Une convention entre la Caisse nationale des assurances sociales
(CNAS) en Algérie et Bupa Cromwel Hospital, un hôpital
britannique spécialisé dans la chirurgie cardiaque
infantile a été signée, hier, à Alger.
La cérémonie qui a eu lieu à la direction générale de la CNAS à Ben-Aknoun, en présence du ministre du Travail et de la Sécurité sociale Tayeb Louh et l’ambassadeur de Grande-Bretagne en Algérie, porte principalement sur deux points.
Il s’agit de « la prise en charge au niveau Bupa Cromwel Hospital de malades algériens atteints de cardiopathies congénitales complexes » ainsi que « le transfert de technologie » qui consiste en la formation du personnel médical et paramédical algérien, en Algérie mais aussi en Grande-Bretagne dans le domaine de la chirurgie cardiaque.
La convention prévoit, également, un développement de la clinique médico-chirurgicale infantile de Bou-Smaïl, dans la wilaya de Tipaza qui est l’unique établissement dans toute l’Algérie qui traite ce genre de complications cardiaques infantiles. Il faut savoir que plus de 3.000 enfants atteints de ces complications, inscrits sur la liste d’attente de la clinique de Bou-Smaïl, attendent d’être pris en charge.
Une trentaine de malades ont été transférés, le mois de décembre de l’année dernière en Jordanie par le ministère de la Santé, en collaboration avec la CNAS mais l’opération n’a pas tout à fait été une réussite puisque nombre de parents ayant accompagné leurs enfants malades se sont plaints, une fois de retour en Algérie. Selon des sources médicales proches de ce dossier, l’opération d’acheminement de ces enfants vers la Jordanie a été mue beaucoup plus par des considérations politiques.
En tous les cas la technologie utilisée dans la clinique de Bou-Smaïl ne permet pas d’opérer « les petits poids de naissance » autrement dit les bébés de moins de 700 grammes.
Mais il reste que la meilleure prise en charge reste dans cette clinique algérienne qui dispose d’imminents cardiologues et chirurgiens cardiologues mais qui ont besoin, attestent des sources médicales, de formation et de « mise à niveau ».
« Nous avons les moyens financiers, nous avons les équipements mais ce qui nous manque ce sont les ressources humaines » a déclaré, hier, Tayeb Louh à la directrice de l’Hôpital britannique en marge de la signature de la convention.
Le ministre du Travail et de la Sécurité sociale a déclaré également aux journalistes que l’un des objectifs de la convention signée, hier, avec les Britannique est de diminuer du transfert des malades vers l’étranger en particulier pour ce qui concerne les cas complexes.
Tayeb Louh a affirmé que le transfert des cas complexes de cardiopathies infantiles à l’étranger arrive en tête des dépenses de l’Etat pour les transferts à l’étranger. Avec la signature de cette convention, poursuit le ministre, les cardiologues algériens vont suivre deux fois par an une formation de trois mois dans cet hôpital britannique.
« C’est la première fois qu’on a atteint un tel degré de coopération avec Cromwel Hospital », s’est réjouit le ministre.
Il faut noter que grâce à une nouvelle politique sanitaire mise en place, ces dernières années, au niveau de Tipaza qui a souffert énormément, par le passé, en matière de couverture médicale, la clinique publique de Bou-Smaïl a bénéficié, à elle seule, de plusieurs milliards de dinars.
La clinique s’est dotée, le mois de décembre dernier, d’une salle de cathétérisme qui permet, une première dans notre pays, d’explorer les cavités cardiaques d’enfants.
La salle, inaugurée le 3 décembre par Tayeb Louh, utilise une technologie de pointe, et est reliée par visio-conférence, permettant ainsi à d’autres médecins d’assister à l’exploration des cavités de l’enfant tout en étant à des milliers de kilomètres et même dans d’autres pays.
Source : El Annabi
Le sors de mon fils est malheureusement pris en otage par une commission que je considère criminelle et non médicale sise à la CNAS de Ben Aknoun.
Voici les manœuvres de cette commission :
Après avoir reçu le dossier d’un enfant atteint d’une cardiopathie congénitale nécessitant une chirurgie de la transposition des gros vaisseaux, d’urgence dés les premières semaines de la naissance, et dont les membres savent bien qu’elle ne se fait pas en Algérie, ils traînent le dossier de l’enfant ainsi que les parents dans des cliniques privées afin que l’enfant trouve la mort au lieu d’essayer de sauver cet innocent.
C’est l’exemple de la petite ABBERANE décédée au 67 eme jour de sa naissance.
Après avoir refusé sa prise en charge à l’étranger, son dossier fut traîné plus d’un mois dans des cliniques privées.
Ainsi, je constate que mon fils subira les mêmes manœuvres.
Voilà, je porte à la connaissance de l’opinion publique que l’état de mon fils se dégrade de jour en jour. Or, il se trouve que cette commission traite le dossier de mon fils et néglige son état de santé.
En effet, on m’a refusé sa prise en charge à l’étranger sous prétexte que cette chirurgie se fait à la clinique IBN SINA où on a transféré son dossier.
En me déplaçant dans cette dernière, le directeur m’informe que mon fils ne peut être opéré dans sa clinique.
Alors, le dossier fut renvoyé à la CNAS de Ben Aknoun le 08/ 09/2009,
Je me suis personnellement déplacé au sein de cette structure pour voir l’état d’avancement du dossier de mon fils mais malheureusement, aucune porte ne m’a été ouverte. Leur réponse était claire, on ne peut même pas vous recevoir ! Dans un bureau d’un responsable irresponsable ayant 4 secrétaires ! Celui-ci n’aurait pas occupé cette place si ce n’est grâce à mes cotisations et celles de tous les travailleurs.
De ce fait, j’ai déposé un recours au niveau du secrétariat de la commission sise à l’hôpital Mustapha, pour réétudier le cas de mon fils Mohamed le mercredi 09/09/2009 mais en vain. J’attendais avec impatience leur réponse le jeudi 10/09/2009, et comme toujours avec leurs manœuvres connues par tout le monde la requête n’est pas encore examinée.
BOURAS Arezki
Rédigé par : bouras | dimanche 13 sep 2009 à 01:49