Pour contribuer au bien-être des enfants en Egypte, l’UNICEF
(Fond des Nations-Unies pour l’Enfance) en partenariat avec Mobinil, filiale consolidée du Groupe
France Télécom, réalisent en Haute-Egypte deux projets dans le domaine de la
santé et de l’éducation qui se poursuivront jusqu’en mars 2009.
Ces deux programmes ciblent tout particulièrement la santé et l’éducation des filles ; en effet, les investissements dans l’éducation des filles sont parmi les plus valorisants de ceux liés au développement.
Ils génèrent des retombées positives, tant sur le plan personnel que social, pour les individus, les familles et la société au sens large : une baisse du taux de mortalité des nourrissons et des enfants en bas âge, un accroissement du taux de féminisation du travail et les revenus afférents, ainsi que bien d’autres avantages inter-générationnels.
Dans le cadre de ce partenariat, Mobinil a lancé une campagne de communication en période de Ramadan en 2007 à propos des enfants défavorisés en Egypte. Un pourcentage des revenus issus des appels mobiles pendant cette période, a été reversé à l’UNICEF pour soutenir deux projets qui s'inscrivent dans le cadre de la politique de mécénat du Groupe :
La santé à partir de la communauté
Pour atteindre son Objectif du Millénaire en matière de taux de mortalité infantile, l’Egypte doit parvenir à un taux de 22,3 pour 1 000 naissances en 2015 ; il est aujourd’hui à 33 pour 1 000 naissances.
Environ 50 % des décès d’enfants de moins de 5 ans interviennent dans les quatre premières semaines de vie ; de plus, de fortes disparités régionales persistent. Ce projet vise à mettre en place des actions d’aide aux femmes enceintes, ainsi qu’aux mères et leurs enfants pour réduire le taux de mortalité de ces derniers pendant cette période décisive
Accéder à une école maternelle de qualité
L’école maternelle joue un rôle important pour la maturité des enfants au moment d’entrer en primaire, en favorisant leur maintien en classe. En Egypte aujourd’hui il y a encore un nombre important d’enseignants qui suivent les enfants de 4/5 ans sans être spécialisés, et qui pourraient tirer profit d’une formation spécifique ; en outre, il faudrait en recruter davantage.
Ces deux programmes ciblent tout particulièrement la santé et l’éducation des filles ; en effet, les investissements dans l’éducation des filles sont parmi les plus valorisants de ceux liés au développement.
Ils génèrent des retombées positives, tant sur le plan personnel que social, pour les individus, les familles et la société au sens large : une baisse du taux de mortalité des nourrissons et des enfants en bas âge, un accroissement du taux de féminisation du travail et les revenus afférents, ainsi que bien d’autres avantages inter-générationnels.
Dans le cadre de ce partenariat, Mobinil a lancé une campagne de communication en période de Ramadan en 2007 à propos des enfants défavorisés en Egypte. Un pourcentage des revenus issus des appels mobiles pendant cette période, a été reversé à l’UNICEF pour soutenir deux projets qui s'inscrivent dans le cadre de la politique de mécénat du Groupe :
La santé à partir de la communauté
Pour atteindre son Objectif du Millénaire en matière de taux de mortalité infantile, l’Egypte doit parvenir à un taux de 22,3 pour 1 000 naissances en 2015 ; il est aujourd’hui à 33 pour 1 000 naissances.
Environ 50 % des décès d’enfants de moins de 5 ans interviennent dans les quatre premières semaines de vie ; de plus, de fortes disparités régionales persistent. Ce projet vise à mettre en place des actions d’aide aux femmes enceintes, ainsi qu’aux mères et leurs enfants pour réduire le taux de mortalité de ces derniers pendant cette période décisive
Accéder à une école maternelle de qualité
L’école maternelle joue un rôle important pour la maturité des enfants au moment d’entrer en primaire, en favorisant leur maintien en classe. En Egypte aujourd’hui il y a encore un nombre important d’enseignants qui suivent les enfants de 4/5 ans sans être spécialisés, et qui pourraient tirer profit d’une formation spécifique ; en outre, il faudrait en recruter davantage.
Source : EduBrourse
Commentaires