des énergies renouvelable, de valorisation et d’exploitation des déchets dans la production de l’énergie, notamment à travers l’élaboration de nombreux projets de valorisation des déchets ainsi que le projet des écoles rurales dont les travaux ont été entamés dans le cadre de la coopération bilatérale.

Le ministre a, également, mis l’accent sur les possibilités prometteuses pour améliorer la coopération bilatérale entre la Tunisie et la Libye et le partenariat entre les deux pays dans plusieurs secteurs liés à l’environnement tels que : l’assainissement, la valorisation des déchets, la coordination des efforts et la participation des deux pays aux manifestations internationales environnementales.

De son coté, M. Mohamed Mahmoud Hijazi, secrétaire du Comité populaire général libyen de la Santé et de l’Environnement, a passé en revue les programmes de protection de l’environnement en Libye, exprimant la volonté de développer le partenariat avec la Tunisie dans le domaine de l’environnement.

I l a, également, insisté sur l’intensification des échanges de visites entre les responsables et experts des deux pays, le but étant de promouvoir et d’identifier les opportunités de coopération environnementale tuniso-libyenne.

Source : InfoTunisie

Une nouvelle station de production d’électricité à Benghazi

La Société générale libyenne d’électricité a inauguré une nouvelle station de production électrique à cycle combiné dans la ville de Benghazi (1.050 km, est de Tripoli) d’une capacité de 750 mégawatts dont l’objectif est d’agmenter les capacités complexes en énergie électrique afin de faire face à la croissance de la demande, d’assurer une stabilté du réseau et d’améliorer la qualité des services électriques.

Le coût de la station dont la construction a été supervisée par la Société générale libyenne d’électricité et la Société arabe d’investissements et de services d’ingénierie, est de 516,447 millions dinars libyens (1,250 dinar libyen = 1 dollar US).

La nouvelle station électrique de Banghazi, qui a été inaugurée à l’occasion du 40ème anniversaire de la révolution du premier septembre, comprend deux unités gazifières d’une capacité de 500 mégawatts et d’une unité à vapeur d’une capacité de 250 mégawatts.

La station, qui profite de l’énergie inhérente des gaz d’échappement issus des turbines à gaz, fonctionne sans avoir besoin de consommation de carburant supplémentaire, ce qui permet la réduction du coût du cycle de la production de l’énergie.

Selon des sources de la Société libyenne d’électricité, cette nouvelle institution comprend des systèmes de contrôle et de gaz et une station de haute tension 400/220 kilo-volts pour sa connexion au réseau de très haute tension 400 kilo-volts.

Les mêmes sources ont ajouté que la station regroupe aussi des turbines à vapeur et des échangeurs pour récupérer la chaleur latente issue des unités gazières en vue de l’exloiter dans le fonctionnement des unités à vapeur.

Source : Réussir