La crise est passée par là et les levées de fonds deviennent de plus en plus sensibles. En témoigne cette semaine l’annonce en fanfare d’un fonds pourvu d’1 million de dollars par Yissum.
L’entité en charge du transfert de technologie pour l’Hebrew University of Jerusalem, souhaite mettre cette somme à disposition de la recherche fondamentale pour les technologies « vertes ».
Quand on connaît les coûts structurels de ce genre de recherche, on comprend que l’effort financier est faible, mais louable bien entendu.
L’effet de levier devrait pouvoir jouer un rôle important entre la recherche fondamentale et la consécration des champs d’étude choisis.
Pour ce mini-fonds, 5 sujets d’étude ont été choisis, avec l’aide et le soutient de la société ORMAT, spécialiste mondial de la géothermie et des turbines. 2 d’entre elles sont dédiées à la recherche en nanotechnologie afin de décupler l’efficience des systèmes de panneaux solaires au niveau à l’échelle du nanomètre.
Une 3ème a pour objectif d’étudier la décontamination des pollutions au mercure à la sortie des usines à charbon.
Ce mini-fonds servira de bridge entre la recherche fondamentale et la constitution de start-up d’ici 3 ans, soutenues par le Ministère de l’Industrie.
Source : IsraelValley
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