2.500 unités aux alentours d’une côte à forte dynamique pour une
enveloppe de 100 millions de dollars pour cette première phase
Blotties entre l’océan Atlantique et une forêt naturelle située à 20 minutes environ de Tanger, ce sont quelque 2.500 unités résidentielles -villas, maisons en rangées appartements- et 600 chambres d’hôtel qui seront bâties sur 300 hectares. Baptisé Tinja, les Emiratis ont choisi un nom proche de la ville mythique du nord du Maroc.
Il s’agit d’un projet construit sur mesure en respectant l’identité
locale du Maroc. «Nous ne voulons pas extrapoler des concepts mais les
développer localement», précise Naaman Atallah, directeur général en
charge du développement de Emaar Corporate office.
La mise en vente de la première phase a été lancée samedi 25 août au centre de vente de Rabat. Faisant partie des six villages du projet Tinja, Aldea «village» en espagnol, jouit d’un emplacement singulier avec des villas face à l’océan et des maisons de ville donnant sur la forêt.
Les habitations d’Aldea, au nombre de 287 villas et maisons, composées
de deux à quatre chambres, ont une superficie entre 190 à 550 mètres
carrés, en plus de la terrasse.
A proximité des zones d’équipements récréatifs et espaces de rassemblement, les habitants d’Aldea jouiront des parcs de la communauté, des sites de jeux pour enfants, des espaces de barbecue, salle de sports, piscine et commerces.
La sensation de quartier est concrétisée par un centre-ville, qui
regroupe également des hôtels, des restaurants et des magasins. Le
projet encourage les allées piétonnières et les espaces verts ouverts
ainsi que les parcs et les sentiers verts. «La presqu’île qui se
trouve au cœur du village urbain de Tinja illustre parfaitement cette
vision», explique Majid Bennouna, directeur des ventes de Emaar Maroc.
Les maisons standard d’Aldea offrent également des cuisines totalement équipées, le chauffage et l’air conditionné, des fenêtres à double vitrage, des jardins clôturés, des garages, terrasses et pergolas.
«Tinja va redéfinir le marché de l’immobilier au Maroc avec son apport de divers mode de vie comprenant un beach club, des clubs de sports, un centre-ville, des hôtels et des magasins», a déclaré Issam Galadari, président-directeur général de Emaar International.
«Dirigé par les politiques clairvoyantes du gouvernement, le marché de l’immobilier au Maroc connaît une forte expansion.
Avec Tinja, Emaar apporte une nouvelle référence dans cette croissance
et compte séduire tant les Marocains que les touristes».
Le village urbain Tinja est développé dans le cadre du mémorandum d’entente, d’une valeur de 43,5 milliards de dirhams (5,34 milliards de dollars américains), signé l’année dernière entre ladite société et le gouvernement marocain, sous le haut patronage de Sa Majesté le Roi
Mohammed VI. «L’un des éléments essentiels de notre stratégie de
développement pour Tinja est de créer des quartiers haut de gamme en
respect avec l’environnement. Tinja repose sur de pittoresques
paysages et encouragera les zones piétonnes avec une abondance de
parcs verts et une multitude d’attraits liés au bien-être», ajoute
Galadari.
Agissant seul (sans partenaires) sur ce projet, Emaar Maroc a également collaboré avec Onapar, faisant partie du groupe ONA, pour entreprendre des projets de développement d’une valeur de 12,4 milliards de dirhams (1.527 milliards de dollars américains).
Ce partenariat vise à développer Amelkis II et III, et Bahia Bay, des communautés luxueuses résidentielles et de loisirs à Marrakech.
Source : l'Economiste
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