Sa Majesté le
Roi Mohammed VI a inauguré et a suivi des explications sur le programme
de généralisation de l'approvisionnement en eau potable de la
population rurale de la province de Khouribga, qui nécessite une
enveloppe budgétaire de l'ordre de 134 millions de dirhams (MDH).
Réalisé par l'Office national de l'eau potable (ONEP), ce programme, qui concerne l'approvisionnement en eau potable de 5 centres ruraux et de 250 douars, d'une population globale de 82.400 habitants, comporte deux tranches. La première, qui est en cours de réalisation pour un coût global de 94 MDH et bénéficiant à une population de 58.900 habitants, sera fin prête en 2008 pour porter le taux d'accès à l'eau potable dans la province de 95 % à 98 %.
D'un coût de 40 MDH, la seconde tranche, qui bénéficie à 23.500 habitants, permettra de renforcer les infrastructures d'eau potable dans le milieu rural.
Concernant le renforcement des infrastructures routières, S.M. le Roi a suivi des explications sur le bilan du deuxième Programme national des routes rurales (PNRR 2) dans la province de Khouribga, qui permettra le désenclavement de 23 communes rurales et leur accès aux infrastructures socio-économiques de la province. La province de Khouribga avait bénéficié, dans le cadre du PNRR 1, de 335 km de routes pour un coût global de 99 MDH, ce qui a permis de porter le taux d'accès de la population au réseau routier de 46 % en 1995 à 56 % à fin 2005.
Dans le cadre du PNRR 2, la province a connu en 2006 la construction et l'aménagement d'un linéaire de 48 km pour 32 MDH. Lancé en 2005 par le ministère de l'Equipement et du Transport, conformément aux Hautes instructions royales relatives à l'adoption de la politique de proximité, le PNRR 2 a été élaboré dans le cadre d'une approche concertée avec les représentants des populations. Il porte sur un linéaire global de 15.500 km à réaliser entre 2005 et 2015 sur l'ensemble du territoire national. Dans le cadre de ce programme, la province de Khouribga a bénéficié de 247 km pour un montant de 162 MDH, ce qui permettra d'augmenter le taux d'accessibilité de la population rurale au réseau routier de 56 % en 2005 à 73 % en 2015.
Parmi les axes routiers programmés dans le cadre du PNRR 2 au profit de la province de Khouribga, il y a lieu de citer la construction de la route provinciale reliant Boulanouar et Boujniba sur 13 km pour un coût de 15,5 MDH et la route provinciale (16 km) reliant Tachraft et Ain Kaicher (12 MDH) et l'aménagement de la piste reliant la RP 3512 et Friat par Oulad Brahim sur 16 km (15 MDH).
S.M. le Roi a également suivi des explications sur le programme d'électrification rurale globale (PERG) dans la province, qui porte sur le raccordement au réseau électrique de 17 douars, répartis entre six communes de 6.400 habitants.
Une enveloppe de 16 MDH a été allouée à la réalisation des projets inscrits dans le cadre de ce programme et qui portent sur la réalisation d'un réseau moyen tension de 22 km, d'un réseau faible de tension de 151 km et de 18 transformateurs.
Ce projet, dont les travaux dureront huit mois, permettra d'augmenter de 4 % le taux de raccordement au réseau électrique dans la province.
Des explications sur le projet de construction de barrages collinaires dans le milieu rural de la province ont également été fournies au Souverain. Ce projet porte sur la construction de deux barrages, le premier (d'une capacité moyenne de 1,2 million de m3) dans le cercle de Oued Zem pour un coût de 40 MDH permettant l'irrigation de 120 hectares, et le second, d'une capacité de 1,14 millions de m3, sera réalisé dans le cercle de Boujaad pour une enveloppe de 30 MDH.
S.M. le Roi s'est aussi enquis des projets hydrauliques dans la province. S'inscrivant dans le cadre du programme national de lutte contre les inondations, ces projets ont été réalisés dans le cadre d'un partenariat entre la province, le conseil de la région, le conseil municipal, le ministère de l'Intérieur et le Haut commissariat aux Eaux et Forêts et à la lutte contre la désertification. Ces projets seront réalisés en trois phases, dont la première, qui a porté sur la construction de deux petits barrages pour 18 MDH, est déjà achevée.
Les travaux de la 2e phase sont réalisés à hauteur de 70 %, une phase qui concerne la réalisation d'une conduite d'eau rectangulaire de 2.150 km de long (40 m/s) pour 20 MDH, alors que la 3e phase porte sur le nettoyage du lac de plaisance et le boisement et le renforcement mécanique des bassins hydrauliques pour un coût global de 10 MDH. Dans le cadre des efforts visant la mise à niveau des centres ruraux, S.M. le Roi a suivi des explications sur les programmes de développement concernant les collectivités ethniques Oulad Azzouz, Lamfasis, Lagfaf, Oulad Abdoun, Beni Samir, Bir Mazoui, Beni Yakhlef, Oulad Kourach et Beni Rzine.
D'un coût global de 12,15 MDH, ces programmes portent sur la réalisation de 27 projets répartis entre les infrastructures de base (électrification, eau potable, routes rurales) pour une enveloppe de 9,5 MDH, les infrastructures socio-économiques et d'animation culturelle et sportive telles que la construction de Dar attalib, l'équipement des terrains de sport et services de santé, pour 2,4 MDH et les infrastructures économiques génératrices de revenus pour 240.000 DH.
Réalisé par l'Office national de l'eau potable (ONEP), ce programme, qui concerne l'approvisionnement en eau potable de 5 centres ruraux et de 250 douars, d'une population globale de 82.400 habitants, comporte deux tranches. La première, qui est en cours de réalisation pour un coût global de 94 MDH et bénéficiant à une population de 58.900 habitants, sera fin prête en 2008 pour porter le taux d'accès à l'eau potable dans la province de 95 % à 98 %.
D'un coût de 40 MDH, la seconde tranche, qui bénéficie à 23.500 habitants, permettra de renforcer les infrastructures d'eau potable dans le milieu rural.
Concernant le renforcement des infrastructures routières, S.M. le Roi a suivi des explications sur le bilan du deuxième Programme national des routes rurales (PNRR 2) dans la province de Khouribga, qui permettra le désenclavement de 23 communes rurales et leur accès aux infrastructures socio-économiques de la province. La province de Khouribga avait bénéficié, dans le cadre du PNRR 1, de 335 km de routes pour un coût global de 99 MDH, ce qui a permis de porter le taux d'accès de la population au réseau routier de 46 % en 1995 à 56 % à fin 2005.
Dans le cadre du PNRR 2, la province a connu en 2006 la construction et l'aménagement d'un linéaire de 48 km pour 32 MDH. Lancé en 2005 par le ministère de l'Equipement et du Transport, conformément aux Hautes instructions royales relatives à l'adoption de la politique de proximité, le PNRR 2 a été élaboré dans le cadre d'une approche concertée avec les représentants des populations. Il porte sur un linéaire global de 15.500 km à réaliser entre 2005 et 2015 sur l'ensemble du territoire national. Dans le cadre de ce programme, la province de Khouribga a bénéficié de 247 km pour un montant de 162 MDH, ce qui permettra d'augmenter le taux d'accessibilité de la population rurale au réseau routier de 56 % en 2005 à 73 % en 2015.
Parmi les axes routiers programmés dans le cadre du PNRR 2 au profit de la province de Khouribga, il y a lieu de citer la construction de la route provinciale reliant Boulanouar et Boujniba sur 13 km pour un coût de 15,5 MDH et la route provinciale (16 km) reliant Tachraft et Ain Kaicher (12 MDH) et l'aménagement de la piste reliant la RP 3512 et Friat par Oulad Brahim sur 16 km (15 MDH).
S.M. le Roi a également suivi des explications sur le programme d'électrification rurale globale (PERG) dans la province, qui porte sur le raccordement au réseau électrique de 17 douars, répartis entre six communes de 6.400 habitants.
Une enveloppe de 16 MDH a été allouée à la réalisation des projets inscrits dans le cadre de ce programme et qui portent sur la réalisation d'un réseau moyen tension de 22 km, d'un réseau faible de tension de 151 km et de 18 transformateurs.
Ce projet, dont les travaux dureront huit mois, permettra d'augmenter de 4 % le taux de raccordement au réseau électrique dans la province.
Des explications sur le projet de construction de barrages collinaires dans le milieu rural de la province ont également été fournies au Souverain. Ce projet porte sur la construction de deux barrages, le premier (d'une capacité moyenne de 1,2 million de m3) dans le cercle de Oued Zem pour un coût de 40 MDH permettant l'irrigation de 120 hectares, et le second, d'une capacité de 1,14 millions de m3, sera réalisé dans le cercle de Boujaad pour une enveloppe de 30 MDH.
S.M. le Roi s'est aussi enquis des projets hydrauliques dans la province. S'inscrivant dans le cadre du programme national de lutte contre les inondations, ces projets ont été réalisés dans le cadre d'un partenariat entre la province, le conseil de la région, le conseil municipal, le ministère de l'Intérieur et le Haut commissariat aux Eaux et Forêts et à la lutte contre la désertification. Ces projets seront réalisés en trois phases, dont la première, qui a porté sur la construction de deux petits barrages pour 18 MDH, est déjà achevée.
Les travaux de la 2e phase sont réalisés à hauteur de 70 %, une phase qui concerne la réalisation d'une conduite d'eau rectangulaire de 2.150 km de long (40 m/s) pour 20 MDH, alors que la 3e phase porte sur le nettoyage du lac de plaisance et le boisement et le renforcement mécanique des bassins hydrauliques pour un coût global de 10 MDH. Dans le cadre des efforts visant la mise à niveau des centres ruraux, S.M. le Roi a suivi des explications sur les programmes de développement concernant les collectivités ethniques Oulad Azzouz, Lamfasis, Lagfaf, Oulad Abdoun, Beni Samir, Bir Mazoui, Beni Yakhlef, Oulad Kourach et Beni Rzine.
D'un coût global de 12,15 MDH, ces programmes portent sur la réalisation de 27 projets répartis entre les infrastructures de base (électrification, eau potable, routes rurales) pour une enveloppe de 9,5 MDH, les infrastructures socio-économiques et d'animation culturelle et sportive telles que la construction de Dar attalib, l'équipement des terrains de sport et services de santé, pour 2,4 MDH et les infrastructures économiques génératrices de revenus pour 240.000 DH.
Source : Le Matin
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