« Dans ce domaine, notre point fort reste le capital humain : un vivier de 36 000 professionnels des technologies de l’information, sans compter 17 000 étudiants actuellement inscrits dans la filière », a précisé ce responsable à Bethleem, dans une salle pleine à craquer.
En outre, en raison du faible coût de ses ingénieurs, la Cisjordanie peut jouer la carte de « l’outsourcing », sans trop pâtir des restrictions à la liberté de circulation des hommes et des marchandises imposées par les autorités israéliennes.
En revanche, le principal handicap du « high tech » palestinien tient à l’absence de fonds de capital risque susceptible d’accompagner les « start up » de Naplouse ou de Ramallah.
Mais les choses sont en train d’évoluer : il y a quelques jours, la présidente de l’association israélienne du capital risque, Orna Berry, Yadin Kaufmann, le fondateur du fonds Veritas, et le patron de la compagnie de Telecom palestinienne Pal Tel, Abdel Malik Jaber, ont annoncé la création du premier fonds de capital risque palestinien, doté de 50 millions de dollars, pour un portfolio initial de 10 à 15 sociétés.Source : IsraelValley
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