MARKETING - MEDITERRANEE

Israël fait face à l’une de ses plus graves pénuries d’eau

Le niveau du lac de Tibériade, appelé aussi lac Kinneret, n’en finit pas d’inquiéter les spécialistes. Il est descendu bien en dessous de sa ligne rouge puisque le niveau de l’eau a atteint 213m en dessous du niveau de la mer, son point le plus bas de ces 5 dernières années.

En fait, le niveau normal du lac Kinneret devrait se situer environ 3,5 mètres au-dessus de son niveau actuel.

Cette pénurie d’eau est si importante que les experts mondiaux prédisent la disparition de la Mer Morte d’ici 2050 si rien n’est fait, comme pour la Mer d’Aral.

Le Water Authority Council estime que la pénurie d’eau est déjà supérieure à 900 millions de m3, causée par quatre années de sécheresse, et que l’hiver 2007-08 a été le plus sec de la dernière décennie.

Israël doit donc faire face à l’une de ses plus graves pénuries d’eau.

Le ministre des Infrastructures Benjamin Ben Eliezer a proposé il y a peu au gouvernement d’attribuer une compensation aux fermiers qui feraient des économies d’eau par rapport aux quotas. Ce plan devrait coûter aux alentours de 100-150 millions de shekels et le Ministère de l’Agriculture devrait donner environ 4 shekels par mètre cube d’eau économisé.

En ce moment, une usine de dessalement est en construction à Hadera, une autre à Ashdod, et une dernière à Nahal Soreq, chacune d’entre elle ayant une capacité de production avoisinant les 100 millions de mètres cubes par an. Un retard de 2 ou 3 ans de la construction de la centrale de dessalement d’Ashdod serait un désastre pour le pays et pour son économie selon Ben Eliezer.

Source : Israel-Valley

TEVA négocie l’achat de l’entreprise américaine BARR pharmaceutiques pour $ 7,5 milliards

Teva négocie l’achat de l’entreprise américaine Barr pharmaceutiques pour une somme d’environ 7,5 milliards de dollars. La transaction, si elle a lieu, sera la plus grosse affaire réalisée en Israël.

Selon l’agence REUTERS : “Le titre Barr bondit jeudi à la Bourse de New York, plusieurs articles de presse faisant état de discussions du spécialiste américain des médicaments génériques pour être racheté par son concurrent israélien Teva.

Les quotidiens financiers israéliens TheMarker et Globes écrivent que Teva Pharmaceutical, numéro un mondial des médicaments génériques, cherche à acquérir Barr, dans un secteur en proie à un fort mouvement de concentration. TheMarker évalue le prix d’un éventuel rachat à 7,5 milliards de dollars, citant des sources sur les marchés financiers.

Cette acquisition serait alors la plus importante de Teva, dépassant celle de l’Américain Ivax, il y a deux ans, pour 7,4 milliards de dollars. Globes évoque pour sa part un prix pour Barr de 7-7,5 milliards de dollars”.

Selon “Le Flash info du Jerusalem Post édition française” : Barr est spécialisé dans les médicaments génériques et a également développé ses 30 propres médicaments. A la fin de l’année 2007, la société américaine avait cumulé un bénéfice de 128 millions de dollars. Son revenu total cette même année s’élevait à 2,5 milliards de dollars.

Ce rachat, s’il est réalisé, renforcerait la position mondiale du fabricant de médicaments génériques.

Source : Israel-Valley

C-Boot a mis au point une botte de compression qui utilise l'énergie du corps

La société israélienne C-Boot, fondée en 2000 dans le kibboutz Yiron au nord d’Israël grâce au programme d’incubateur du Ministère des Sciences, développe de nouvelles technologies et des produits spécialisés dans la gestion de troubles vasculaires périphériques.

C-Boot a mis au point une botte de compression permanente qui, en utilisant l’énergie du corps du patient remet en état le mécanisme de circulation naturelle du sang dans le corps.

Ce système de jambières de compression permet d’améliorer efficacement le processus de guérison des patients souffrant d’affections vasculaires de ce genre et intéresse les marchés étrangers.

Source : Israel-Valley

CollPlant va commercialiser un nouveau collagène pour la chirurgie plastique

Ronny Barak, 40 ans, diplômé en chimie de l’UHJ, vient d’être nommé Président de CollPlant, une société de biotechnologie qui va commercialiser un nouveau collagène d’ici à la fin de l’année, créé à partir de tabac transgénique.

Le collagène connaît une demande croissante : chirurgie plastique, lèvres et des rides, régénération des tissus, traitement des brûlures, orthopédie….

Contrairement à la majorité du collagène disponible à ce jour, d’origine animale, le collagène de CollPlant, d’origine végétale, empêche les risques de contamination ou d’allergie.

Le prof. Shoseyov, fondateur et directeur scientifique de CollPlant, est membre de la Faculté des sciences de l’Agriculture, de l’alimentation et de la qualité de l’environnement, Rehovot

Source : Israel-Valley

l'Egypte se dote d'un centre pour les Energies renouvelables

L'Egypte a créé un centre dédié aux énergies renouvelables en Orient et en Afrique du Nord. (MENA)

Le centre régional d'excellence pour l'énergie renouvelable et l'efficacité énergétique, situé à Nasser City, dans la banlieue du Caire (Nasser City),  a été inauguré le 25 juin.

Il bénéficie du soutien de l'Union européenne (subventions de 11 millions de dollars, via la Banque Européenne d'investissement et la Commission européenne.)

9,5 millions de dollars ont également été investis par l'Agence allemande de coopération technique, et 3 millions par l'Agence danoise de développement international. Le ministère égyptien de l'électricité et de l'Energie y contribue pour sa part à hauteur de 6,3 millions de dollars.

Le centre a pour missions de mener des recherches sur les énergies renouvelables, notamment en testant des systèmes éoliens et solaires.

Il devra fournir des services de conseil aux gouvernements et entreprises privées, promouvoir le transfert de connaissances et de technologie entre les entreprises et les gouvernements de la région et les pays du Nord, et gérer des programmes de formation pour promouvoir la mise en place de ces technologies dans la région.

Le centre aura également un contact direct avec les centres de Recherche sur les énergies renouvelables en Europe et pourra prendre part axu reflexions politiques liées aux énergies renouvelables.

Les premiers programmes de subventions égyptiens et européens appuieront des activités scientifiques pour les 5 prochaines années, explique Ameen Mohammad Fathy, vice-présidente en charge des projets, des opérations et de la maintenance auprès des autorités.

Après cette période, le centre devrait être en mesure de se financer par lui-même, grâce à ses activités de conseil et de formation.

Le centre sera dirigé par un conseil comprenant des représentants des pays membres : l'Algérie, la Jordanie, le Liban, le Maroc, la Libye, la Palestine, la Syrie, la Tunisie et le Yémen. Ce comité guidera les activités du centre pour promouvoir les énergies renouvelables dans la région et aider le secteur privé à y investir.

Wael Hmaidan, directeur exécutif du groupe libanais écologistes IndyAct (ligue des Activiste Indépendant) explique : "Si nous ne couvrons que 1% du désert arabe, avec des technologies de solaire à concentration, nous pourrions produire assez d'électricité pour alimenter la planète entière."

Hmaidan ajoute que l'emplacement stratégique de la région renforce l'importance de son potentiel en énergie renouvelables.

"Situé au coeur du vieux monde, entre l'Europe, l'Afrique et l'Asie nous pouvons fournir l'électricité solaire efficace au trois continents par des lignes à haute tenison"

Source : Enerzine

La Sonelgaz annonce le premier projet éolien d'Algérie

L'entreprise algérienne Sonelgaz va débloquer 30 millions de dollars pour le premier projet d'énergie éolienne dans le pays, a fait savoir le quotidien El Watan, ce mercredi 23 juillet.

La société a indiqué que le site situé près de Tindouf était proche du réseau électrique, ce qui facilitera la distribution de l'électricité ainsi produite.

Les sociétés française Vergnet et canadienne RSW International se seraient déclarées intéressées par ce projet.

Source : Magharébia

Un autre contrat pour Thales en Algérie

Le groupe français Thales décroche un contrat de 268,5 millions d’euros en Algérie. Près de 268,5 millions d’euros donc pour la construction et la rénovation de trois tronçons de lignes ferroviaires, soit près de 440 Kilomètres. Notamment pour la réalisation du projet ferroviaire de la Rocade Nord en Algérie.

La Rocade Nord traverse le pays d’Est en Ouest et dessert toutes les principales villes de l’axe, notamment Oran, Alger, Constantine et Chlef.

Ce projet prévoit également la rénovation de la signalisation de trois tronçons de lignes ferroviaires dans le nord du pays, reliant Annaba à Ramdane Djamel, Bordj Bou Arreridj à El Gourzi et El Khémis à Oued Sly.

Il fait partie d’un vaste programme de développement du réseau ferré.

D’un montant de 268,5 millions d’euros, le marché a été remporté par un consortium mené par Thales et regroupant les sociétés Vossloh-Cogifer et CSEE Alger.

Il porte sur l’étude d’exécution, la fourniture, le montage et la mise en service des équipements de signalisation et de télécommunications des trois tronçons de lignes. Cela représente plus de 440 kilomètres de voies doubles.

Le groupe français sera chargé de la fourniture des équipements de signalisation et de télécommunications.

Source : DZ-Web

L'Algérie accueillera une réunion internationale majeure sur l'énergie

El Moudjahid rapporte que ce sont quelques 1700 participants et 240 entreprises, venant de 35 pays, qui devraient prendre part à la 4ème semaine Algérienne sur l'Energie, qui devrait se dérouler entre le 15 et le 19 novembre 2008 à Alger.

Cet événement est organisé par la Sonatrach, sous le titre : "le nouveau Monde de l'Energie : Défis et Opportunités".

Il comprendra une conférence scientifique et technique, une conférence internationale sur les opportunités d'investissements stratégiques dans le secteur algérien de l'énergie et une exposition internationale sur le gaz et le pétrole.

Source : Magharébia

Le Maroc et la Banque Mondiale signent un accord de prêt pour le développement du secteur énergétique

Un accord de prêt de 100 millions de dollars a été signé vendredi 8 juin à Rabat par le Ministre marocain des Finances Fathallah Oualalou et le Directeur du Département Maghreb de la Banque Mondiale, Theodore Ahlers.

Cette somme a été débloquée dans le cadre de la politique de soutien de la Banque aux réformes énergétiques entreprises dans le pays.

"Ce prêt s'inscrit dans le cadre des efforts de la Banque Mondiale de soutien à la réforme du secteur de l'énergie [au Maroc], y compris la diversification de ses sources d'approvisionnement énergétique", a déclaré M. Oulalou lors de la cérémonie de signature.

Cette réforme porte entre autres sur l'accroissement de la part des sources d'énergies renouvelables dans la consommation énergétique du Maroc à 10 pour d'ici 2012, contre près de 4 pour cent actuellement, et la promotion de la sécurité énergétique dans le cadre du développement durable.

Source : Magharébia

La Banque Mondiale approuve un prêt de cent millions de dollars pour le développement du secteur hydraulique au Maroc

Le Conseil d'Administration de la Banque Mondiale a donné son accord à un prêt de cent millions de dollars visant le développement du secteur de l'eau au Maroc, mardi 1er mai, a annoncé la Banque dans un communiqué de presse.

Selon les responsables de l'instance financière internationale, ce prêt est le premier d'une série de prêts en faveur de la Politique de Développement (DPL), destinés à aider à "la mise en œuvre d'un vaste programme de réformes dans le secteur hydraulique au Maroc".

Ce financement devrait permettre de lutter contre la dégradation et la déperdition à grande échelle des ressources en eau, les carences importantes dans la fourniture en eau et la couverture sanitaire, et l'utilisation inefficace de l'eau, a indiqué la Banque.

Ce programme, élaboré en liaison avec le gouvernement marocain, comporte plusieurs volets: le renforcement de la gouvernance dans ce secteur, la réalisation et la mise en oeuvre d'une gestion intégrée des ressources en eau, l'amélioration des services, la bonne gestion des actifs, l'amélioration de la productivité en matière d'irrigation, l'accroissement de l'accès à l'eau et aux services d'assainissement, et l'amélioration des capacités de traitement des eaux usées.

Source : Magharébia