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Une société algéro-française pour la collecte des déchets ménagers de Ain Temouchent

Une opération pilote pour la collecte des déchets ménagers de la ville d'Ain Temouchent vient d'être lancée au quartier "Hai Zitoune", a-t-on appris mardi de la commune. 

Prise en charge par la société algéro-française d'enlèvement des ordures ménagères "AS Environnement Algérie", cette mission a été confiée à l'APC par convention d'une année, en contrepartie d'une enveloppe financière de 20 millions de dinars, a précisé le chef de service d'hygiène et de l'environnement, M. Abdelmoula Kacem. 

"Cette opération sera généralisée ensuite à toute la ville d'Ain Temouchent, si elle réussit", a-t-il signalé, avant de rappeler que le quartier "Hai Zitoune" constitue à lui seul le tiers de la ville en nombre d'habitants et de déchets générés estimés à 28 tonnes/jour. 

La société détentrice du marché procèdera à la collecte horizontale (porte à porte) et verticale (grands ensembles et bâtiments) des déchets ménagers en employant une main d'oeuvre locale composée de dix (10) travailleurs, conformément au cahier de charges, a-t-on souligné de même source.  

Trois camions ou bennes-tasseuses modernes de 8 à 10 m3 sont utilisées, sept jours sur sept, pour une collecte mécanisée des ordures ménagères. Elles sont dotées, également, de lève containers pour les poubelles, a-t-on expliqué. 

Cette société de droit algérien est composée d'ingénieurs de nettoiement, a indiqué, pour sa part, son représentant, M. Maxime Conton. Elle compte former des algériens dans ce domaine d'activité en utilisant des moyens technologiques et matériels modernes (système de géo mécanisation des camions). Elle effectue quatre rotations/jour dont l'une de nuit pour remplir sa mission en étroite collaboration avec les autorités de la ville et les habitants du quartier.  

"Certains secteurs du quartier ont besoin d'avantage d'efforts pour les rendre propres", a-t-il déclaré.

Une première concession de la collecte des déchets ménagers de ce quartier a été octroyée, en 2008, à une micro-entreprise issue de la caisse nationale d'allocation chômage (CNAC), a-t-on rappelé. Celle-ci ne disposait pas de moyens suffisants, a précisé M. Abdelmoula Kacem. 

Comptant sur deux camions avec bennes-tasseuses, huit (08) travailleurs avaient rempli cettemission, six mois durant, a rappelé le responsable de cette micro-entreprise, M. Zareb Haziz qui avait passé une convention avec l'APC d'Ain  Temouchent pour un montant de 600.000 dinars/mois.

Source : La Tribune

Les transporteurs routiers plaident pour le TIR en Algérie

De g. à dte: Alain Pellegrin, président du STM, Philippe Grillot, président de TLF et Marc Grolleau, président de l'IRU. (Photo N.B.C)

Le 1er décembre prochain à Alger, la Direction des Transports Terrestres accueillera son homologue française aux côtés de représentants de l'IRU (International Road Union) pour étudier l’introduction du régime TIR pour les transports par camion entre la France et l’Algérie.

« Le système TIR permettra aux entreprises de dédouaner à l’intérieur du pays », a déclaré Marc Grolleau, président de l'Association Française du Transport Routier International (AFTRI) le 21 octobre 2009 lors de l'université TLF (Fédération des Entreprises de Transport et Logistique de France).

Cette mesure devrait faciliter le transit des poids lourds sur le port d’Alger. Une commission, créée en 2004 sur le sujet par les ministres des Transports des deux pays, était jusque-là restée en sommeil. En 2008, une première réunion s’est tenue sur le sujet dans le cadre de cette commission.

Source : Econostrum

L’adhésion de l’Algérie à la ZALE n’a pas été profitable

L’adhésion de l’Algérie à la zone arabe de libre-échange (ZALE) n’a pas encore démontré son intérêt pour l’économie algérienne.

L’adhésion de l’Algérie au début de cette année à la zone de libre-échange (ZALE) a-t-elle profitée à l’économie nationale ?

Dix mois après l’entrée en vigueur de cet accord contesté par le patronat, c’est l’heure d’un premier bilan.

Acculé par les retombées de la crise économique et financière internationale, l’Algérie avait décidé de se tourner vers les pays arabes dans le souci de faire bénéficier nos entreprises des opportunités de partenariat et d’exportation vers des marchés nouveaux et prometteurs. Sur le terrain, c’est plutôt l’effet inverse. L’adhésion à cette zone de libre-échange n’a finalement profité qu’aux exportateurs arabes au détriment de l’économie nationale.

Les chiffres sont là pour appuyer ce constat amer. Au moment où les exportations algériennes hors hydrocarbures restent au point mort, ceux des autres pays arabes, à l’exemple de l’Egypte ou de la Jordanie, prennent l’ascenseur.

La faiblesse du tissu industriel local, le manque d’expérience des producteurs algériens en matière de procédures du commerce extérieur et les barrières mises en place par certains pays arabes sont autant d’entraves qui dissuadent les exportateurs algériens.

Le bilan des échanges commerciaux entre l’Algérie et les pays arabes, communiqué par l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (ALGEX) en marge de la 11ème édition de la foire internationale d’Oran (FIO) qui se tient actuellement au Palais des expositions (EMEC), montre une nette progression des exportations arabes vers notre pays.

Le volume des exportations arabes a explosé pour passer de 380 millions de dollars en 2006 à plus d’1 milliard de dollars en 2008.

Les principaux produits importés du groupe des biens de consommation non-alimentaires par l’Algérie sont les médicaments, les livres et brochures ainsi que les articles en papier à usage sanitaire.

En somme, des produits qui peuvent être facilement fabriqués localement, épargnant des dépenses de devises inutiles dans cette conjoncture économique difficile.

Parallèlement à cette explosion de la facture des importations algériennes des pays arabes, nos exportations hors hydrocarbures dans cette zone ont lourdement reculé ces derniers mois.

Les exportations hors hydrocarbures de l’Algérie vers les pays de la zone arabe de libre-échange (ZALE) ont chuté de 63% durant le premier semestre 2009.

Source : Algérie-dz

Algérie – le prototype d’éclairage solaire et éolien : l’éclairage des routes

Des énergies renouvelables pour l’éclairage des routes

Insatisfait de la cadence de l’avancement des travaux de la 2ème rocade sud, le ministre des Travaux publics a mis l’accent sur la nécessité d’augmenter le rythme des travaux pour la réception de ce projet reliant Zéralda à Boudouaou dans les délais fixés.

Hier, dans une visite de travail, il a inspecté pas moins de sept projets structurants de la deuxième rocade sud d’Alger, répartis sur trois wilayas, à savoir Alger, Blida et Boumerdès.

Au cours de la première escale, l’échangeur de Zéralda de rampe Alger-Douéra, long de 12 km et ouvert à la circulation en août dernier, il a écouté attentivement la présentation du projet portant sur le prototype d’éclairage solaire et éolien.

Il a fait savoir que, si les résultats sont satisfaisants, cette expérience sera généralisée à l’ensemble de la rocade qui s’étale sur une distance de plus de 200 km linéaires comprenant des pénétrantes, des évitements, des échangeurs et des ouvrages reliant des communes et des localités des wilayas d’Alger, de Blida et de Boumerdès.

Sur ce point, il a déclaré que c’est une nouvelle technique de renommée mondiale dont le département a eu recours parce que, précisera-t-il, elle est écologique, économique et durable.

M. Ghoul s’est ensuite dirigé vers la circonscription de Birtouta (Alger), où il a passé en revue l’état d’avancement des travaux des échangeurs de Sidi Abdallah, ouvrage d’art 11, et de l’échangeur de Birtouta, ouvrage d’art 20.

Ferme, il a donné des directives claires : « Les travaux doivent être achevés le plus tôt possible », sans donner un délai précis. S’en est suivie la visite de l’échangeur de la RN 8 (Eucalyptus), limite de la wilaya de Blida.

Pour ce qui est de la deuxième phase, Douéra-Khemis El Khechna, le plus grand tronçon qui dépasse les 50 km, où M. Ghoul avait déjà ordonné aux chefs de projet de respecter le délai de deux mois pour l’achèvement des travaux de réalisation, rien n’a été fait.

Dans cette phase, il a également inspecté l’échangeur du CW 16, un ouvrage d’art situé entre Khemis El Khechna et Hamadi.

Le ministre a clôturé sa visite sur le plus grand viaduc d’Afrique, Berrahmoune, long de plus 2,5 km, regroupant plusieurs viaducs, où il a appelé les réalisateurs à augmenter la cadence car, a-t-il estimé, les travaux avancent à un rythme trop lent.

M. Ghoul a évoqué, en outre, la réalisation, parallèlement à tous ces ouvrages d’art, de plusieurs routes connexes avec la nouvelle ville de Sidi Abdallah, l’aéroport international Houari Boumediene, les zones industrielles de Meftah et Rouiba, ou encore Boudouaou et Réghaïa.

Quant au taux d’avancement global des travaux de réalisation du projet, le ministre a estimé qu’il dépasse les 89% tout en affirmant que le projet de la 2ème rocade sud sera réceptionné avant la fin de l’année en cours.

Source : AlgérieAutrefois

Des tronçons de la 2éme rocade sud d’Alger éclairés à partir d’énergies renouvelables

Des tronçons de la deuxième rocade Sud reliant Zéralda (wilaya d’Alger) à Boudouaou (wilaya de Boumerdés) seront éclairés à partir d’énergies solaire et éolienne, a indiqué mercredi à Alger le ministre des Travaux publics, M. Amar Ghoul.

A titre expérimental, des prototypes d’éclairage solaire et éolien ont déjà été installés au niveau du tronçon Zéralda-Douera long de 12 km et ouvert à la circulation depuis août dernier, a fait savoir le ministre lors d’une visite d’inspection au chantier de cette rocade.

M. Ghoul a avancé que si les résultats de cette expérience seront satisfaisants, celle-ci sera généralisée sur l’ensemble de la rocade qui s’étale sur une distance de plus de 200 km linéaires comprenant notamment des pénétrantes, évitements, échangeurs et ouvrages reliant des communes et des localités des wilayas d’Alger, de Blida et de Boumerdès.

L’objectif de cette expérience est à la fois économique et écologique, a-t-il souligné.

Source : AlgérieFocus

Air Algérie augmente son capital de 100 milliards

L’Etat a injecté 100 milliards de dinars dans le capital d’Air Algérie pour soutenir le transporteur aérien public dans samodernisation.

Le gouvernement a validé l’option d’augmenter le capital de la compagnie aérienne Air Algérie afin d’enclencher sa mise à niveau, laquelle comprendra l’acquisition d’une nouvelle flotte, la modernisation de ses infrastructures – base de maintenance comprise – ainsi que la formation du personnel.

Le plan de restructuration concocté au profit d’Air Algérie coûtera à l’Etat 100 milliards de dinars et devrait s’étaler sur 5 années, soit jusqu’à 2014, a expliqué le premier responsable de la compagnie, Abdelwahid Bouabdallah, sur les ondes de la Radio nationale.

Selon lui, le dossier a été transféré au Conseil national de l’investissement afin de choisir la meilleure manière de mettre à la disposition d’Air Algérie son chèque de 100 milliards de dinars.

La compagnie publique a demandé un financement dont le taux d’intérêt est de 2,5% sur une durée de 15 ans avec, comme bonus, un différé de 2 ans, si l’on se réfère aux précisions du patron d’Air Algérie.

La mission d’accompagnement du nouveau plan de développement d’Air Algérie a été confié au cabinet international d’audit et de conseil financier KPMG, a affirmé M. Bouabdallah.

Le plan en question intègre une transaction d’achat de nouveaux aéronefs, la modernisation des infrastructures de l’entreprise, l’amélioration de la gestion ainsi que la concrétisation de la filialisation du groupe.

Air Algérie a déjà conclu un accord pour l’acquisition de plusieurs ATR. M. Bouabdallah a fait savoir dans la foulée qu’une seconde offre est en cours d’évaluation et permettra d’acquérir le second lot de la nouvelle flotte prévue afin d’atteindre environ 13 aéronefs. M. Bouabdallah a évacué toute idée d’ouvrir le capital de l’entreprise-mère, tandis que ses futures filiales sont appelées à évoluer sous l’effet d’une prise de participation.

« Le capital d’Air Algérie en tant qu’entreprise-mère ne peut pas connaître une prise de participation, mais sa filialisation ouvrira la voie à une ouverture partielle du capital des filiales, à l’instar de la filiale cargo, le catering et éventuellement la base de maintenance mais pas tout de suite », a-t-il expliqué.

Source : Algérie-dz

La Corée du Sud concurrence les Français dans l'hydraulique en Algérie

L'Algérie et la Corée du Sud viennent de signer un mémorandum d’entente sur la coopération dans le domaine hydraulique. Séoul affiche clairement ses ambitions au moment où les relations entre l’Algérie et la France dans ce secteur traversent une zone de turbulence.

La construction de barrages intéresse les entreprises coréennes (photo MRE)

Au cours de sa visite en Corée du Sud, du 8 au 10 octobre 2009, le ministre algérien des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, et son homologue sud-coréen de l’Environnement, Lee Maanee, ont signé un mémorandum d’entente sur la coopération dans le secteur des ressources hydrauliques.

Cet accord porte sur « la mobilisation, l’utilisation rationnelle, la distribution de l’eau et l’alimentation en eau potable ainsi que l’épuration et la réutilisation des eaux usées épurées ».

Le ministre algérien a demandé aux entreprises du pays du matin calme de nouer des partenariats avec des entreprises algériennes « pour la réalisation de projets dans le cadre du principe gagnant-gagnant ».

Une source diplomatique coréenne à Alger avait dernièrement déclaré à la presse que son pays était intéressé « par la gestion des ressources hydriques en Algérie, mais également par la construction de barrages ».

Séoul affiche donc clairement ses ambitions au moment où les relations de partenariat entre l’Algérie et la France, dans le domaine de l’hydraulique, traversent une zone de turbulence. 

Critiques contre les groupes français

Le groupe français Suez gère, via sa filiale Seal, les eaux de la capitale algérienne depuis la signature, en 2005, d’un contrat d’une durée de cinq ans avec l'Office National de l'Assainissement (ONA) et l'Algérienne des Eaux (ADE).

Ce contrat, cédé de gré à gré, s’est élevé à 117 M€ par an.

Mais des critiques ont dernièrement fusé de toutes parts. Le groupe français se voit reprocher d’avoir négligé l’assainissement et la formation. Le problème des déperditions en eaux n’est toujours pas réglé avec un taux de 26% pour 2009. Enfin, plusieurs quartiers de la capitale seraient touchés par des coupures récurrentes.

A Constantine, c'est la société française Eaux de Marseille qui gère la distribution des eaux de la capitale de l’Est du pays. Mais là aussi, les autorités locales se plaignent de la qualité de la prestation du groupe français.

Certains observateurs n’écartent pas l’idée que ces deux entreprises feraient les frais de l’actuel coup de froid dans les relations algéro-françaises. Les sociétés de l’hexagone se retrouveraient ainsi dans le collimateur des autorités d’Alger.

Sans écarter tout à fait cette explication, d’autres considèrent que l’Algérie a décidé de se réapproprier progressivement cet important marché.

Un partenariat conditionné au transfert de savoir faire

Les prochains appels d'offres pour la construction de barrages seront réservés aux entreprises locales (photo MRE)

C’est ainsi que le ministre des Ressources en eau a annoncé le 4 octobre 2009 que des appels d’offres pour la construction de barrages hydrauliques seront lancés prochainement en direction exclusive des entreprises locales publiques et privées.

Le pays compte bâtir 19 nouveaux barrages dans les cinq ans à venir. La facture du développement des ressources en eau devrait avoisiner les 16 mds$ (11 mds€).

Elle touchera divers domaines, dont la réalisation d’un système de transferts d’eau du Sahara vers la région des hauts-plateaux et la construction de près de dix stations de dessalement d’eau de mer.

Le recours à des partenariats avec l’étranger viserait, dans ce cadre, à permettre aux entreprises algériennes d’acquérir un plus en termes de savoir-faire et de maîtrise technologique, par un transfert de connaissances et une formation de son personnel.

Après une ouverture tous azimut, l’Algérie semble ainsi réorienter sa politique économique et privilégier les secteurs productifs, afin de réduire considérablement sa facture d’importation de produits et de services, qui a frôlé les 40 mds$ (28 mds€) en 2008.

Source : Econostrum

Sclerose en plaque en Algerie : entre 8.000 et 10.000 cas de SEP dont deux tiers des personnes atteintes sont des femmes.

Diagnostiquée pour la première fois en 1868, la sclérose en plaques (SEP) touche plus de 2,5 millions de personnes dans le monde. Les causes de la maladie demeurent inconnues, mais celle-ci devient de plus en plus traitable.

En Algérie, entre 8.000 et 10.000 cas de SEP sont enregistrés, selon le Pr Arezki, président de la Fédération maghrébine  de neurologie et de la Société algérienne de neurologie et neurophysiologie clinique (Sannc).

Les deux tiers des personnes atteintes de la SEP sont des femmes. Le Pr Arezki affirme que le Maghreb est considéré comme une zone de moyenne prévalence. 

Plusieurs facteurs en matière de risques sont cités et favorisent la progression de la maladie, à savoir, l’obésité, le tabagisme, l’alimentation non équilibrée et la pollution.

Cette pathologie est considérée comme un problème majeur de santé publique, puisqu’elle touche le plus souvent de jeunes adultes.

Qu'est-ce que la sclérose en plaques ?

La SEP est une affection dont l'évolution n'est jamais la même d'un patient à l'autre. Il n'est donc pas possible d'en prévoir le cours pour chaque patient. Alors que certaines personnes ne seront que très peu affectées par la maladie pendant de nombreuses années, d'autres pourront être victimes très tôt de dommages neurologiques susceptibles d'influencer leur existence.

Il importe de savoir que les lésions occasionnées par la SEP au système nerveux n'engendrent pas toujours systématiquement des symptômes neurologiques ressentis. Par ailleurs, le cerveau est capable de compenser très vite des lésions neurologiques en ayant recours à des voies nerveuses alternatives pouvant exercer la même fonction.

La cause de la sclérose en plaques demeure inexpliquée. Plusieurs hypothèses sont dans l’air. La plus souvent évoquée est celle d’une maladie auto-immune, où le système immunitaire détruirait la myéline en la considérant comme étrangère au corps.

De façon unanime, les chercheurs croient qu’il s’agit d’une maladie causée par un ensemble de facteurs génétiques et environnementaux.

La sclérose en plaques est diagnostiquée la plupart du temps chez des personnes âgées de 20 à 40 ans. On estime qu’en moyenne, une personne sur 1.000 en est atteinte.

Les personnes à risque sont généralement celles dont un proche parent est atteint de sclérose en plaques. En effet, environ 20% des personnes atteintes ont un proche parent qui en souffre. Les descendants de Nord-Européens ont une prédisposition génétique à la sclérose en plaques et les femmes sont deux fois plus nombreuses à en être atteintes que les hommes.

Pour ce qui est des facteurs de risque de cette pathologie chronique, les chercheurs ont établi, à travers des études effectuées sur un groupe de personnes, un lien causal solide entre l’habitude de vie observée et la sclérose en plaques. 

A titre d’exemple, les personnes, qui fument de 20 à 40 cigarettes par jour, courent environ deux fois plus de risque d’avoir la sclérose en plaques que les non-fumeurs. Ou encore, consommer beaucoup de gras animal pourrait doubler le risque d’être atteint de sclérose en plaques.

Des études épidémiologiques indiquent que la prévalence de la sclérose en plaques est plus élevée dans les populations qui ont une alimentation riche en gras animal et plus faible chez celles qui consomment principalement des acides gras polyinsaturés.

Source : ValeursUMN

Ouverture en Algérie d'un centre national de formation routière

Le nouveau Centre national algérien des permis de conduire (CENAPEC) a ouvert ses portes à Rouiba dimanche 11 octobre, a fait savoir l'agence APS.

Le ministre des Transports Amar Tou a présidé la cérémonie d'inauguration de ce nouveau centre de 400 millions de dinars, dont l'objectif est de mettre en place une nouvelle politique nationale de formation des conducteurs et de renforcer la qualité des inspecteurs et moniteurs d'auto-écoles.

Source : Magharébia

Rénovation des réseaux à Arzew et Sidi Chahmi pour bientôt

Deux entreprises nationales ont été désignées pour la prise en charge de ce projet pour un délai de 5 mois.

Suivant des informations recueillies auprès de services de la Société de l’eau et de l’assainissement d’Oran, « SEOR », il est prévu très prochainement le lancement du projet de rénovation des réseaux d’alimentation en eau potable au niveau des communes d’Arzew et Sidi Chahmi, pour une enveloppe financière de 90 millions de dinars.

Source : MarocWebo