MARKETING - MEDITERRANEE

«Al Izdihar», une agence dédiée aux entreprises

La Banque Populaire veut contribuer à l'essor du parc industriel de Bouskoura  

Baptisée «Al Izdihar», la nouvelle agence de la Banque Populaire de Casablanca, située au coeur du nouveau parc industriel de Bouskoura, est entièrement dédiée aux entreprises, indique le senior management de la banque.

Cette nouvelle agence, inaugurée le 10 septembre 2007, vient, en effet, renforcer le large réseau de cette Banque régionale, dont le périmètre d'action s'étend sur le Grand Casablanca et comprend les provinces de Settat et de Benslimane.
   
La Banque Populaire de Casablanca, faut-il le rappeler, fait partie intégrante du Groupe Banques Populaires et dispose d'une large autonomie.
   
Elle se distingue, à l'instar des autres Banques Populaires Régionales (BPR), par son statut de banque coopérative à capital variable, avec un mode de gouvernance moderne et collégial, à directoire et à conseil de surveillance.
   
La nouvelle agence «Al Izdihar» a été créée spécialement pour servir les entreprises qui seront installées dans le nouveau parc industriel de Bouskoura, créé à l'initiative de la Chambre française de commerce et d'industrie au Maroc.  

Pour rappel, ce parc abritera une centaine d'entreprises, opérant dans différents secteurs d'activité et permettra la création de quelque 6.000 emplois directs et 2.000 à 2.500 emplois indirects.

Acteur majeur du Groupe, la Banque Populaire de Casablanca, anticipant le développement de zone, se positionne en interlocuteur privilégié sur le marché des entreprises.
   
Ce positionnement est appuyé par la mise en place, au niveau du Groupe, d'une nouvelle approche innovante banque-Entreprises «Business Project», mettant à la disposition des entreprises des produits et services qui correspondent à leur niveau de développement, une tarification avantageuse et adéquate, et des experts métiers quallifiés.
   
A noter aussi que la Banque régionale de Casablanca dispose d'un effectif de près de 1.400 agents et d'un réseau fortement décentralisé, réparti en succursales et agences globales.
   
Son engagement actif auprès des entreprises, à travers notamment des agences dédiées et un pôle d'expertise dans tous les domaines financiers, ont permis à cette Banque régionale de consolider sa réputation de banque partenaire de développement régional.  

Le Groupe Banques Populaires renforce ainsi son positionnement auprès des entreprises, dont il est le 1er partenaire financier, avec une offre globale diversifiée, faisant profiter les entreprises de la synergie du Groupe.    

Source : AllAfrica  

Télécoms : Wana lance une nouvelle offre pour les entreprises

Wana lance une nouvelle offre pour les entreprises, en abordant le marché du double play, à savoir des services voix et Data.
   
Cette offre packagée donne, selon Mounir Qalam, directeur exécutif du pôle entreprises, une solution de téléphonie d'entreprise simple et performante alliée à une connectivité Internet haut débit.
   
«L'idée est donc de délivrer des services innovants à forte valeur ajoutée via un boîtier unique pour ceux qui cherchent la simplicité et la flexibilité de leurs services voix et Internet tout en permettant à l'entreprise de garder sa structure téléphonique actuelle», a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse organisée avant-hier à Casablanca.
   
Ainsi, explique-t-on, le client bénéficie de communications gratuites entre les différents sites de l'entreprise et de tarifs intéressants, jusqu'à 20% moins cher, vers d'autres destinations nationales et internationales.
   
L'offre dispose également, explique Guillaume Perdriaud, directeur marketing du pôle entreprises et wholesale, d'une gamme d'accès Internet haut débit allant jusqu'à 6 Mpbs garantis avec des débits crêtes ou garantis de 2 M à 6 M, donnant une capacité pour l'usage des services Internet moins chers, selon les types de débits choisis, de 20%.
   
Par ailleurs, il est à noter que Wana couvre actuellement 80% du marché, selon son management.
   
L'opérateur voit l'avenir avec beaucoup de sérénité, puisqu'il prévoit de réaliser un chiffre d'affaires, pour l'unité opérationnelle, de 1 milliard de DH en 2016 et table sur une part de marché   de 15 à 20% en valeur.  

Source :  Le Matin Ma

Prospection pétrolière : Une société anglaise opèrera au Maroc

22 accords et 6 contrats actuellement
   
Le Maroc continue à intéresser les grands opérateurs dans le domaine de la prospection pétrolière.

Ainsi, un accord pétrolier et un contrat de reconnaissance ont été signés jeudi à Rabat entre l'Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM) et la société anglaise MND Maroc Limited, filiale de la société tchèque Moravské Naftové doly Group.
   
Cet accord pétrolier ''Boudnib Onshore'' porte sur neuf permis d'une superficie totale de 16.823,60 km2, d'une durée de validité initiale de trois ans et prévoit des travaux géologiques, géophysiques et un forage, explique un communiqué de l'ONHYM. Le contrat de reconnaissance ''Ouarzazate'' porte, quant à lui, sur la zone Onshore de Ouarzazate d'une superficie de 24 545,6 km2.
   
L'opérateur anglais s'engage en vertu de ce contrat à exécuter, au cours de la période initiale de douze mois, des travaux géologiques et géophysiques, a précisé la même source.
   
A cette signature, le domaine minier de l'Office, en partenariat, compte désormais 22 accords pétroliers et six contrats de reconnaissance avec 25 sociétés couvrant une superficie totale de 206.368,26 km2 répartie en quatre concessions d'exploitation, 80 permis de recherche et six autorisations de reconnaissance.
   
D'autres accords pétroliers et contrats de reconnaissance sont en cours de négociation avec d'autres sociétés pétrolières sur diverses zones Onshore et Offshore dont deux sont en cours de finalisation, a ajouté le communiqué.
   
La signature de ces accords et contrats s'inscrit dans le cadre de la stratégie de promotion et de développement des potentialités en hydrocarbures du sous-sol national.
   
Il est à rappeler à ce sujet que l'ONHYM a signé en juillet dernier un accord pétrolier relatif à la zone d'intérêt dite «FES» avec la Société "Cabre Maroc" Limited.
   
Cet accord, qui porte sur un permis onshore dit "FES" d'une superficie de 1998,7 km2, est d'une durée de validité initiale de dix huit mois. Il prévoit le forage d'un puits d'exploitation.Il fait suite aux travaux de reconnaissance menés par "Cabre Maroc" au cours des douze derniers mois dans le cadre d'une autorisation de reconnaissance.
   
Le partenariat entre l'ONHYM et la société "Cabre Maroc" Limited remonte à l'année 1997. "Cabre Maroc" est actuellement co-titulaire avec l'ONHYM de trois concessions d'exploitation (Zhana 1, Zhana 2 et SAR 1) et de deux permis de recherche (Gharb sud et Gharb centre).
   
De même, l'Office a signé en mai dernier un accord pétrolier et un contrat de reconnaissance avec les sociétés pakistanaise "Petroleum Exploration (Private) Limited" et américaine "Hunt Overseas Oil Company".
   
L'accord pétrolier signé avec "Petroleum Exploration (Private) Limited", porte sur les permis "Haha 1", "Haha 2" et "Haha 3" dans la région d'Essaouira, sur une superficie de 4.919 km2. D'une durée de validité initiale de deux années, l'accord prévoit l'acquisition d'une compagne sismique 2D et des études géologiques et géophysiques. Le contrat de reconnaissance, signé avec la société "Hunt Overseas Oil Company", concerne la région du Tadla sur une superficie de 28.117,5 km2.  

Source :  Le Matin

Le contrat signé avec le MCC présenté à Washington

Danilovich l'a qualifié de ''global et unique en son genre''      

La coopération entre le Maroc et les Etats-Unis est au beau fixe. Le "Contrat du défi du millénaire", signé entre le Maroc et le Millénium Challenge Corporation (MCC) fin août à Tétouan, sous la présidence de S.M. le Roi Mohammed VI, en est un exemple éloquent.
   
L'importance de ce contrat d'une valeur de 697,5 millions de dollars en fait le sujet d'une conférence organisée par le MCC, vendredi à Washington, en présence des représentants de plusieurs institutions partenaires du MCC, dont la Banque Mondiale et l'USAID.
   
Lors de cette rencontre, dont l'ordre du jour a concerné également la présentation de nouveaux contrats approuvés par le conseil d'administration de cet organisme gouvernemental américain, son président directeur général, l'ambassadeur John J. Danilovich a souligné que le package signé avec le Maroc est ''global et unique en son genre'' car il prévoit d'améliorer le PNB de 118 millions de dollars annuellement et bénéficiera à 600.000 familles marocaines.
   
En fait, on compte sur la réalisation des projets inscrits dans le cadre du programme pour permettre une hausse de 1,1 % du taux de croissance économique et une réduction de 20 % du taux de pauvreté dans les zones ciblées à l'horizon 2012.
   
Il est à rappeler que cette aide du MCC est la plus importante jamais accordée depuis la création du Fonds américain en 2004. Elle financera cinq projets essentiels choisis par le gouvernement marocain.
   
Il s'agit de projets d'investissement dans les secteurs de l'arboriculture (300,9 millions de dollars), de la pêche artisanale (116,17 millions), de l'artisanat dans la ville de Fès (111,78 millions), des services financiers (46,2 millions) et du soutien à l'entreprise (33,85 millions).
   
M. Danilovich a, par ailleurs, noté que le programme sera entièrement mis en œuvre avec la contribution des partenaires marocains qui avaient également joué un rôle clé dans l'identification des secteurs qui vont bénéficier des fonds octroyés par le MCC.
   
En effet, le Premier ministre, Driss Jettou, avait précisé lors de la cérémonie de la signature du "Contrat du défi du millénaire", que ce programme a été élaboré selon les critères adoptés par le MCC, qui sont en phase avec la philosophie et la méthodologie de l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH), et ce dans un cadre de larges concertations, qui ont concerné élus locaux, populations cibles, associations de la société civile, fédérations professionnelles et acteurs privés et publics.
   
Le PDG du MCC a noté que l'éligibilité aux fonds du MCC accroît l'attractivité d'un pays et permet de promouvoir les investissements étrangers.
   
En outre, le conseil d'administration, qui s'est tenu la semaine dernière, a approuvé deux nouveaux critères d'éligibilité, ainsi que des programmes au profit de la Mongolie (285 millions de dollars), de Sao Tome et Principe (8,6 millions de dollars) et du Yémen (20,6 millions de dollars), a fait savoir le responsable américain.

Il a également annoncé que le président américain, George W. Bush, vient de nommer deux nouveaux membres du conseil d'administration du MCC. Il s'agit de William H. Frist, ancien dirigeant de la majorité républicaine au Sénat, et de Kenneth Francis Hackett, qui a été désigné sur recommandation du dirigeant de la majorité démocrate au Sénat.  

Source : Le Matin

 

La Royal Air Maroc mise sur l’Afrique de l’Ouest

La compagnie aérienne marocaine Royal Air Maroc ambitionne de devenir un acteur majeur du transport aérien dans l’Afrique de l’Ouest.
   
La Royal Air Maroc "déploie actuellement ses ailes sur toute la région" de l’Afrique de l’ouest et "ses tarifs taillent des croupières" à des compagnies occidentales, souligne le journal français Liberation dans un article intitulé "La conquête de l’Ouest africain".
   
Pour "Libération", les groupes privés marocains "ont pris conscience du gisement de croissance" que représente la région de l’Afrique de l’Ouest où "le Royaume jouit de la popularité et de la respectabilité. Une respectabilité, précise-t-il, que le Maroc doit d’abord à cette implication politique au plus haut niveau".
   
Outre la Comanav et la Royal Air Maroc qui ont investi au Sénégal, le groupe "Managem" produit de l’or et du cobalt dans cinq pays de la région et les banques ont pris pied dans les pays constituant l’Union économique et monétaire de l’ouest africain (Uemoa), relève le quotidien français.
   
Et d’ajouter que "Maroc Telecom" est allé, pour sa part, affronter les géants du secteur dans des opérations de privatisation ou d’octroi de nouvelles licences, rappelant que l’opérateur marocain avait décroché le rachat de "Mauritel" en Mauritanie et d’"Onatel" au Burkina Faso, et il est "donné favori" dans l’appel d’offres en cours pour une licence au Sénégal, important marché en Afrique de l’Ouest.  

Source : Algérie-dz

Le déficit agravant de la balance commerciale de 70 milliards de dirhams montre une fragilité de l'économie.

Malgré des chiffres positifs sur de nombreuses activités. Le Maroc doit encore fournir des efforts pour réduire ce déficit qui réalise un frein à une croissance perrine.  

Passant de 56 milliards Dh à 70,152 milliards DH, le déficit commercial s'est aggravé de 25,3 % durant les sept premiers mois de cet exercice.

       
Durant les sept premiers mois de cette année, le déficit commercial s'est aggravé de 70,152 milliards DH contre 56 milliards Dh en 2006. Soit une chute de 25,3 %. Durant cette période, les importations ont porté sur une valeur de 138,912 milliards Dh contre 122,358 milliards Dh, soit une hausse de 13,5% par rapport à la même période de l'année précédente. S'agissant des exportations, elles ont connu un saut de 3,6 % avec 68,759 milliards Dh contre 66,35 milliards Dh de janvier à juillet 2006.
       
«Cela fait plus de 20 ans que le déficit commercial perdure. Aujourd'hui, il se creuse davantage, ce qui est inquiétant. Cela montre que l'économie marocaine manque de compétitivité», explique l'économiste Driss Benali.

En fait, les importations ont été tirées vers la hausse par les produits hors pétrole qui ont progressé de 16,1% pour s'établir à 125,154 milliards Dh.
       
Par contre, les approvisionnements en pétrole brut ont régressé de 5,4% avec 13,758 milliards Dh contre 14,546 milliards Dh au cours des sept premiers mois de 2006, selon les dernières statistiques de l'Office des changes.
       
Les produits alimentaires arrivent en tête sur la liste des importations.

Leur part a gagné deux points, passant ainsi de 7,2% à fin juillet 2006 à 9,2% cette année.
       
Le produit phare reste le blé, évidemment, avec un bond de 66 %, soit une hausse de 1,25 milliard Dh. «Sur la balance commerciale, il y a des produits qui ont du poids : les carburants et les céréales. Et leurs prix est toujours en hausse.
       
Ces dernières années, l'on remarque aussi un accès de plus intéressant aux facilités bancaires ce qui se traduit par une forte demande de consommateur de biens d'équipements importés», note M. Benali. Ainsi, et sur la même tendance haussière, les produits finis de consommation ont augmenté de 14,3% pour s'établir à 27,693 milliards Dh.
       
Et ce grâce à un accroissement des importations d'appareils récepteurs radio et télévision (dont GSM) de 27,2%, des voitures de tourisme avec 16,8%, de tissus de coton avec 9% ainsi que des médicaments avec 14,5%.

S'agissant des exportations, elles ont connu un saut de 3,6%.
       
«Cette hausse est due essentiellement aux exportations des phosphates et dérivés de 16,4%. Les ventes hors phosphates et dérivés ont enregistré une légère augmentation de 1,5%», selon l'Office des changes.
       
La part des phosphates et dérivés dans le total des exportations a atteint 16,2% contre 14,4% un an auparavant. Et pour la première fois, cet Office introduit dans ses statistiques les recettes des centres d'appels. Ces dernières ont porté sur un montant de 1,407 milliard Dh contre 1,028 milliard Dh de janvier à juillet 2006, soit une expansion de 36,9%.
       
Pour les recettes MRE, elles se sont chiffrées à 30,753 milliards Dh contre 26,641 milliards Dh de janvier à juillet 2006, soit une hausse de 15,4%. Par rapport à la moyenne des recettes de janvier à juillet des années 2002 à 2006, soit 21,765 milliards Dh, ces recettes ont progressé de 41,3% avec 8,988 milliards Dh.
       
Source : Yawatani       

   

 

Le groupe minier Managem a tiré profit de la hausse mondiale

Le résultat net passe de 30,6 MDH à 47,7 MDH au mois de juin 2007
   
De la conjoncture mondiale caractérisée par une hausse des cours de métaux de base et des métaux précieux, Managem a considérablement tiré profit.
   
Au titre du premier semestre de l'année en cours, le groupe minier Managem, référence nationale en matière de production et de commercialisation de cobalt, des métaux de base et des dérivés métalliques, a généré un chiffre d'affaires consolidé de 1,178 MMDH, en progression de 18% comparé à la même période de l'année 2006.

Le groupe revêt cette évolution favorable des réalisations commerciales à l'atténuation des effets de volatilité des cours de cobalt qui ont pris le trend haussier, à l'accroissement des écoulements de concentrés de cuivre d'Akka et enfin à l'appréciation des ventes de nickel.
   
Sur le registre des évolutions en rouge, l'activité a subi une baisse des volumes et des prix de vente de concentrés de la filiale CMG (Compagnie minière de Guemassa), et de lingots d'argent de la filiale SMI (Société métallurgique d'Imiter), auquel s'y ajoute l'alourdissement des charges d'exploitation de certaines mines. Mais sans incidence sur les résultats.
   
La bonne tenue de l'activité a permis à la société de dégager un résultat d'exploitation de 185 MDH, en hausse de 61% par rapport à fin juin 2006. Il en résulte un élargissement de plus de 4 points de la marge opérationnelle à 15,7%.
   
Le résultat financier a pour sa part affiché du négatif. Explication : le remboursement anticipé des emprunts en dollars d'Akka Gold Mining en a résulté, en effet, un bilan de change défavorable, soit un résultat financier déficitaire (-2 MDH).
   
En fin de compte, la capacité bénéficiaire du groupe passe de 7 MDH à 121 MDH après intégration du résultat non courant qui est de -44 MDH, portant ainsi la marge nette à 10,3%.
   
Exprimé en normes IAS/IFRS, le Résultat net part de groupe (RNPG) en ressort à 270 MDH (impact positif de 178 MDH). Sous les mêmes normes, les capitaux propres sont évalués à 751 MDH. Au final, le volume d'affaires se voit progressé de 35% à 56,5 MDH, capitalisant sur l'amélioration des rémunérations des filiales.
   
De son côté, le résultat opérationnel s'inscrit en baisse de 55% à 3,5 MDH, subissant la hausse des charges de structures, notamment celles relatives aux honoraires. Bénéficiant de l'expansion des dividendes reçus, le résultat financier effectue un bond significatif de 78% à 44,7 MDH.
   
Compte tenu de ce qui précède, le résultat net passe de 30,6 MDH à 47,7 MDH. Pour ce qui est des perspectives d'avenir, et dans le souci d'améliorer la valeur ajoutée et limiter les effets de volatilité des cours de cobalt, Managem compte débuter la production d'oxyde de cobalt.
   
En outre, le groupe entend augmenter la capacité de production des hydroxydes de cobalt des haldes de Bouazzer et créer une unité de lixiviation des oxydés cuprifère de Jbel Lâassal Bleida.  

Source : Le Matin

137 M d'euros pour une centrale à turbines à gaz à Mohammedia

Le Conseil des directeurs exécutifs de la Banque islamique de développement (BID) a approuvé, lors de sa session tenue le 9 septembre à Jeddah, un financement d'un montant de 137,21 millions d'euros (équivalant à 122 millions de dinars islamiques) en faveur du projet de construction d'une centrale à turbines à gaz dans la station de Mohammedia.
   
Le financement du projet de construction de cette centrale, d'une capacité de production de 300 MW, "vient en appui aux efforts de l'Office national de l'électricité (ONE) pour faire face à la croissance rapide de la demande énergétique", indique un communiqué de la BID.
   
Le montant cumulé des financements approuvés durant l'année 2007 en faveur du Maroc par la BID s'élève à 524 millions de dollars US, précise la même source, ajoutant que le montant global des financements accordés à ce jour au Royaume a atteint 3,4 milliards de dollars US, alloués à la réalisation de projets principalement dans les secteurs du transport, de l'énergie, de l'eau et de l'assainissement, à des prises de participation et au financement du commerce extérieur.  

Source : Le Matin

Evolution positive des indices industriels au 2ème trimestre 2007

Les indices de la production industrielle, énergétique et minière du Maroc ont enregistré lors du 2ème trimestre 2007 une hausse respectivement de 5%, 3,9% et 8,9% par rapport à la même période en 2006, a indiqué lundi le Haut Commissariat au Plan (HCP).
   
Au niveau de l'industrie, la progression résulte notamment de l'amélioration de la production des industries textiles de 13,1%, des industries de cuir,  

Source : Casafree

84,5 % du capital de la C.E.D passe entre les mains du français THEOLIA

Théolia et EDF ont convenus d'un accord pour le transfert de 84,5 % du capital que EDF détenait dans la Compagnie Eolienne du Détroit à Tétouan au Maroc.

Le parc éolien de la C.E.D. comporte plus de 80 éoliennes installées sur le litoral nord pour une puissance totale supérieure à 50 MW et une production annuelle de près de 200 GWh.

L'Office National d'Electricité marocain se serait engagé à racheter l'ensemble de l'électricité produite pendant les douze prochaines années à des conditions financières prédéfinies. 

Source : DP-ENGINEERING