MARKETING - MEDITERRANEE

Algérie : Lancement des travaux de réalisation d’un CET à Mascara

Les travaux de réalisation d’un centre d’enfouissement  technique (CET) à Mascara ont été lancés mercredi, en présence du ministre de  l’Aménagement du territoire, l’Environnement et du Tourisme, M. Cherif Rahmani,  et de l’ambassadeur du royaume de Belgique en Algérie, M. Christiaan Van Driessche.         

Selon les explications fournies au ministre et la délégation qui l’accompagnait,  ce CET, situé dans la commune d’El Keurt à 3 km du chef-lieu de wilaya, prendra  en charge les déchets domestiques de 18 communes.

Un montant de 17 millions  d’Euros a été consacré à ce projet au titre de la coopération algéro-belge avec  une contribution de la Belgique de 9 millions d'Euros et un montant de 700 millions  de dinars accordé par l’Etat.         

Ce centre devra traiter 4,8 millions de m3 de déchets domestiques par  an pour une population de 371.000 habitants.         

M. Rahmani a déclaré à la presse que ce projet permettra de bénéficier  de l'expérience belge en matière de traitement des déchets, leur recyclage et  la récupération de matériaux pour leur réutilisation, comme le papier, le verre  et d'autres matières solides pour la construction, et de  protection de l'environnement  contre la pollution.          

Il a ajouté que le projet de réalisation d’un CET à Mascara, le premier  du genre dans le cadre du partenariat algéro-belge, vise le transfert de technologie,  sur la base de l'accord de partenariat signé, mercredi à Mascara, par la directrice  générale de l’environnement, Mme Boudjemaa Dalila, et l'Ambassadeur de Belgique  en Algérie, qui prévoit, dans un premier temps, une prise en charge par une  équipe belge de la gestion du CET et le transfert de l’expérience aux algériens  qui auront à poursuivre la gestion, et de la formation des travailleurs et des  cadres.         

M. Rahmani a insisté sur la nécessité d'accompagner la réalisation de  ce projet environnemental par des actions de sensibilisation des citoyens sur  son importance dans le développement de la région, et de maintenir un environnement  propre afin d’améliorer les conditions de santé, ainsi que donner une image  digne des villes, avec la participation de la population des municipalités impliquées  dans le nettoyage et la mise en place du plan de collecte des déchets et la  fourniture des équipements nécessaires.         

L'ambassadeur de Belgique a souligné de son côté que le CET de Mascara  est l'un des projets importants dans le cadre de la coopération bilatérale,  avec des dimensions écologiques pour préserver l'environnement et la santé   humaine, ajoutant que son pays est prêt pour le transfert d'expérience et d'expertise  dans ce domaine en Algérie.         

La visite dans la wilaya de Mascara a été marquée par  l'inspection du projet de la maison de l’environnement de Mascara dont le taux  d’avancement des travaux a atteint plus de 40 %. Ce projet prévoit des espaces d’information, d’animation, de création, des laboratoires, des espaces verts et une pépinière, un musée écologique où seront exposés des espèces florales  et des équipements destinés à la préservation de l’environnement, en plus  de salles d’exposition et de conférences et d'un jardin public.         

Source : El Moudjahid

Tunisie : Coopération tuniso-américaine en matière de santé

La coopération entre la Tunisie et les Etats-Unis d’Amérique est de plus en plus «diversifiée et d’un niveau élevé», souligne l’envoyé spécial du président américain, chargé des sciences et de la technologie pour les régions du Golfe et d’Afrique du Nord, M. Elias Zarhouni, en visite en Tunisie, qui a salué les importants progrès réalisés, en Tunisie, dans tous les domaines, particulièrement, l’économie et les sciences.

Cette visite s’inscrit dans le cadre d’une tournée dans les pays d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient dans la perspective de consolider le partenariat en sciences et technologie, entre les Etats-Unis et les pays du monde musulman.

Après avoir été convenu d’explorer et d’exploiter en partenariat des créneaux porteurs, tels que les TIC, les énergies renouvelables, la gestion de l’eau, la santé et la sécurité alimentaire, lors de son entretien avec le ministre des affaires étrangères, M. Kamel Morjane, le responsable américain a rencontré mardi à Tunis M. Béchir Tékkari, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, avant de rendre visite, hier mercredi, à l’Institut Pasteur.

En effet, M. Tekkari et l’hôte américain ont débattu de la coopération tuniso-américaine en sciences et technologie et les échanges académiques entre les deux pays.

Les deux responsables ont souligné, dans ce contexte, l’importance de la création de centres de recherche de pointe, le renforcement de la formation en langue anglaise ainsi que la consolidation des liens entre les compétences tunisiennes et américaines, selon l’Agence TAP.

Source : Info Tunisie

Tunisie : La consommation d’électricité en nette progression

La consommation d'électricité en Tunisie ne cesse d’augmenter d’année en année. En 2009, la puissance électrique installée par la Société Tunisienne de l’Electricité et du Gaz (STEG) s’est élevée à 3.465 MW contre 3.314 MW en 2008.

Disposant de 23 unités de production, la STEG produit 10.807 GWh contre 10.250 GWh en 2008. La production nationale s’élève, ainsi, à 14.148 GWh en 2009. Le taux d’électrification est de 99,6%, faisant ainsi de la Tunisie le pays le plus électrifié du continent africain.

Concerne le volume des ventes, il s’élève à 1.202 GWh pour la haute tension (18 abonnés), à 5.620 GWh pour la moyenne tension (15.132 abonnés) et à 5.334 GWh pour la basse tension (3.014.233 abonnés).

Par secteurs économiques, les services arrivent en tête des ventes d’électricité avec une consommation de 752,300 GWh, suivi par le tourisme (634,800 GWh), le pompage et services sanitaires (488,600 GWh), l’agriculture (432,600 GWh) et enfin le transport (579,800 GWh).

Pour le secteur de l’industrie, c’est l’industrie des matériaux de construction qui a consommé plus que les autres, soit 1.389,100 GWh, suivi par les industries diverses (778,300 GWh), l’industrie alimentaire (550,400 GWh), l’industrie textile (504,400 GWh), l’industrie chimique (307,600 GWh), l’industrie métallurgique (240,100 GWh) et l’industrie du papier et édition (131,600 GWh).

Source : WebManagerCenter

Tunisie : La consommation d’électricité en nette progression

La consommation d'électricité en Tunisie ne cesse d’augmenter d’année en année. En 2009, la puissance électrique installée par la Société Tunisienne de l’Electricité et du Gaz (STEG) s’est élevée à 3.465 MW contre 3.314 MW en 2008.

Disposant de 23 unités de production, la STEG produit 10.807 GWh contre 10.250 GWh en 2008. La production nationale s’élève, ainsi, à 14.148 GWh en 2009. Le taux d’électrification est de 99,6%, faisant ainsi de la Tunisie le pays le plus électrifié du continent africain.

Concerne le volume des ventes, il s’élève à 1.202 GWh pour la haute tension (18 abonnés), à 5.620 GWh pour la moyenne tension (15.132 abonnés) et à 5.334 GWh pour la basse tension (3.014.233 abonnés).

Par secteurs économiques, les services arrivent en tête des ventes d’électricité avec une consommation de 752,300 GWh, suivi par le tourisme (634,800 GWh), le pompage et services sanitaires (488,600 GWh), l’agriculture (432,600 GWh) et enfin le transport (579,800 GWh).

Pour le secteur de l’industrie, c’est l’industrie des matériaux de construction qui a consommé plus que les autres, soit 1.389,100 GWh, suivi par les industries diverses (778,300 GWh), l’industrie alimentaire (550,400 GWh), l’industrie textile (504,400 GWh), l’industrie chimique (307,600 GWh), l’industrie métallurgique (240,100 GWh) et l’industrie du papier et édition (131,600 GWh).

Source : WebManagerCenter

Tunisie : la ville de Sousse adhère à la gestion optimisée des déchets

Après les villes tunisiennes de Mahdia et Djerba, Sousse vient d’adhérer au projet de gestion optimisée des déchets en méditerranée (Godem) qui s’engage dans la réalisation d’actions pilotes destinées à apporter des réponses spécifiques en termes de prévention, de collecte et de traitement.

Financé par le programme de l’Union européenne d’appui au développement urbain et territorial, «CIUDAD» (Cooperation in Urban Development and Dialogue), le projet Godem agit sur la réduction des déchets, le développement du tri à la source, de la collecte sélective et du recyclage, parallèlement à la gestion de situations urgentes.

Après avoir annoncé son adhésion, lors de son conseil municipal, la ville de Sousse participe à ce projet à travers le diagnostic de la situation actuelle liée à la collecte et au transfert des déchets de jardins et constructions, dans le cadre d’un accord qui sera signé entre la commune de Sousse et l’Institut belge de gestion de l’environnement.

Il s’agit également de l’aménagement des décharges contrôlées pour une enveloppe de l’ordre de 113 mille dinars.

Notons que les quatre actions pilotes en méditerranée inscrites dans le cadre du projet «GODEM» portent sur la mise en place à Sousse d’une déchetterie municipale pour faire mieux fonctionner les filières de recyclage existantes ; la réduction des déchets au niveau des secteurs hôteliers de Mahdia et Djerba de nature à faire baisser la quantité des déchets et appréhender le lien avec les modes d’approvisionnement et le tourisme durable.

Source : InfoTunisie

Le Canada et la Tunisie concluent un premier accord de transport aérien

Le ministre canadien des Transports, John Baird, et l’honorable Peter Van Loan, ministre du Commerce international, ont annoncé aujourd’hui la conclusion d’un premier accord de transport aérien avec la Tunisie.

« Outre le parachèvement de cet accord avec la Tunisie, le gouvernement du Canada a maintenant signé ou élargi un accord aérien avec 50 pays depuis 2006 », a déclaré Baird. « Nous avons travaillé à ce rythme sans précédent, car les accords aériens engendrent des vols plus commodes et des tarifs plus bas qui aident les voyageurs, les entreprises, les expéditeurs et le tourisme. »

« Notre gouvernement s’est engagé a faire prospérer les entreprises et les collectivités canadiennes en favorisant la libre circulation des personnes, des biens et des services. Les accords de transport aérien sont l’un des moyens auxquels notre gouvernement a recours pour aider les compagnies canadiennes à accroître leurs relations commerciales à l’échelle mondiale », indiqué le ministre Van Loan.

« Cet accord de transport aérien vient s’ajouter aux autres objectifs que nous poursuivons avec la Tunisie pour faciliter les échanges commerciaux et les investissements, y compris des mesures pour protéger les investissements étrangers. »

Les compagnies aériennes des deux pays pourront désormais offrir des services aériens réguliers tant au Canada qu’en Tunisie. L’accord offre également la souplesse nécessaire aux compagnies aériennes pour ajuster leurs prix afin de satisfaire aux conditions actuelles du marché. En outre, les compagnies aériennes peuvent choisir d’offrir leurs services en ayant recours à des vols d’autres compagnies. Ce service est connu sous le nom de partage de codes.

Les dispositions de l’accord sont appliquées de façon administrative, afin de permettre d’introduire sur-le-champ de nouveaux services aériens.   

Depuis janvier 2006, le gouvernement du Canada a négocié des accords de services aériens libéralisés, nouveaux ou élargis avec 50 pays :

• des accords de type Ciel ouvert avec huit pays : le Royaume-Uni, l’Irlande, l’Islande, la Nouvelle-Zélande, la Barbade, la République dominicaine, le Costa Rica et la Corée du Sud;
• des accords élargis avec neuf pays : le Portugal, le Brésil, le Mexique, le Japon, la Jordanie, Singapour, les Philippines, le Maroc et Cuba;
• de nouveaux accords avec neuf pays : l’Algérie, le Koweït, la Serbie, la Croatie, Panama, la Turquie, l’Afrique du Sud, l’Éthiopie et la Tunisie;
• un accord global de transport aérien avec les 27 États membres de l’Union européenne. Cela comprend entre autres Chypre, l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie, le Luxebourg, la République de Malte, la Slovaquie et la Slovénie, pays avec lesquels le Canada ne disposait pas d’accords de transport aérien.

Source : Transports Canada

Tunisie : Nouveau programme pour l'industrie, nouvelle confusion ?!

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? Un nouveau programme d'appui à la compétitivité des entreprises et à la facilitation de l'accès aux marchés (PCAM) sera prochainement lancé… Mais pour quelle raison ?

Car on a déjà tellement entendu ce refrain au moment où toutes sortes d’outils déjà existants sont capables de gérer de dossier !

Ce nouveau programme national avec l’aide de l'U.E. (qui le finance avec 23 millions d'euros) s’étendra jusqu’en 2013 avec deux composants :

Le premier s'adresse directement aux entreprises industrielles… et on nous confesse qu’il sera mené en droite-ligne des programmes nationaux de la qualité et du coaching déjà engagés dans le cadre du PMI.

Mais, nuance, il assistera 400 entreprises à mettre en place des référentiels de management de la qualité et quelque 300 entreprises pour des actions de coaching technique et non technique. Et on se demande immédiatement : Est-il vraiment impossible aux programmes existants de gérer ce dossier alors qu’ils en ont assimilé les mécanismes les plus intimes depuis des années ?

Le second concerne l'infrastructure qualité et vise à aider la Tunisie à conclure un accord de reconnaissance mutuelle avec l'Union européenne dans le domaine de la conformité industrielle ! Et on se demande encore : Mais n’est-ce pas déjà fait ? Mais que faisons-nous donc depuis 1996 ?

A première vue, ce nouveau programme, aussi fringants que soient ses attributs, ne fait qu’ajouter à notre confusion autour de la diversité alarmante de toutes sortes de programmes destinés à la finalité de compétitivité alors que le schéma d’une entreprise nationale telle que la mise à niveau de notre industrie au niveau des Européens (nos principaux partenaires) devrait être bien plus lisible et bien plus cohérente !

Source : WebManagerCenter

Tunisie : Les PME ne semblent pas avoir profité pleinement du PMN

Pour faire face à la montée des pressions concurrentielles nées de la signature de l’accord d’association avec l’Union Européenne, la création de la zone de libre échange (ZLE) et de son adhésion à l’OMC, la Tunisie a adopté en 1995 un programme de mise à niveau (PMN) qui a vocation à renforcer l’environnement socio-économique des entreprises tunisiennes et accroitre leur compétitivité.

Quinze ans après, cet ultime objectif est-il atteint ? Est-ce que les entreprises sont satisfaites du PMN ? 

Le ministère de l’Industrie et de la Technologie a confié la mission d’évaluation de ce programme à l’ITCEQ qui a été présentée lors d’un séminaire international tenu, le vendredi 5 Mars 2010, à Gammarth avec le concours de la délégation de l’Union Européenne sur le thème « Avec la Mise à Niveau et la modernisation industrielle : Prenez une Technologie d’avance ».

Cet évènement a permis de répondre à une question principale, celle de savoir dans quelle mesure le PMN est parvenu à atteindre son objectif principal, celui de doter les entreprises tunisiennes des moyens d’accroître leur compétitivité et de résister à la montée de la concurrence tout en relevant les points forts à renforcer et les points faibles à éliminer.

Dans son allocution, Afif Chelbi a précisé qu’au lendemain de la signature en 1995 de l’accord d’association avec l’Union Européenne, plusieurs observateurs s’interrogeaient sur la capacité de résistance du secteur industriel tunisien face à la pression concurrentielle, mais 15 ans après, les résultats enregistrés sont contraires à ses appréhensions, à savoir le triplement des investissements qui sont passés de 0,5 milliard de dinars en 1995 à 1,4 milliard de dinars en 2009 et le quadruplement des exportations qui sont passées de 4,5 milliards de dinars à plus de 16 milliards de dinars au cours de la même période.

L’industrie tunisienne a connu, entre 1995 et 2010, une mutation technologique. Ainsi, le taux d’encadrement des entreprises ayant réalisé leur programme est passé de 9 à 19% et le nombre des entreprises certifiées est passé de 6 à 1300.En outre, la part des exportations à haut contenu technologique dans les exportations totales a doublé en passant de 12% à 25%.

L’Ambassadeur, chef de la délégation de l’UE en Tunisie a mis l’accent sur l’effort de la Tunisie pour moderniser ses entreprises et faciliter leur accès au marché international.

En effet, le Programme de Modernisation Industrielle (PMI), d’un montant de 50 millions d’euros, contribue à cet objectif national de mise à niveau des entreprises tunisiennes. Cet appui de l’Union européenne a facilité, par l’attribution de subventions ciblées, les investissements tant en équipement qu’en savoir faire, dans plus de 800 entreprises. Il a permis à 200 d’entre elles de s’aligner sur les standards européens de qualité, ajoute-t-il.

Le premier panel de ce séminaire a été consacré à la présentation des résultats de l’enquête menée sur le PMN et le PMI, présidé par Hassin e Doghri,  président du comité national de suivi de PMI et modéré par Mohamed Ben Abdallah, directeur général de l’API.

Par ailleurs, les résultats de l’enquête révèlent que 60% des entreprises enquêtées sont globalement satisfaites des effets du PMN contre 13% d’entreprises non satisfaites. Ainsi, une large majorité des entreprises enquêtées, copilées ou non copilées, associe la compétitivité à un meilleur rapport qualité/prix à hauteur respectivement de 64 et 66%.

Le PMN a globalement amené beaucoup d’entreprises à améliorer leur niveau d’appropriation du savoir ce qui a permis de réaliser de meilleures performances, mais également, les PME ne semblent pas avoir profité pleinement du PMN.En effet, l’apport de ce dernier a été plus significatif pour les grandes entreprises. 

Source : African Manager

L'UE va financer des réformes politico-économiques en Afrique du Nord

L'Union Européenne va financer des projets de réformes politiques et économiques pour la Libye, l'Egypte, le Maroc, la Tunisie, l'Algérie, annonce un communiqué de presse publié lundi à Bruxelles, la capitale de la Belgique.

Ces projets entrent dans le cadre de la politique européenne de voisinage concernant 17 pays en Afrique, en Europe de l'Est et au Moyen-Orient.

Selon le communiqué, le programme pour la Libye sera doté d'une enveloppe de 60 millions d'euros tandis que l'Algérie obtiendra 172 millions d'euros, l'Egypte 449,3 millions d'euros.

La Tunisie recevra 240 millions d'euros alors que 580,5 millions d'euros sont prévus pour le Maroc.

Source : casafree

Algérie : Cristal Union et le groupe LaBelle s’associe dans la production de sucre

Le producteur français de sucre, Cristal Union, et le groupe algérien LaBelle, spécialisé dans le négoce international de denrées alimentaires, viennent de signer un accord de partenariat pour la construction d’une raffinerie de sucre en Algérie.

La nouvelle unité de production, d’un coût de 70 millions d’euros, sera opérationnelle d’ici à 2012.

D’une capacité initiale de 350 000 tonnes de sucre non raffiné par an, celle-ci devrait « rapidement » être portée à 700 000 tonnes, selon une déclaration du groupe coopératif français. LaBelle détiendra 51 % des parts du projet, comme le prévoit la loi algérienne.

Cristal Union, avec une production de 850 000 tonnes de sucre blanc, de 5 millions d’hectolitres d’alcool et d’éthanol et de 140 000 tonnes de pulpe et de luzerne déshydratées lors de la campagne 2008-2009, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,3 milliard d’euros sur l’exercice correspondant.

Le chiffre d’affaires de LaBelle, s’est quant à lui, élevé à 500 millions de dollars.

Source : l'Usine Nouvelle