Un rapport conjoint de l’Organisation de
coopération et de développement économiques, la
Banque africaine de développement et la Commissio...
Un rapport conjoint de l’Organisation de
coopération et de développement économiques, la
Banque africaine de développement et la Commission
économique pour l’Afrique des Nations unies a mis en
relief les avancées économiques du Maroc en 2007.
La performance économique au Maroc a été remarquable en 2007, en raison des conditions internationales favorables et de la modernisation macroéconomique entreprise par le Maroc, indique un rapport conjoint de l’Organisation de coopération et de développement économiques, la Banque africaine de développement et la Commission économique pour l’Afrique des Nations unies.
«Les secteurs prospères de production ont apporté une contribution majeure aux importations, poussés par un accroissement des investissements, le rabaissement des droits de douane et une forte demande interne», souligne le rapport qui a été présenté jeudi au siège du congrès américain, ajoutant que les réformes entreprises dans le secteur financier et la stabilisation des dépenses de l’Etat ont permis (au Maroc) d’attirer une moyenne annuelle de 2,9% du PNB depuis 2001.
Le document, qui évoque également les efforts de modernisation et de libéralisation économiques, note que le gouvernement a élaboré des réformes et des stratégies qui visent la mise à niveau des infrastructures économiques dans le but de consolider la performance des secteurs traditionnels et encourager les secteurs de production à valeur ajoutée, comme les technologies de la communication et de l’information, la fabrication des véhicules et l’industrie aéronautique.
Recommandant la poursuite de la consolidation du cadre institutionnel et légal pour consolider ces acquis et approfondir une croissance à long terme et le développement humain, le rapport qui en est à sa septième édition remarque que le taux de croissance qui a enregistré en 2007, 2,2% n’a pas atteint le niveau ciblé de 3,1% à cause d’une baisse de 18% de la production agricole, relevant que le taux de croissance devrait se chiffrer en 2008 à 6% si la récolte reste dans les moyennes.
Concernant les activités non-agricoles, on signale que ce secteur a progressé de 5,6% en 2007 (contre 5,9% en 2006 et 5% en 2007), prévoyant que ce taux va atteindre 6,1% en 2008 en raison de la croissance des secteurs de l’industrie, la construction et les télécommunications.
La croissance de l’activité industrielle s’est pour sa part améliorée de 5,5 %, entraînée par la demande interne élevée causée par les accords de libre-échange conclus par le Maroc et les mesures de protections mises en place par l’Union européenne contre les biens chinois.
Le secteur des télécommunications a poursuivi sa lancée avec une croissance de 33,2% du nombre des abonnés au téléphone mobile durant la première moitié de 2007 pour atteindre 17,6 millions d’abonnés, signale-t-on de même source, ajoutant que le nombre des abonnés à Internet a augmenté de 39,5 % alors que le nombre des personnes raccordées au téléphone fixe s’est élargi de 89 % en 2007 après une chute accusée en 2006.
Source : Aujourd'hui le Maroc
La performance économique au Maroc a été remarquable en 2007, en raison des conditions internationales favorables et de la modernisation macroéconomique entreprise par le Maroc, indique un rapport conjoint de l’Organisation de coopération et de développement économiques, la Banque africaine de développement et la Commission économique pour l’Afrique des Nations unies.
«Les secteurs prospères de production ont apporté une contribution majeure aux importations, poussés par un accroissement des investissements, le rabaissement des droits de douane et une forte demande interne», souligne le rapport qui a été présenté jeudi au siège du congrès américain, ajoutant que les réformes entreprises dans le secteur financier et la stabilisation des dépenses de l’Etat ont permis (au Maroc) d’attirer une moyenne annuelle de 2,9% du PNB depuis 2001.
Le document, qui évoque également les efforts de modernisation et de libéralisation économiques, note que le gouvernement a élaboré des réformes et des stratégies qui visent la mise à niveau des infrastructures économiques dans le but de consolider la performance des secteurs traditionnels et encourager les secteurs de production à valeur ajoutée, comme les technologies de la communication et de l’information, la fabrication des véhicules et l’industrie aéronautique.
Recommandant la poursuite de la consolidation du cadre institutionnel et légal pour consolider ces acquis et approfondir une croissance à long terme et le développement humain, le rapport qui en est à sa septième édition remarque que le taux de croissance qui a enregistré en 2007, 2,2% n’a pas atteint le niveau ciblé de 3,1% à cause d’une baisse de 18% de la production agricole, relevant que le taux de croissance devrait se chiffrer en 2008 à 6% si la récolte reste dans les moyennes.
Concernant les activités non-agricoles, on signale que ce secteur a progressé de 5,6% en 2007 (contre 5,9% en 2006 et 5% en 2007), prévoyant que ce taux va atteindre 6,1% en 2008 en raison de la croissance des secteurs de l’industrie, la construction et les télécommunications.
La croissance de l’activité industrielle s’est pour sa part améliorée de 5,5 %, entraînée par la demande interne élevée causée par les accords de libre-échange conclus par le Maroc et les mesures de protections mises en place par l’Union européenne contre les biens chinois.
Le secteur des télécommunications a poursuivi sa lancée avec une croissance de 33,2% du nombre des abonnés au téléphone mobile durant la première moitié de 2007 pour atteindre 17,6 millions d’abonnés, signale-t-on de même source, ajoutant que le nombre des abonnés à Internet a augmenté de 39,5 % alors que le nombre des personnes raccordées au téléphone fixe s’est élargi de 89 % en 2007 après une chute accusée en 2006.
Source : Aujourd'hui le Maroc
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