MARKETING - MEDITERRANEE

Tunisie : Un taux d’exportation de 77,9% pour les industries mécaniques et électriques en 2009

Durant les cinq dernières années, le secteur des Industries Mécaniques et Electriques a affiché une bonne croissance de ces exportations, lui permettant de devancer l’industrie textile/habillement –alors premier secteur exportateur-, à partir de 2008.

Sa part a, ainsi, atteint près de 27% contre 23,7% en 2005. Selon le Centre Technique des Industries Mécaniques et Electriques (CETIME), les exportations du secteur ont été multipliées par 1,85 et ont enregistré un taux de croissance annuel moyen de 16,6% contre seulement 9,2% pour l’ensemble des secteurs.

En 2009, ces exportations ont atteint 6 MDT, représentant 30,8% des exportations manufacturières. Une baisse de 3,7% a été enregistrée par rapport à 2008 (6,233 MDT), en raison notamment de la crise économique.

Indiquons que ce volume n’a été que de 3,250 MDT en 2005.

Du côté des importations, le secteur a enregistré une valeur de 11,754 MDT contre 11,920 MDT en 2008, soit une baisse de 1,4%. Le taux de couverture a atteint 51,1% contre 52,3% en 2008 et 48,9% en 2005.

Concernant les investissements dans le secteur, on les évalue à 310 MDT en 2009 contre 318 MDT en 2008 et 285 MDT en 2007. Sur les cinq dernières années, ces investissements ont été multipliés par 1,55, soit un taux de croissance annuel moyen de 11,6%.

En terme de production, le secteur a enregistré 7,704 MDT en 2009 contre 8,241 MDT en 2008 et 7,118 MDT en 2007. Selon la même source, la valeur ajoutée en 2009 est de 1,986 MDT, ce qui représente 25,8% de la production.

Durant les cinq dernières années, la production a été multipliée par 1,6, soit un taux de croissance annuel moyen de 12,4%. Le taux d’exportation s’élève, ainsi, à 77,9% en 2009.

Source : WebManagerCenter

Syrie : l'avenir orienté vers le tourisme

Les touristes étrangers commencent à découvrir les charmes d'un pays mal connu des Occidentaux

Depuis la réconciliation avec l'Ouest en 2008, on constate une hausse de l'activité touristique, favorisée par les autorités qui misent sur ce secteur pour compenser le déclin des recettes pétrolières.

En 2009, 6 millions d'étrangers sont venus en Syrie: dont 3,5 millions d'Arabes (notamment du Golfe), 1,5 million d'Européens, de Turcs, d'Iraniens.

La Syrie a beaucoup offrir aux visiteurs. A commencer par la vieille ville de Damas, inscrite au Patrimoine mondial de l'UNESCO, destination privilégiée des Occidentaux.

"Les civilisations perse, grecque, romaine, byzantine, arabe s'y sont succédé", note un observateur. La ville fut l'un des berceaux du christianisme et vit saint Paul y faire ses premières prédications.

Le monastère chrétien de Mar Moussa, vieux de 900 ans, à 80 km au nord de Damas AFP - LOUAI BESHARA

Sont également venus un million de Syriens vivant en dehors du pays.

Les visiteurs ont dépensé 5,2 milliards de dollars, soit 23,8 % des recettes extérieures du pays. La contribution du tourisme au PIB a été de 11,2 %.

"On dirait que c'est une ville qui est restée intacte, qui a su être préservée de la mondialisation façon McDonald's", explique un touriste français qui déambule avec sa famille dans le célèbre souk Al Hamidiyeh, véritable caverne d'Ali Baba.

De nombreuses maisons arabes traditionnelles ont été transformées en hôtels, restaurées et souvent décorées avec soin, notamment leur cour intérieure agrémentée d'une fontaine.

Damas est même en train de devenir un lieu à la mode: dans un article intitulé "Les 31 endroits où aller en 2010" et publié en janvier dernier, le New York Times classait la ville à la septième place.

Outre les cités historiques que sont la capitale et Alep (nord), le pays compte nombre d'importants sites archéologiques. A commencer par Ougarit, où fut découvert l'un des premiers alphabets du monde, et Palmyre, immense ville antique implantée dans le désert syrien, dont les ruines gréco-romaines sont à découvrir au soleil levant.

Autre site impressionnant: le Krak (dérivé d'un mot syrique signifiant "forteresse") des chevaliers. Cette forteresse, construite par les Croisés, est considéré par les spécialistes comme l'un des plus beaux exemples d'architecture militaire défensive du Moyen Âge.

Il est l'équivalent du fameux Château Gaillard aux Andelys (Eure). Sauf qu'il impressionne les visiteurs par son remarquable état de conservation...

Les autorités syriennes entendent profiter de ce patrimoine pour développer le tourisme et en faire "l'un des secteurs moteurs de l'économie". Elles visent l'objectif de 12 millions de visiteurs à l'horizon 2014.

Pour autant, les infrastructures et la qualité de service, qui ne sont pas toujours à la hauteur, doivent être à la hauteur de ces ambitions.

Pour faire face à la demande, le nombre d'hôtels et d'employés "doit doubler tous les cinq ans", ce qui nécessite de gros investissements, reconnaissent les autorités locales. Encore faudrait-il que cette tendance à la hausse ne soit pas entravée par les tensions régionales (situation en Irak et en Iran, conflit israélo-arabe...)...

Source : France2

Liban : Le Koweït finance la construction d'un barrage

Le Fonds Kowétien pour le développement économique vient de signer un accord avec le Ministère libanais de l'Energie et de l'Eau, le 29 mars 2010. Une enveloppe de 19M$ (14,1M€) a été attribuée au ministère, afin de financer la construction du barrage de Qaissamani, dans le Mont-Liban.

Source : Econostrum

Libye : croissance de plus de 7% pour les secteurs non pétroliers

Les secteurs non pétroliers en Libye ont réalisé en 2009 une croissance moyenne de 7,7%, alors que le taux d’inflation dans l’économie a atteint 2,6% la même année, a révélé la Banque centrale de Libye (BCL).

La BCL a indiqué dans un rapport sur le rendement de l’économie nationale que ces performances sont le résultat d’une politique financière et monétaire prudente adoptée en 2009 et sont aussi liées à la baisse des prix de certains produits importés.

Le rapport révèle que selon les projections établies par la BCL à partir du budget de 2010 et des prix des marchandises sur les marchés mondiaux, la moyenne de croissance du Produit intérieur brut (PIB) non pétrolier est estimé à 9% avec pour principale source les dépenses publiques.

En ce qui concerne l’inflation, le document qui table sur un taux compris entre 8 et 10%, a indiqué que plusieurs facteurs ont permis de circonscrire l’inflation en 2009, notamment la baisse des importations libyennes en raison des prix des marchandises sur le marché mondial, ainsi que la hausse du taux de change du dollar par rapport à l’euro pendant le premier trimestre de 2009, en plus de la reprise de l’économie mondiale.

Source : DubaiFrance

Libye : création de 11 nouvelles zones industrielles

Le secrétaire de l'Office général libyen des zones industrielles, Ali Bakir, a annoncé la création prochaine de 11 nouvelles zones industrielles, soulignant qu'elles sont dans leur phase de parachèvement.

S'exprimant dans un entretien accordé au journal libyen Al-Jamahiriya, il a affirmé que son pays compte actuellement cinq zones industrielles dont la plus grande est celle de Sidi Sayeh, située à 45 km au sud-est de Tripoli, sur une superficie de 1460 hectares.

M. Bakir a rappelé que le plan stratégique de développement des zones industrielles du pays prévoyait la création, à la fin de 2010, de 40 zones industrielles.

Il a souligné que le retard accusé à ce sujet a trait à plusieurs facteurs tels que l'expropriation, l'enregistrement dans le cadastre foncier, le déclassement de la qualité d'utilité agricole et l'élaboration des plans.

M. Bakir a précisé qu'il existe un grand intérêt de la part des directeurs des sociétés et des investisseurs à l'égard de ces zones industrielles, qu'il s'agisse du besoin d'extension d'usines et d'activités industrielles existantes ou de la création de nouvelles.

Evoquant les perspectives de son institution, il a indiqué que l'Office libyen des zones industrielles vise à créer 50 zones industrielles qui seront exécutées en différentes phases selon les priorités.

Il a affirmé que l'Office œuvrera à fournir les plans et études, l'infrastructure de base, l'accès aux services, ainsi que la création d'un climat propice à l'érection de zones industrielles.

Créé en 2006, l'Office général libyen des zones industrielles a pour mission d'étudier, de planifier, de créer, de gérer et d'entretenir les zones industrielles.

Source : AfricanManager

Liban : Windeo s'implante au Liban et vise le moyen orient

Après s'être installée en Europe, notamment en France et au Benelux, Windeo annonce son implantation au Liban.

Alors que le réseau électrique libanais existant rencontre des difficultés, les autorités du pays ont décidé de faciliter le déploiement des énergies renouvelables. Les ambitions du gouvernement libanais seraient d'atteindre 12% d’énergies renouvelables, d’ici 2020. Il a ainsi alloué 9 millions de dollars pour soutenir ce projet.

Non seulement Windeo proposera ses dernières innovations en matière de petites éoliennes, mais il proposera également un large éventail de produits et de services à des prix compétitifs. Cet éventail comprend différents tarifs déclinés en contrats à court ou à long terme, des nouvelles technologies comme les cellules photovoltaïques, la démocratisation du petit éolien, des services divers et différents produits renouvelables.

La palette des services proposés par Windeo permettra aux Libanais de réduire leur facture énergétique

"Le Liban, à travers les décisions de son gouvernement, souhaite soutenir le développement des énergies renouvelables afin de se préserver d’un réseau énergétique à la distribution aléatoire et onéreux. A côté des grandes éoliennes qui bénéficieront du vent de l’Atlas, les petites éoliennes apporteront aux particuliers leurs besoins quotidiens. Le pays bénéficie de tous les avantages pour le développement des énergies renouvelables notamment l’éolien et le solaire et Windeo se devait d’être présent sur un tel marché", précise Loïc Pequignot, PDG de Windeo.

"Je vois cette implantation comme une dynamique initiée notamment avec le Plan Solaire pour la Méditerranée, qui a encouragé les pays du bassin méditerranéen a tiré profit de leur environnement climatique pour réduire leur facture énergétique. Le succès qu’a remporté Windeo en Europe nous conforte dans l’idée que les particuliers comme les entreprises sont prêts à investir dans une énergie propre et qui les protègera de toute inflation tarifaire dans les prochaines années. Les services proposés seront identiques à ceux de Windeo Europe", déclare Wajdi Habib, Président de Windeo Middle East.

Source : Enerzine

Tunisie : Premier bilan de la loi anti-tabac

Après l’entrée en vigueur, dès vendredi 19 mars 2010, du fameux décret n° 2009-2611 du 14 septembre 2009, qui vient renforcer l’arsenal des lois et décrets relatifs à la lutte contre le tabagisme, non seulement la chasse des fumeurs s’est accélérée mais également la chasse des espaces contrevenants.

Le premier bilan des quelque 6900 inspections opérées au cours de la période écoulée a été soldé par 4000 avertissements, 9 propositions de fermeture et la rédaction de 12 procès verbaux.

Selon "Al Ousboui", les contrôleurs ont ainsi sévi dans 6900 espaces. A cet effet, 4000 avertissements ont été adressés accordant des délais allant de 3 jours, pour les espaces qui n’ont pas respecté l’obligation d’afficher une pancarte visible « espace non-fumeur » ou un pictogramme non-fumeur, à un mois, pour ceux qui n’ont pas aménagé une partie de leurs locaux, égale au moins à la moitié de la superficie totale, afin qu’ils se conforment à la réglementation, désormais, en vigueur.

Les avertissements ont été adressés à 3635 cafés, 164 buvettes, 400 restaurants et un seul avertissement pour un restaurant touristique.

Mais il n’y a pas que les avertissements. Environ 12 procès verbaux ont été rédigés à l’encontre des contrevenants. La part de lion revient au gouvernorat de Bizerte (8), suivie par Siliana (3) et Tataouine (1). Il est à signaler que cinq cafés ont été fermés, dont trois dans le gouvernorat de Médenine et deux à Monastir.

Par ailleurs, les équipes d’inspection ont enregistré 95 contraventions dont 75 dans le secteur des cafés et buvettes, 20 pour les restaurants, les sandwicheries et les restaurants de Fast-food et ce sur un total de 3947 visites pour les cafés, 337 pour les buvettes, 1207 pour les restaurants et 30 pour les restaurants touristiques.

Pour les agents qui s’occupent actuellement de passer au peigne fin les différents espaces et de leur bonne conduite quant à l’application de la loi anti-tabac, il y a quand même une lueur d’espoir puisque 616 espaces ont répondu "conformes" aux dispositions du décret 2009-2611 soit uniquement 12% des locaux à usage collectif inspectés.

Ces actions concrètes sont confortées également par des campagnes de sensibilisation assurées par ces équipes d’inspection. L’on recense 333 interventions auprès des propriétaires de ces espaces pour les sensibiliser sur ce fléau qui a amené les autorités publiques à adopter une stratégie quinquennale visant à réduire de 10% le taux des fumeurs.

En effet, le nombre de fumeurs en Tunisie est en montée exponentielle. L’on recense quelque 50% d’hommes et 15% de femmes, selon les statistiques du ministère de la Santé publique. Pis encore, le tabagisme commence à battre son plein chez les adolescents.

Les mêmes statistiques montrent que 5,8% des fumeurs appartiennent à la tranche d’âge 12-14 ans, 12,3% pour la tranche 15-17 ans pour atteindre 20,3% pour la tranche 18-20 ans.

Décidemment, les autorités publiques ne voient pas d'un bon œil la prolifération des espaces contrevenants. Ainsi, un numéro vert est mis à la disposition du grand public pour alerter les autorités des dépassements et des contraventions dans ces espaces.

Une solution, qui parviendra, espérons-le, à persuader les propriétaires des cafés, buvettes et restaurants à se conformer "bonnement" aux dispositions de la loi. Il y va surtout de leur bourse !

Source : BusinessNews

Palestine : Une 1ère zone industrielle

La première zone industrielle dans les Territoires palestiniens va naître cette semaine aux portes de Bethléem (Cisjordanie), avec le soutien de la France et l'ambition d'appuyer l'essor économique d'un futur Etat de Palestine.

Elle s'étend sur 20 hectares au sud de Bethléem, au pied du célèbre cône du mont Hérodion, dans les collines ocres de Judée.

Le parc industriel sera inauguré jeudi par le ministre français de l'Industrie, Christian Estrosi, accompagné d'une délégation d'entrepreneurs. Le parc industriel doit être opérationnel début 2011 et vise à créer entre 500 et 1.000 emplois.

L'accord de concession a été paraphé fin mars entre l'Autorité palestinienne et une société mixte franco-palestinienne, la BMIP (Bethleem Multi Purpose Industrial Park).

Le terrain a été mis à disposition de l'Autorité par le Waqf, l'office des biens musulmans, pour 50.000 dinars jordaniens (50.000 euros) par an. Ce projet est un partenariat public-privé entre la Palestinian Industrial Estate and Free Zones Authority (PIEFZA), l’autorité publique chargée des zones industrielles dans les Territoires, et la BMIP, qui regroupe à part égale des actionnaires privés palestiniens de Bethléem et des investisseurs français.

La France a débloqué, via l'Agence française de développement (AFD), dix millions d'euros pour "soutenir l'attractivité" du parc d'activités en finançant le raccordement aux réseaux d'eau et d'électricité, une route d'accès et l'assainissement.

Ce projet, vu favorablement par Israël, avait été décidé par les présidents français Nicolas Sarkozy et palestinien Mahmoud Abbas en juin 2008. "Le message est de montrer qu'il est possible d'investir en Palestine, de donner une bouffée d'espoir", explique Hervé Conan, directeur de l'AFD à Jérusalem.

"Il s'agit de soutenir les PME palestiniennes à l'export et surtout dans la reconquête du marché local, car moins de 30% des produits consommés en Palestine sont +made in Palestine+", souligne M. Conan.

Le projet répond aux priorités du Premier ministre Salam Fayyad, un économiste qui a pour objectif de donner naissance à un Etat palestinien indépendant en août 2011, quelle que soit l'avancée des discussions avec Israël. Selon le ministre palestinien de l'Economie, Hassan Abou Libdeh, le parc de Bethléem hébergera "la plus grosse pépinière industrielle (des territoires)".

"Les revenus seront extrêmement bénéfiques pour les Palestiniens", a-t-il souligné récemment. "Il s'agit d'aider les Palestiniens à moins dépendre de l'aide grâce au secteur privé", affirme Valérie Hoffenberg, l'initiatrice du projet.

"C'est un projet pilote, du concret qui crée une dynamique, il faut dépasser le scepticisme", plaide la représentante spéciale de la France pour la dimension économique, culturelle, commerciale, éducative et environnementale du processus de paix au Proche-Orient.

Les autres tentatives similaires sont mort-nées, "à cause des restrictions imposées par l'occupation israélienne", accusent les Palestiniens.

Le chantier le plus ambitieux, à Jénine (nord), initié par les Allemands et les Turcs, pourrait redémarrer grâce à un entrepreneur turc d'ici la fin de l'année "si tous les obstacles israéliens sont surmontés", espère M. Abou Libdeh.

Mais les autres projets à Jéricho, Hébron (Cisjordanie) ou Gaza sont ensablés. "Nous sommes discrets, nous ne parlons pas trop fort, nous préférons travailler", assure le président de la BMIP, Samir Hazboun.

"Nous montrons aux investisseurs palestiniens qu'on peut faire les choses sérieusement. J'espère que les Israéliens comprendront aussi le message."

Source : le Figaro

Egypte : 340 réseaux de franchise et plus de 4000 unités franchisées

L'Egypte et ses 80 millions d'habitants forment le plus grand marché du monde arabe.

Pays fortement marqué par le tourisme, il a connu aussi ces dernières années, un développement rapide de la franchise dans les secteurs de l'alimentation, du prêt-à-porter et de l'indusctrie pharmaceutique. Le secteur du commerce y occupe près de la moitié des réseaux, tandis que 23 % d'entre eux sont des enseignes de restauration rapide.

Aujourd'hui, l'Egypte, c'est environ 340 réseaux de franchise qui représentant plus de 4000 points de vente, 45 000 emplois directs et 500 000 emplois indirects. Et au total : un chiffre d'affaires de 1,15 milliard d'euros.

Avecs 57 % de réseaux d'origine étrangère, l'Espagne, la France etl'Italie occupent les premières places...

Envie de vous rapprocher du marché franchisé egyptien ? Ne manquez pas le MIFE, plus important salon de la franchise de la zone Moyen-Orient Afrique du Nord. Organisé par l'EFDA*, il aura lieu du 5 au 7 mai 2010 au Caire.

* l'EFDA et l'association égyptienne de développement de la franchise. Créée en 2001, elle est chargée de représenter les acteurs du secteur, d'encourager la professionnalisation des métiers et la médiation entre franchiseurs et franchisés.

Source : AC-Franchise

Tunisie : espace aérien totalement ouvert en 2011

La Tunisie ouvrira entièrement son espace aérien au trafic international d'ici fin 2011, a fait savoir l'agence ANSA mercredi 7 avril.

Selon le ministre des Transports Abderrahim Zouari, cette initiative sera bénéfique aux neuf aéroports que compte le pays.

La Tunisie a récemment signé un accord sur l'ouverture de l'espace aérien avec le Canada, et en négocie actuellement un autre avec les Etats-Unis, a précisé le ministre.

Source : Magharébia