Comment associer les Marocains aux efforts concernant cet « or » vital ? Réponse de l’ONEP.
La tradition est bien installée. Chaque année, l’ONEP (Office National de l’Eau potable) lance une campagne de communication et de sensibilisation à travers les média (chaînes de télévision, radios, presse écrite, affichage…).
L’objectif est double. D’une part, il s’agit d’informer l’opinion publique sur les efforts engagés en matière d’eau potable (son assainissement, sa qualité, sa distribution…).
De même que d’attirer l’attention des usagers et des décideurs sur l’impact de la sécheresse sur la desserte en eau potable aussi bien au niveau de la quantité que de la qualité organoleptique et sur ce qu’entreprend l’Office pour atténuer son effet.
De l’autre, il s’agit de sensibiliser cette même opinion publique à la nécessité de préserver les ressources contre le gaspillage et la pollution et de l’associer à la réalisation de cet objectif.
D’où
la signature de la campagne : « une eau saine pour tous, notre
responsabilité. La préserver, la votre ».
Cette
année, la première phase de la campagne de communication
a couvert les mois de juillet et août et la deuxième phase
– celle qui est lancée actuellement - coïncide avec
le mois de Ramadan.
L’ONEP a décidé de renforcer sa campagne durant le mois sacré en diversifiant davantage les canaux de diffusion et la fréquence d’émissions de ses messages.
Deux thèmes essentiels ont été retenus pour la campagne 2008 : « Economie et utilisation rationnelle de l’eau » et « Aspects liés à la qualité de l’eau ». Chacun de ces thèmes est décliné en trois sous thèmes, soit 6 sous thèmes au total pour les spots TV, Radios et supports écrits.
Les prestations comportent
également la réalisation d’un film institutionnel
et des films documentaires…
Les messages sont diffusés en arabe, berbère, français et/ou anglais, selon les supports.
La campagne d’affichage qui concerne les villes de Rabat, Casablanca, Fès, Marrakech, Tanger et Agadir, pourrait se prolonger jusqu’au mois d’octobre en cas de non disponibilité d’espace.
Source : le Reporter
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