Le nombre
d'internautes en Algérie a atteint la barre des 2,1 millions, selon les
derniers chiffres communiqués par les fournisseurs d'accès.
Bien que ce nombre illustre la croissance de ce secteur dans le pays, le taux de pénétration de l'Internet reste faible au vu de la population du pays, qui compte 33 millions de personnes. Ces chiffres ont été révélés lors d'un forum de l'Internet organisé par le quotidien El Moudjahid à Alger, mercredi 19 septembre.
Les fournisseurs d'accès à l'Internet ont indiqué que le pays comptait seulement quelque 200 000 abonnés à l'ADSL, et que l'Algérie ne recensait que cinq mille domaines nationaux, contre seize mille dans la Tunisie voisine. Ils ont insisté sur le fait que le gouvernement devait redoubler d'efforts pour encourager le développement de l'Internet et du secteur des technologies de l'information.
Ils ont ajouté que le projet de "e-government" lancé en 2004 n'avait connu qu'un faible succès, bien qu'il ait été finalisé fin 2006. La plupart des institutions gouvernementales ne disposent toujours d'aucun site web, précisent les fournisseurs d'accès, et ceux qui existent sont statiques et ne sont pas actualisés de manière régulière.
Bien que ce nombre illustre la croissance de ce secteur dans le pays, le taux de pénétration de l'Internet reste faible au vu de la population du pays, qui compte 33 millions de personnes. Ces chiffres ont été révélés lors d'un forum de l'Internet organisé par le quotidien El Moudjahid à Alger, mercredi 19 septembre.
Les fournisseurs d'accès à l'Internet ont indiqué que le pays comptait seulement quelque 200 000 abonnés à l'ADSL, et que l'Algérie ne recensait que cinq mille domaines nationaux, contre seize mille dans la Tunisie voisine. Ils ont insisté sur le fait que le gouvernement devait redoubler d'efforts pour encourager le développement de l'Internet et du secteur des technologies de l'information.
Ils ont ajouté que le projet de "e-government" lancé en 2004 n'avait connu qu'un faible succès, bien qu'il ait été finalisé fin 2006. La plupart des institutions gouvernementales ne disposent toujours d'aucun site web, précisent les fournisseurs d'accès, et ceux qui existent sont statiques et ne sont pas actualisés de manière régulière.
Source : El Mouhajid
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