L’Algérie ambitionne de diversifier ses sources énergétiques en misant notamment sur le solaire et le nucléaire pour préparer l’après-pétrole.
L’Algérie ambitionne de diversifier ses sources énergétiques en misant notamment sur le solaire et le nucléaire pour préparer l’après-pétrole.
Le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, a souligné, mardi à Paris, la volonté de l’Algérie de diversifier ses sources énergétiques, dans le cadre d’une stratégie de long terme en prévision de l’après pétrole.
Lors d’une rencontre avec la presse internationale, M. Khelil a présenté le programme national de diversification des sources énergétiques, soulignant par exemple que "l’Algérie entre dans l’ère des concentrateurs solaires" avec la prochaine ouverture à Hassi R’Mel d’une centrale thermique dotée de cette technologie hybride (solaire-solaire).
Autre dossier appelé, lui aussi, à se décliner sous des allures ambitieuses lors du prochain sommet Bouteflika-Sarkozy, le nucléaire. Un accord - dont l’articulation a été quasiment finalisée - pourrait être signé à l’occasion. L’hypothèse paraît des plus probables au vu des avancées réalisées dans ce registre.
Les champs potentiels de coopération bilatérale dans ce secteur ont été labourés tout dernièrement à l’occasion de la visite en Algérie d’une délégation « nucléaire » hexagonale. Des pistes de coopération ont été identifiées pour la circonstance et les grandes lignes de l’accord bilatéral tracées. Chakib Khelil a été peu prolixe à ce sujet.
Source : Algérie-dz
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