Les autorités marocaines veulent réduire le coût de la logistique de 20 à 15% du PIB en cinq ans.
Dans les tuyaux : plateformes logistiques interconnectées, développement des infrastructures portuaires ou encore dématérialisation des procédures douanières pour un investissement de plus de 5,3 mds€.
« Au Maroc, 98% des échanges extérieurs transitent par les ports (…) Il est nécessaire de développer les infrastructures de transit, les connectivités aux réseaux routiers et les zones logistiques », soulignait, fin avril, Jamal Benjelloun, directeur général de l’Agence nationale des ports (ANP), lors du premier Forum Afrique Développement organisé à Casablanca par le groupe AttijariwafaBank.
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