Le Secrétaire général du comité de direction de la Compagnie nationale
libyenne de pétrole (NOC), le Dr Choukri Ghanem, s'est attiré les
foudres du journal libyen "Al-Chams", en voulant remettre en cause la
clause selon laquelle un Libyen doit occuper le poste de directeur
exécutif dans les sociétés mixtes avec les entreprises étrangères.
Dans son édition de mardi, le journal s'en est vivement pris au Dr Ghanem, qu'il a accusé de ramer à contre courant des intérêts des Libyens.
"Les Libyens sont prioritaires", estime "Al-Chams", qui se demande en vertu de quoi, la NOC voudrait modifier les lois et les règles édictées par les congrès populaires de base, la plus haute autorité du pays et passer outre les dispositions prises par le comité populaire général libyen.
La NOC serait-elle un Etat dans l'Etat, s'interroge à ce propos le journal.
Samedi dernier, rappelle-t-on, le journal "Oyia" avait rapporté une déclaration du Dr Ghanem selon laquelle, "l'industrie pétrolière en Libye annulerait les nouvelles demandes dans lesquelles seront exigées la nomination d'un libyen au poste de président exécutif dans n'importe quel projet mixte avec les société étrangères".
Cette déclaration de Dr Ghanem a suscité la colère des Libyens.
En effet, les lois en vigueur dans le pays en matière d'investissement étranger imposent la nomination d'un Libyen à la tête des sociétés mixtes, ainsi que l'emploi d'un quota déterminé de Libyens.
La colère d'"Al-Chams" est d'autant plus justifiée que ce journal affirme craindre la création d'un dangereux préccédent.
Dans son édition de mardi, le journal s'en est vivement pris au Dr Ghanem, qu'il a accusé de ramer à contre courant des intérêts des Libyens.
"Les Libyens sont prioritaires", estime "Al-Chams", qui se demande en vertu de quoi, la NOC voudrait modifier les lois et les règles édictées par les congrès populaires de base, la plus haute autorité du pays et passer outre les dispositions prises par le comité populaire général libyen.
La NOC serait-elle un Etat dans l'Etat, s'interroge à ce propos le journal.
Samedi dernier, rappelle-t-on, le journal "Oyia" avait rapporté une déclaration du Dr Ghanem selon laquelle, "l'industrie pétrolière en Libye annulerait les nouvelles demandes dans lesquelles seront exigées la nomination d'un libyen au poste de président exécutif dans n'importe quel projet mixte avec les société étrangères".
Cette déclaration de Dr Ghanem a suscité la colère des Libyens.
En effet, les lois en vigueur dans le pays en matière d'investissement étranger imposent la nomination d'un Libyen à la tête des sociétés mixtes, ainsi que l'emploi d'un quota déterminé de Libyens.
La colère d'"Al-Chams" est d'autant plus justifiée que ce journal affirme craindre la création d'un dangereux préccédent.
Le journal estime que les Libyens ont la priorité dans leur pays par rapport aux étrangers et que la Libye regorge de milliers de compétences dans tous les domaines et qu'il ne leur manque que la confiance en eux et en leurs potentialités.
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