MARKETING - MEDITERRANEE

Algérie-Syrie : Signature d'un protocole d’accord entre la Safex et l'organisme syrien des expositions

La Société algérienne des foires et exportations (SAFEX)  a signé, lundi dernier à Alger, un protocole d'accord avec l'entreprise publique chargée  des foires et expositions internationales de Damas (Syrie).         

D.R.

Le ministre du Commerce, M. El Hachemi Djaâboub, qui a présidé la cérémonie  de signature, a souligné que "cet accord qui vient s'ajouter aux conventions  précédentes signées par l'Algérie vise à encourager l'échange dans le domaine  commercial et le secteur des services entre l'Algérie et la Syrie".         

M. Djaâboub a, d'autre part, insisté sur l'importance de "sanctionner  cet accord par un échange commercial plus important entre les deux pays, en  oeuvrant à établir un partenariat effectif dans les différents domaines, notamment  industriel, objectif auquel aspire l'Algérie".        

Dans ce contexte, il a ajouté que l'"Algérie est désormais un pays ouvert  sur le monde dans le domaine commercial, particulièrement après son adhésion  à la Zone arabe de libre-échange, appelant à la nécessité de "dynamiser les  échanges commerciaux entre les pays arabes et musulmans".         

Pour sa part, le directeur de l'entreprise publique chargée des foires  et expositions internationales de Damas, M. Mohamed Mahmoud, a souligné  que "l'accord se veut le principal jalon de l'action commune entre les deux  entreprises", soulignant qu'il permettra d'"organiser des foires et expositions  de nature à faire la promotion des produits des deux pays".         

M. Mahmoud a également indiqué que "cet accord est important dans la  mesure où il permettra de promouvoir les relations commerciales entre l'Algérie  et la Syrie et facilitera l'accès des produits syriens au marché algérien porteur".         

L'accord a été signé du côté algérien par le directeur de la Safex,  M. Rachid Kacemi, et du côté syrien par le directeur de l'entreprise publique  chargée des foires et expositions internationales de Damas, M. Mohamed Mahmoud.         

L'accord permettra d'impulser les relations commerciales et économiques  et de poursuivre la coopération entre les deux pays, sur la base des intérêts  mutuels notamment en ce qui concerne la participation aux foires commerciales  internationales organisées par les deux pays et les expositions des produits  nationaux des deux pays.         

Les deux parties ont convenu d'échanger l'expertise dans le domaine  des foires et expositions, soutenir l'organisation de conférences de presse  et autres activités et encourager les visites des hommes d'affaires.         

Par ailleurs, l'accord prévoit d'autoriser l'accès provisoire des marchandises  dans les deux parties conformément aux lois en vigueur en Algérie et en Syrie.

Source : el Moudjahid

Tunisie : le premier salon de la franchise du 10 au 12 décembre 2009

Dans le cadre de la promotion du secteur de la franchise dans la zone méditerranéenne La Chambre de Commerce et d’Industrie de Tunis organise, en collaboration avec l’Association des Chambres de Commerce de la Méditerranée (Ascame),et en partenariat avec l'Union Tunisienne de l'Industrie, du Commerce et de l'Artisanat (UTICA), la 1ère édition du Salon de la Franchise baptisé «Tunis-MedFranchise » et ce, du 10 au 12 Décembre 2009 au siège de l’UTICA.

Cet événement regroupera un nombre important d’entreprises méditerranéennes de tous les secteurs, et sera un lieu d’échanges et de partenariats favorisant les relations directes entre les franchiseurs et les franchisés ainsi que la sélection de leurs futurs partenaires.

TUNIS-MEDFRANCHISE permettra à plusieurs entreprises d’accéder à une notoriété acquise, et de bénéficier d’un savoir faire, d’un concept, d’une marque ou d’une enseigne.

Parallèlement au volet exposition, «Tunis- MedFranchise» comportera des workshops sur les avantages de l’investissement en Tunisie : incitations fiscales, encouragements à la création de projets innovants qui seront animés par d’éminents experts.

M. Mounir Mouakher, président de la CCIT a souligné, lors d’une conférence de presse tenue, mardi à Tunis, que ce salon permettra à plusieurs entreprises d’accéder à une notoriété acquise et de bénéficier d’un savoir faire, d’un concept et d’une marque ou d’une enseigne.

Source : Babnet Tunisie

Tenue du premier Congrès mondial de l’énergie en Algérie en 2011

“L’Algérie abritera, au cours du dernier trimestre 2011, son Premier congrès mondial de l’énergie”. C’est ce qu’a annoncé, jeudi, le ministre de l’Énergie et des Mines Chakib Khelil au cours de sa visite effectuée à Oran.

En effet, lors d’une conférence de presse, animée en marge d’une visite d’inspection effectuée dans la wilaya d’Oran, le ministre a indiqué que cette manifestation aura lieu au Centre des conventions, qui sera réceptionné à Oran avant fin 2009.

M. Khelil a rappelé que la ville d’Oran abritera prochainement diverses manifestations économiques internationales. Ainsi, après la 16e Conférence internationale du gaz naturel liquéfié (LNG 16), il est prévu la tenue de l’Assemblée internationale du gaz, les 3 et 4 mars prochain, ainsi que la cinquième édition de la Semaine internationale de l’énergie, en novembre 2010, et enfin le Congrès mondial de l’énergie, vers la fin de l’année 2011.

Plus loin, le ministre de l’Énergie et des Mines a mis également l’accent sur l’importance économique que revêt la conférence du LNG16 à Oran, notamment en matière de développement de la production gazière mondiale et la promotion du marché du gaz ainsi que le renforcement des investissements et du partenariat dans ce domaine. 

Il a annoncé à l’occasion que le programme de cette conférence a été définitivement “scellé” en plus des dispositifs d’accueil, d’hébergement et de prestations en indiquant que toutes les places et espaces d’exposition sont réservés.

Dans ce cadre, le ministre a indiqué que plus de 200 groupes pétroliers et économiques internationaux ont réservé des surfaces d’exposition à la prochaine conférence d’Oran.

Cette rencontre, qui verra l’organisation du forum de pays producteurs et exportateurs du gaz et une conférence générale sur le gaz naturel liquéfié, sera financée à partir des recettes qui seront générées par les participations.

Par ailleurs, le ministre a abordé la question de la remise en cause de la monnaie de change dans le marché international qui est le dollar, en raison de la dépréciation de la monnaie américaine par rapport à l’euro sur le cours international. Chakib Khelil a, malgré tout, estimé que “s’il y a un changement de devise pour les échanges, il faut que ce changement soit accepté par tout le monde”.

Pour l’Algérie où les exportations d’hydrocarbures sont facturées en dollars, cette baisse de la monnaie américaine est très pénalisante, mais pour Chakib Khelil, la perspective d’un changement est un risque, selon lui, qu’il ne voudrait pas prendre à l’heure actuelle.

“Si vous acceptez de changer comme l’a fait l’Iran, vous n’êtes pas sûr que la monnaie que vous allez utiliser alors sera encore plus forte l’année d’après. C’est donc un risque que vous prenez. En Algérie, nous avons le dinar,  nous sommes toujours obligés de convertir et d’acheter des devises, c’est ce que fait la banque centrale et elle le fait très bien, mais il y a des risques à changer”, dira le ministre.

Abordant plus loin les prix du cours du brut, qui ont connu ces derniers jours une courbe ascendante, le ministre de l’Énergie attribue cette remontée aux perspectives de reprises économiques prévues pour le début de l’année 2010. Une reprise, malgré tout, qui doit se confirmer.

Dès lors, la spéculation reprend : “Les prix du pétrole n’ont pas été régis par l’offre et la demande mais ont été provoqués par la faiblesse du dollar, la spéculation avec la baisse des prix, l’or est passé à 1 000 dollars l’once.

Et maintenant qu’il y a des informations qui montrent que l’économie va s’améliorer, à nouveau le pétrole sert de valeur refuge, la Bourse s’améliore et donc on peut ainsi parler à nouveau de spéculation.”

Pour revenir à l’objet de sa visite à Oran, à savoir l’inspection de l’état d’avancement des différents travaux des structures devant abriter le LNG 16 l’année prochaine, Chakib Khelil a encore annoncé, à partir du siège de Sonatrach Aval, qu’Oran abritera en outre plusieurs évènements majeurs dans le secteur de l’énergie.

Pour cela, le ministre a annoncé que dorénavant des visites d’inspections et des réunions avec le comité de pilotage de la préparation du LNG 16 se tiendront mensuellement à Oran.

Source : LibertéDZ

la FIPA rempile avec BCI Aerospace

La prochaine édition d’Aerospace Meetings Tunisie aura lieu en 2011. Dans l’intervalle, la FIPA et BCI Aerospace organisateur de cette manifestation, pourraient monter d’autres événements dans d’autres secteurs d’activités.

«A la fin de la manifestation, les gens nous ont demandé la date de la deuxième édition». Parce qu’on reconnaît la réussite du lancement d’un nouveau produit à la réaction de la clientèle-cible. Madame Mongia Khemiri, directrice générale de la FIPA (Foreign Investment Promotion Agency) –l’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur-, a raison de se frotter les mains : la première édition d’Aerospace Meetings Tunis (20-30 septembre 2009) a tenu ses promesses.

Organisée pour la première fois –par BCI Aerospace- dans un pays arabe et africain, cette manifestation –au cours de laquelle ont été organisés près de 3.000 rendez-vous d’affaires- a attiré pas moins de 150 entreprises, dont 90 étrangères venues de onze pays (France, Belgique, Allemagne, Italie, Canada, Royaume Uni, Espagne, Etats-Unis, Japon et Maroc), parmi lesquelles quelques grandes enseignes (Dassault, Rolls Royce, Bombardier Aero, Safran Aeronautique, DEMA, Thales, Latécoère, Hutchinson Aerospace, et Zodiac Aero). «L’enquête de satisfaction menée à chaud révèle des appréciations très positives», souligne Mme Mongia Khemiri.

Les contacts entre la FIPA et BCI Aerospace se sont noués en 2008, lorsque cette entreprise française spécialisée dans l’organisation de manifestations avait arrangé des rendez-vous pour des responsables tunisiens avec des entreprises aéronautiques. Satisfaite, la partie tunisienne a proposé à BCI Aerospace d’organiser une édition d’Aerospace Meetings.

L’annonce officielle de l’implantation d'Aerolia en Tunisie «a accéléré les évènements et facilité» l’accord entre les deux parties, témoigne Mme Khemiri. Et tout s’est pratiquement fait en neuf mois –un temps record- puisque la décision d’organiser «Aerospace Meetings Tunisie» a été prise en janvier 2009.

Mais «comme nous n’avons pas beaucoup d’entreprises tunisiennes opérant dans l’industrie aéronautique, nous avons pris la décision d’offrir l’opportunité de prendre part à cette manifestation à celles du secteur des technologies de l’information et de la communication», explique la directrice générale de la FIPA.

Mais pour que celles-ci répondent à l’appel, il fallait régler un problème de taille : les frais de participation -2.500 euros par personne- jugées «trop élevés pour les entreprises tunisiennes» et que l’organisateur a finalement ramener à près de 700 Euros pour les Tunisiens.

Forte de ce premier succès en terre tunisienne, BCI Aerospace va donc rempiler. En plus de la deuxième édition tunisienne d’Aerospace Meetings, cette filiale du groupe Adhésion va monter en 2010 des manifestations similaires, probablement dans la plasturgie, et les industries mécaniques et électroniques.

Source : WebManagerCenter

Colloque international E3D : Eau, Déchets et Développement durable

L’Université Senghor à Alexandrie (Egypte), l’Ecole des Mines de St Etienne (France) et l’Association d’Innovations et de Technologies de Sfax (Tunisie) organisent du 28 au 31 mars 2010, un colloque international francophone avec appel à communications sur « l’Eau, les Déchets et le Développement Durable » (E3D), placé sous le haut patronage de son Excellence Monsieur Hany Helal, Ministre Egyptien de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.

Organisé dans le cadre prestigieux de la Grande Bibliothèque d’Alexandrie, ce colloque vise en particulier à permettre des échanges entre chercheurs, gestionnaires et décideurs, des pays du Nord comme des pays du Sud, qui travaillent dans les domaines de la gestion de l’eau et de la gestion des déchets ou qui contribuent à des actions de développement durable dans leurs pays respectifs ou à l’échelle internationale.

Source : Durabilis

Un salon médical en Libye la semaine prochaine

La septième édition du salon médical annuel sur l'assistance sanitaire en Libye se déroulera du 19 au 22 octobre à Tripoli, la capitale libyenne Tripoli, a appris mardi la PANA auprès des organisateurs.

Initié par le comité populaire de la santé et de l'environnement de la municipalité de Tripoli, ce salon verra la participation de 30 entreprises locales, arabes et internationales spécialisées dans l'industrie pharmaceutique, les équipements, installations et instruments médicaux.

En plus des ateliers, de nombreuses communications seront faites au cours de ce salon portant sur la présentation des dernières inventions médiales en matière de médicaments, d'équipements et d'installation médicales de pointe.

Par ailleurs la ville de Tripoli abritera aussi les 21 et 22 octobre une conférence scientifique sur "la responsabilité médicale : entre la réalité et le droit" organisée par le comité populaire de la santé et de l'environnement de la capitale libyenne.

Plusieurs médecins, spécialistes, pharmaciens et membres du personnel agissant dans les secteurs publics et privés, les assistants médicaux ainsi que le syndicat des médecins, le conseil médical spécialisé dans la détermination des responsabilités lors des fautes médicales et plusieurs spécialistes de la médecine légale participent à cette rencontre.

Des experts et spécialistes des questions ayant trait aux lois et aux règlements régissant la responsabilité médicale venant de plusieurs pays arabes participeront également à cette conférence.

Le programme de cette conférence porte sur plusieurs communications et papiers de recherche scientifiques s'articulant autour de quatre principaux axes, à savoir, les risques répandus et les moyens de les éviter, le rôle des conseillers juridiques du secteur de la santé et du syndicat professionnels dans la détermination de la responsabilité médicale et celui des sociétés d'assurance médicales dans la promotion de ce domaine.

Le conseil médical et la médecine légale et leur rôle dans la détermination de la responsabilité médicale et la charria islamique et les questions de responsabilité dans la faute médicale ont figuré parmi les axes qui seront débattus par les participants à cette rencontre.

Source : Afrique en Ligne

Création à Casablanca d'un Salon du transport routier

Le Groupement marocain du poids lourd et de la carrosserie (GPLC) et la Fédération Française de la Carrosserie (FFC) ont conclu, mardi à Paris, un accord de partenariat visant notamment la création à Casablanca d'un salon méditerranéen du transport routier et urbain de marchandises.

Ahmed Réda Chami, Adil Zaidi et Guy Martin, présidents du GPLC et de FFC, lors de la signature de l'accord de créatiopn du «Solutrans Méditerranée». (Photo : MAP)

L'accord, signé par Adil Zaidi et Guy Martin, présidents respectivement du GPLC et de FFC, en présence du ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, Ahmed Réda Chami, prévoit que ce Salon bisannuel, baptisé «Solutrans Méditerranée», tiendra sa première édition en juin 2011 à Casablanca.

La FFC est propriétaire et organisateur du Salon du transport routier et urbain des marchandises Solutrans qui se tient depuis 1988 à Lyon (France). Elle dispose d'une réelle expérience et d'une connaissance en matière d'organisation de ce genre d'expositions.

Au-delà du projet du Salon de Casablanca, l'accord vise à créer une synergie entre les deux partenaires dans les domaines de la formation, des normes de sécurité et des relations entre les industriels marocains et français.

Selon le président de la FFC, Guy Martin, cet accord de partenariat illustre le «potentiel énorme» qui existe entre le Maroc et la France dans ce domaine.

«Nous avons eu d'excellents contacts que ce soit au niveau ministériel, celui des fédérations ou des industriels», s'est-il félicité dans une déclaration à la MAP.

Pour Chafik Rachadi, député et vice-président du GPLC, l'accord couronne des efforts déployés depuis un an par le groupement marocain. Il vise à créer «une synergie entre les deux parties suivant un plan d'action sur la base duquel nous allons travailler les trois prochaines années avec une vision stratégique», a-t-il ajouté à la MAP.

En matière des normes de sécurité, l'accord prévoit que les deux parties analysent ensemble les problématiques de normalisation, de réglementation et d'homologation. La FFC mettra à disposition du GPLC son expérience en la matière et ses contacts avec les organismes institutionnels français, voire européens.

Dans le domaine de la formation, la FFC pourra apporter son concours à une étude des besoins de formation des entreprises marocaines que le GPLC a prévu de réaliser. A partir des résultats de cette étude, la FFC et le GPLC travailleront à la mise en place des dispositifs de formation correspondant à l'attente des entreprises.

Les deux partenaires se sont, aussi, mis d'accord sur la création de liens commerciaux et technologiques entre les entreprises françaises et marocaines, auxquelles incombe ensuite la nécessité de développer les échanges et les partenariats.

L'accord prévoit, enfin, que la FFC et le GPLC mettent en commun leurs analyses statistiques et études prospectives et fassent en sorte de déterminer les axes de développement industriel et commerciaux pour les entreprises membres de leurs organisations.

Source : le Matin

HealthExpo, le salon tunisien visera le marché Africain

Health-Expo est le premier Salon international de santé organisé en Tunisie sous l’égide du ministère de la Santé. Il se tiendra du 3 au 7 mars 2010 au Palais de la Foire du Kram et vise à développer le tourisme de santé dans notre pays. Principale cible, le marché africain.

Le secteur de la santé en Tunisie dispose en effet de nombre d’atouts qui gagneraient à être mieux connus. Il est diversifié, allant des soins de santé de base aux plus sophistiqués en passant par les pathologies lourdes.

Sans oublier la quarantaine de centre de thalasso qui font de la Tunisie la 2ème destination mondiale après la France (près de 150.000 curistes étrangers en 2007).

La Tunisie dispose aussi d’un potentiel thermal très important avec 4 stations opérationnelles et plusieurs projets en cours d’étude et de réalisation.

Sachant que 8% du budget global et 2% du PIB sont consacrés au secteur de la santé, ce qui explique ses performances. La Tunisie a été classée par le Forum de Davos au 27ème rang mondial en matière de santé, 1ère au niveau de l’Afrique et deuxième parmi les pays arabes.

Le secteur privé de la santé est très actif avec 104 cliniques offrant près de 2.700 lits, 990 cabinets dentaires, 4.974 cabinets médicaux, 107 cabinets de radiologie, 200 laboratoires d’analyse, 100 centres d’hémodialyse et 1.800 officines. Il s’est rapidement développé ces dernières années.

La médecine tunisienne, très évoluée et dont les qualifications sont reconnues, est très sollicitée à l’échelle panarabe et même européenne. Elle est appréciée pour la qualité des soins dispensés et le rapport qualité/prix.

Et cette première édition du Salon vise à développer le tourisme médical pour un meilleur positionnement du pays à ce niveau, spécialement au niveau de l’Afrique.

Les autorités de la Santé seraient même prêtes à soutenir les demandeurs de visas africains si toutes les garanties sont assurées.

Les spécialités les plus demandées par ceux qui recourent au tourisme médical en Tunisie sont les soins esthétiques et quelques maladies lourdes, telles que la cardiologie et la cancérologie.

Source : WebManagerCenter

«Green Ifriqiya» plus axé sur le business

Du 12 au 14 novembre 2009, Tunis sera la capitale africaine de l’environnement, avec la tenue de «Green Ifriqiya 2009», le 2ème Forum International de l’Investissement et de l’Emploi dans le domaine de l’Environnement, au Parc des Expositions du Kram.

Se considérant comme «le pays le plus développé dans ce secteur, sur la rive Sud de la Méditerranée», la Tunisie mise sur ce secteur «prometteur et générateur d’emplois et d’investissements, comme celui des technologies de l’information et de la communication» et veut se positionner comme «une plateforme de rencontres entre les opérateurs d’Afrique, de Tunisie et d’Europe», souligne M. Chokri Necib, chargé de mission au cabinet de M. Nadhir Hamada, ministre de l’Environnement et du Développement durable.

Grande ambition et vaste projet dont la mise en œuvre est coûteuse, mais que les autorités ont su concrétiser pour la deuxième fois en deux ans en mettant sur pied une véritable alliance d’acteurs nationaux et multilatéraux –comme GTZ, la Banque Africaine de Développement, etc.-, prenant chacun en charge un volet du budget, qui a permis de rendre la facture –estimée à moins de 100.000 dinars- supportable.

Pour  vendre aux opérateurs étrangers –européens et africains- le concept de «Green Ifriqiya»-, les promoteurs de la manifestation tablent sur le gain de temps, donc d’argent qu’elle leur permet. «Au lieu d’aller prospecter en Afrique, nous amenons les Africains ici et nous invitons des VIP», explique M. Necib.

La Tunisie, elle, en profite, «pour présenter des produits tunisiens» d’autant que «nous n’avons pas à rougir de nos acquis et réalisations dans le secteur de l’environnement», se félicite le chargé de mission auprès du ministre de l’Environnement et du Développement durable.

Pour coller davantage à cette orientation «business» de «Green Ifriqiya», les organisateurs ont programmé cette année deux manifestations visant à favoriser la naissance et la concrétisation d’opportunités d’affaires.

La première nouveauté est un séminaire international organisé par l’Union des Banques Arabes ayant pour objectif de sensibiliser les banques à l’importance de ce secteur et «de les convaincre de surmonter leur réticence actuelle à le financer».

La deuxième manifestation et nouveauté est un salon «B 2 B» durant lequel «aura lieu un mini-marché des émissions de gaz à effet de serre», organisé par la GTZ principalement pour faire rencontrer opérateurs allemands et de la région MENA (Middle East North Africa).

Avec 130 entreprises et près de 5.000 visiteurs, Green Ifriqiya a réussi lors de sa première édition «à se classer parmi les manifestations techniques les plus visitées», observe M. Chokri Necib. Ce qui explique, par exemple, l’intérêt qu’y porte UBIFRANCE «qui a mis cet évènement dans son agenda et a réservé un stand de 100 m2 sur lequel 15 entreprises françaises vont exposer».

Mais en plus des allemandes et italiennes, M. Chokri Necib appelle de tous ses vœux la participation d’entreprises tunisiennes de l’environnement, dont quelques unes travaillent à l’export». Dans l’espoir de «voir un jour émerger un porte-drapeau national dans ce secteur».

Source : WebManagerCenter

Agenda du commerce international : trois manifestations en Tunisie

Ubifrance accompagne les entreprises françaises qui souhaitent participer à trois évènements organisés en Tunisie d’ici la fin 2009 : Aerospace Meeting (28-30 septembre), les 10ème Rencontres internationales de l'Union des entreprises d'Ile et Vilaine (14-16 octobre) et la 8ème édition des journées partenariales tuniso-françaises (26-28 octobre).

Le premier évènement, Aerospace Meeting, a ouvert ses portes à Tunis le 28 septembre et rassemblera pendant trois jours une importante délégation d'entreprises françaises et étrangères du secteur aéronautique en Tunisie (voir l'ouvrage publié par Ubifrance sur le secteur aérautique en Tunisie.

Le second évènement, programmé à Tunis du 14 au 16 octobre et organisé par l'Union des entreprises d'Ille et Vilaine (Medef 35), est la 10ème édition des "Rencontres Internationales de l'UE 35".

Les entreprises bretonnes pourront s'informer sur les opportunités d'échanges ou d'investissements offertes par la Tunisie avec un programme de conférences, des entretiens B to B et des visites de sites.

Le troisième rendez-vous est donné par la Chambre tuniso-française de commerce et d'industrie (CTFCI) avec la 8ème édition des journées partenariales tuniso-françaises, les 26, 27 et 28 octobre à Tunis. Objectif : soutenir les entreprises françaises à saisir les marchés liés aux grands projets immobiliers et d'infrastructure.

Rappelons que le Premier ministre François Fillon a signé en avril dernier, à l’occasion de sa visite en Tunisie un protocole financier prévoyant l'ouverture d'une ligne de crédit de 40 millions d'euros pour financer les PME tunisiennes exportatrices qui se fournissent auprès d’entreprises françaises.

Sa mise en place opérationnelle est attendue sous peu. La France est le 1er fournisseur de la Tunisie (18,6% de part de marché en 2008) et son premier client (29,3% des exportations).

Source : le MOCI