MARKETING - MEDITERRANEE

La Banque Caritative de Médicaments : un nouveau mécanisme de solidarité

La banque caritative de médicaments contribue à alléger les charges de soins qui pèsent sur les citoyens défavorisés et aux revenus limités qui ne bénéficient pas d'une couverture sanitaire. Il s'agit, également, de faire face à la pénurie enregistrée au niveau de certains médicaments prescrits à des personnes démunies souffrant de maladies chroniques. 

La Banque Caritative de Médicaments, dont la création a été ordonnée par le Président Zine El Abidine Ben Ali s'inscrit dans le prolongement de l'élan de solidarité engagé par la Tunisie, de manière à englober le volet sanitaire.

Cette banque est régie par des conditions bien définies, en ce sens que le médicament est un produit délicat qui touche directement la santé et la sécurité du citoyen.

La banque caritative de médicaments contribue à alléger les charges de soins qui pèsent sur les citoyens défavorisés et aux revenus limités qui ne bénéficient pas d'une couverture sanitaire. Il s'agit, également, de faire face à la pénurie enregistrée au niveau de certains médicaments prescrits à des personnes démunies souffrant de maladies chroniques.

Les interventions de cette banque profitent aux groupements sanitaires qui fournissent des prestations aux personnes bénéficiant de cartes de soins gratuits et à tarif réduit ainsi qu'aux équipes médicales itinérantes qui fournissent des prestations sanitaires au profit des personnes âgées soit à domicile ou au sein de centres d'accueil pour des personnes de troisième âge.

Bénéficient également, des interventions de la banque, les caravanes sanitaires. Les stocks de la banque en médicaments et matériel médical et paramédical proviennent des propriétaires d'usines pharmaceutiques, de laboratoires et des grossistes répartiteurs des médicaments.

L'Union Tunisienne de Solidarité Sociale (UTSS) a réservé, dans ses dépôts centraux à El-Aouina, un espace qui répond aux normes en vigueur en matière de conservation et de stockage des médicaments.

Cet espace est doté de matériel informatique et d'équipements de réfrigération, en plus de moyens de transport. Il dispose de ressources humaines qualifiées. L'UTSS possède une longue expérience dans le domaine de la solidarité et dispose de plusieurs structures couvrant l'ensemble de la République.

L'Union a mis en place en collaboration avec le ministère de la santé publique un programme de gestion de stock, l'objectif étant de faire mention de "don" sur les médicaments.

La création de cette banque est énoncée dans la loi relative à l'organisation des professions pharmaceutiques, ainsi que dans le décret fixant les conditions et les modes de collecte des médicaments provenant des dons et leur distribution gratuitement par les associations agréées.

Source : DEV-EXPORT

Avancement des travaux de construction du pont La Goulette/Radès

Mr Slaheddine Malouche, ministre de l'Equipement, de l'Habitat et de l'Aménagement du territoire, a effectué, mercredi 3 septembre, une visite de terrain pour s'informer de l'avancement des travaux du projet présidentiel de construction du pont la Goulette/Radès.

Le ministre qui était accompagné de l'ambassadeur du Japon en Tunisie, a pris connaissance des différentes composantes et de l'avancement des travaux.

Mr Malouche a mis l'accent sur la nécessité de respecter les délais d'exécution de ce projet.

La deuxième tranche de ce projet présidentiel comporte la réalisation d'un pont au niveau du canal du lac sud sur une longueur de 180 mètres, d'une route de 2 kilomètres de route express en 2x2 voies avec T.P.C et d'un viaduc constituant la rampe d'accès au pont principal sur une longueur de 400 mètres.

Source : Audinet

Tunisie – Palestine : Renforcer la coopération dans les domaines médical et sanitaire

Une séance de travail tuniso-palestinienne sur les moyens de renforcer la coopération entre la Tunisie et la Palestine dans le domaine de la santé, a eu lieu, mardi 2 septembre, au siège du ministère de la Santé publique.

La rencontre a permis à Mr Mondher Zenaidi, ministre de la Santé publique, d'évoquer avec son homologue palestinien Mr Fethi Abou Moghli, qui achève mercredi une visite de travail en Tunisie, la coopération bilatérale dans les domaines médical et sanitaire et les résultats de cette visite.

Mr Zenaidi a indiqué que la similitude des intérêts et objectifs des deux parties traduit la volonté commune de garantir le bien-être des deux peuples frères, conformément à la volonté politique qui anime leurs dirigeants, les Présidents Zine El Abidine Ben Ali et Mahmoud Abbas.

De son côté, Mr Fethi Abou Moghli a salué le processus de développement en Tunisie, se félicitant du saut qualitatif que connaît le secteur de la santé en Tunisie, notamment en matière de prestations, de programmes et d'assurance-maladie.

Il a également exprimé sa considération pour l'expertise des cadres médicaux et compétences tunisiennes dans le domaine de la santé, soulignant la volonté des structures sanitaires palestiniennes de tirer profit de l'expérience tunisienne particulièrement dans les domaines de la médecine de pointe à l'instar de la greffe de la moelle osseuse, la neurochirurgie et la chirurgie cardiovasculaire.

Mme Najoua Miladi, secrétaire d'Etat, chargée des Etablissements hospitaliers, a assisté à la réunion.

Le ministre palestinien et la délégation qui l'accompagne ont auparavant visité plusieurs établissements hospitaliers et le siège de la caisse nationale d'assurance maladie (CNAM).

Source : Audinet

PFUE : L’Europe se transporte à La Rochelle

Politique des transports urbains, révision de la directive « Eurovignette », sécurité maritime et autoroutes de la mer figurent au cœur des débats du conseil européen informel des ministres des transports de l’Union européenne qui se déroulent aujourd’hui et demain à La Rochelle.

Alors qu’à Bruxelles les chefs d’Etat européens se réunissent pour examiner la situation politique en Géorgie, à La Rochelle, leurs ministres des transports se sont donnés rendez-vous aujourd’hui pour une réunion informelle qui s’achèvera demain.

Sous la présidence de Dominique Busssereau, secrétaire d’État chargé des transports, les 27 accueilleront également leurs homologues de Suisse, de Norvège, d’Islande, du Maroc, d’Algérie et de Tunisie. Antonio Tajani, vice-président de la Commission européenne et commissaire en charge des transports participera aussi aux débats

La Présidence Française de l’Union Européenne (PFUE) a décidé selon les termes de son secrétaire d’Etat de traiter des transports durables. Aujourd’hui les ministres devraient discuter du projet de « plan d’action sur la mobilité urbaine » devant faire suite au Livre vert présenté par la commission en 2007.

 La révision de la directive « Eurovignette » proposée par la commission pour intégrer dans la tarification des transports routiers leur empreinte environnementale sera également examinée.

Un sujet sensible en raison des difficultés économiques dont se plaint ce secteur d’activité, pas seulement pour des raisons liées aux prix des carburants, mais aussi des réglementations jugées de plus en plus contraignantes et onéreuses.

Sécurité maritime et autoroutes de la mer

Demain, les ministres s’attaqueront à un dossier tout aussi sensible, celui du transport maritime. Ils envisageront les suites à donner aux mesures en cours de discussion pour améliorer la sécurité maritime le long des côtes européennes. Ils entendent aussi travailler sur les conditions de développement des autoroutes de la mer.

La réunion de La Rochelle précède de quelques jours celles qui se tiendront à Avignon les 5 et 6 septembre avec les ministres des affaires étrangères, puis à Angers les 7 et 8 pour les ministres de la santé.

La PFUE accueillera trois autres conseils informels en septembre : les finances à Nice, l’agriculture à Annecy et le développement à Bordeaux.

Source : Journal du Développement Durable

Le groupe français Stratego s’installe en Tunisie

Le groupe français Strategeco, spécialisé dans les énergies renouvelables et propriétaire de la marque Eneovia, devrait à partir du mois prochain ouvrir un bureau de représentation en Tunisie pour présenter ses services du secteur énergétique sur le marché tunisien.

Strategeco qui se présente aujourd’hui comme le seul acteur français à regrouper les métiers de conseil, de courtage, de construction de bâtiments bioclimatiques et de fournitures de multi systèmes de production d’énergies renouvelable vient en effet, de s’associer au groupe tunisien BSB pour mieux pénétrer et avoir la main mise sur le marché tunisien qui est l’un des plus important dans la région de l’Afrique du Nord.

Ce nouveau partenariat permettra également à la BSB d’élargir son activité dans les secteur des services et connu pour la distribution des marques Sharp et Toyota.

Source : Tunisie-Affaire

Le financement du transport en commun en Tunisie

La solution réside-t-elle dans le partenariat public-privé ?

L’amélioration de l’infrastructure est devenue depuis quelques années le souci majeur des autorités tunisiennes.

La construction d’échangeurs, de ponts, la réalisation de nouveaux projets, la multiplication des chantiers et l’embellissement des routes font partie des changements opérés ces derniers temps.

Ces réalisations ont été, dans une certaine mesure à la décongestion des routes et des artères dans les agglomérations. Cependant, un seul secteur appartenant, lui aussi, à l’infrastructure de base, ne semble pas profiter de ces transformations bénéfiques, c’est le transport public et le transport privé en commun.

L’investissement dans le secteur du transport public est une urgence qui devrait, normalement, accompagner tous les changements que le pays a connus au cours de la dernière décennie. Ce secteur représente une priorité, pour trois raisons essentielles.

Le transport public est plus économique et moins polluant que les véhicules ; dans ce contexte, il améliore le niveau de vie des citoyens puisqu’il assure une mobilité totale. De plus la possibilité d’accéder à diverses destinations, est un élément important dans l’intégration sociale.

Troisièmement, dans les pays émergents comme le Tunisie, où la rapidité du développent des villes est remarquable, un autre phénomène se produit. Les "moins riches" choisissent, dans la majorité des cas, de vivre dans les banlieues où la vie est moins chère.

Et comme le nombre de cette partie de la population est de plus en plus important, l’amélioration du transport public est de nature à faciliter l’intégration sociale et conforter le développement économique, puisqu’il permet plus d’accès à l’emploi.

Reste à noter que la liaison entre les banlieues pauvres et les zones aisées et génératrices d’emplois est quasi absente chez nous.

Le transport public en Tunisie est encore très loin des standards qu’on voit dans les pays développés (ponctualité, fréquence, taux de remplissage, etc). Les bus sont surchargés, notamment lors des heures de pointe.

Les stations de métro ne désemplissent pas. Un effort supplémentaire est demandé à tous les intervenants pour remédier à une situation qui risque fort de compromettre les programmes d’amélioration de l’infrastructure, engagés ces dernières années.

Pour remédier à ces carences, les décideurs sont appelés à mettre la main à la poche, à imaginer des sources de financement. Une question se pose à ce stade : qui va contribuer au financement du secteur ?

Qui sera en mesure d’aider à l’amélioration des services offerts par le transport public, sachant que Le secteur requiert un haut niveau d’investissement. L’Etat assurait, à lui seul, cette tâche.

En témoigne le coût modéré du transport public par rapport aux autres moyens de transport. Mais, comme il ne peut plus le faire indéfiniment pour diverses raisons, le secteur privé semble tout indiqué pour prendre la relève.

C’est là où le 3 P, partenariat public-privé doit jouer un rôle de première importance, en étant un élément de liaison entre la responsabilité de l’Etat, pour construire une bonne infrastructure, et l’innovation et la capacité financière du secteur privé.

Pour que ce partenariat soit à la hauteur des attentes, certains critères doivent être pris en compte: l’Etat et le secteur public procèdent ensemble, sur une base d’agréments contractuels clairs, à savoir le principe du partage des responsabilités, des coûts et des risques dans les contrats. L’intérêt public et l’objectif commercial doivent être visés en commun.

Chaque partenaire maintient son identité et ses responsabilités. En effet, L’Etat joue le rôle de client qui donne au secteur privé l’opportunité de réaliser un important projet public ou la maintenance des projets.

Le contrat est basé sur la longévité du projet. L’Etat formule les conditions à respecter, mais ne décide pas de la façon dont le secteur privé procédera. L’Etat payera le secteur privé une fois les standards de qualité respectés, tout en prenant en considération les risques mentionnés dans le contrat.

Enfin, ce n’est un secret pour personne, l’explosion démographique dans les villes est accompagnée d’une expansion considérable des zones urbaines. Parmi les conséquences de ce changement, figurent la disparition des relations entre les voisins, la dépendance vis-à-vis des véhicules, les voyages qui deviennent plus long, l’augmentation des dépenses en relation avec le transport.

Selon les chiffres fournis par l’étude effectuée par Vassilis Economopoulos, intitulée "Le financement du transport public", le coût des voyages urbains de la communauté faits à pieds, à bicyclette ou à bord du transport public, représente 5 à 7 % de PIB, dans les pays développés.

Le pourcentage du PIB peut être encore plus élevé dans les cités plus denses et qui sont dominées par l’usage des voitures. Il peut atteindre 15%.

Dans les pays émergents, le coût du transport pour la communauté dépasse les 25% du PIB, au cas où la densité est faible et le taux des citoyens ayant une voiture est élevé, en considérant le revenu par habitant.

Vu l’amélioration évidente de l’infrastructure de base en Tunisie, il est devenu urgent, pour ne pas dire vital, de s’occuper du secteur du transport qui donne la mesure du niveau de progrès atteint par le pays et reflète l’image du bien être dont jouit le citoyen.

Il est capital de réviser et d'étudier l’état du secteur du transport. Il n’est pas question de laisser ce retard empoisonner tous les bienfaits qu’a connus l’infrastructure tunisienne au cours de la dernière décennie.

Source : BusinessNews

Tunisie : extension du réseau d’eau potable dans le gouvernorat de Mahdia

Les projets d’extension du réseau d’eau potable dans le cadre des programmes régionaux de développement affiche déjà des statistiques de réussite avec un taux de connexion dans le gouvernorat de Mahdia qui se porte à plus de 97%.

Avec une enveloppe de plus de dix millions de dinars, le programme régional de développement a permis de connecter 43.245 habitants au réseau d’eau potable.

De ce fait, plusieurs conduits d’eau potable ont été placés dans la région avec un château d’eau d’une capacité de dix mile mètres cubes pour renforcer les réserves d’eau potable dans la vie.

Par ailleurs, un rapport portant sur la dégradation environnementale de l’eau  en Tunisie a été élaboré récemment avec l’appui de la banque mondiale.

Le premier chapitre de ce rapport introduit les principales problématiques de l’eau en Tunisie et les objectifs de l’étude.

Il présente également un aperçu des techniques utilisées pour l’évaluation économique, l’impact de la dégradation sur le principal secteur économique et l’importance des coûts estimés.

Source : TunisieAffaire

Après le Soudan, la Mauritanie et l’Algérie, les Loukil investissent en Libye

Et maintenant la Libye ! Le Groupe Loukil ne cesse d’élargir l’horizon de ses activités après avoir bien assuré son positionnement en Tunisie d’abord, en Algérie, en Mauritanie et au Soudan ensuite.
Le groupe vient ainsi d’ouvrir un showroom pour sa filiale, Les Ateliers Mécaniques du Sahel (AMS).

Présent déjà en Libye, dans le négoce international, c’est la première fois que le groupe Loukil investit de cette manière chez nos voisins du sud.

Leader en matière de robinetterie sanitaire et d’articles de ménage en acier inoxydable, l’entreprise AMS table fort et entend profiter pleinement de la belle croissance que connait actuellement la Libye.

Les perspectives d’avenir sont encore plus larges avec tous les mégas projets (notamment dans l’immobilier) qui sont en cours ou en voie de réalisation.

A travers ce showroom, il ne s’agit vraisemblablement que d’une entrée en la matière pour l'entreprise.

Huit mois après sa privatisation et son rachat par le Groupe Loukil, les AMS confirment ainsi leurs ambitions à l’international.

Concernant le showroom libyen, appelé « Fadha el Matbakh » (signifiant espace cuisine), il a été inauguré lundi 25 août 2008 à Tripoli au cours d’une cérémonie à laquelle ont pris part des dirigeants des AMS et du Groupe Loukil et plusieurs hauts responsables libyens.

Le showroom se trouve sur la route Ghot Elshaal dans la zone de Guergeuresh, l’une des meilleures zones de commerce en Libye, connue pour le grand nombre de ses visiteurs, de jour comme de nuit.

Les produits des AMS sont par ailleurs commercialisés dans les plus grands magasins et grandes surfaces en Libye, notamment Souk Ethleth, Souk Elmaheri, Souk Elachouri et Souk El Morjène.

A l’issue de cette inauguration, Walid Loukil, DGA du Groupe Loukil et membre du conseil d’administration des AMS a déclaré : « C’est un autre pas en avant franchi par les AMS appelés maintenant à conquérir d’importantes parts de marché à l’international.

La Libye est une ouverture naturelle pour la Tunisie en raison de la proximité géographique, mais surtout en raison du formidable climat de partenariat économique et politique entre les deux pays. Les rencontres entre le Président Zine El Abidine Ben Ali et le leader Mouammar Gueddafi, dont la dernière remonte à une quinzaine de jours, ont toujours insisté sur le développement de ce partenariat économique.

 Le Groupe Loukil ne fait que répondre à cette attente.

En 46 ans d’existence, nos articles de ménage et de robinetterie sont devenus une véritable référence en Tunisie et sont en passe de le devenir au Maghreb et en Afrique et, pourquoi pas, en Europe.

Nous sommes outillés pour cela et nous avons les certifications et le savoir-faire nécessaires pour devenir leaders. »

Source : BusinessNews

Extension du réseau d'eau potable à Mahdia

Le réseau d'eau potable dans le gouvernorat de Mahdia vient de se consolider avec le parachèvement de nouveaux projets portant, ainsi, le taux de connexion dans la région à 97,75 % contre 23 % en 1987.

Quelque 43 245 habitants ont profité des projets d'adduction d'eau potable dans le cadre des programmes régionaux de développement moyennant 10 millions 180 mille dinars.

En outre, il a été procédé à la pose de 160 km de conduites d'eau potable moyennant plus d'un million 430 mille dinars et la construction d'un château d'eau d'une capacité de 10 mille m 3 pour renforcer les réserves d'eau potable dans les villes de Mahdia et de Rejich (1 million 681 mille dinars).

En outre, le réseau d'eau potable a été consolidé dans Vingt deux autres agglomérations et 119 zones rurales nécessitant respectivement 17 millions 456 mille dinars et 8 millions 834 mille dinars.

Source : Audinet

Taparura pour dépolluer la côte Nord de la ville de Sfax

Les travaux pour la réalisation de la première tranche du "Projet Taparura pour la dépollution de la côte nord de la ville de Sfax" ont démarré sur une superficie de 6 kms, du port de Sfax jusqu'au théâtre de Sidi Mansour.

Cette partie du projet devrait permettre d'éliminer les sources de pollution causées par le phosphogypse sur une superficie de 400 hectares et de revivifier l'écosystème marin. 5 kms du littoral seront ainsi aménagés pour un coût dépassant les 140 millions de dinars.

Le projet Taparura est constitué de plusieurs composantes dont notamment la construction de grands parcs sur l'ancien site de l'usine NPK ainsi que l'aménagement de «Chott El Krakna» de manière à permettre la réconciliation de la ville de Sfax avec la mer.

 

La deuxième tranche sera consacrée à la réalisation d'importants projets résidentiels, touristiques et de loisirs outre la consolidation de l'infrastructure de base dans le domaine routier.

Une zone touristique sera également réalisée avec une capacité d'accueil de 2600 lits ainsi qu'une zone urbaine pouvant accueillir près de 22 mille habitants.

Source : WebManagerCenter