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Vers la réforme du secteur bancaire en Libye

Le gouverneur adjoint de la Banque centrale de Libye (BCL), Mohamed Abdessalam Choukri, a affirmé que la restructuration de l`économie libyenne, en vue de lui permettre d`accompagner la réalité économique mondiale et les exigences de la mondialisation, nécessite l`existence d`un secteur bancaire efficace dans le pays.

Le responsable libyen qui s`exprimait dimanche soir dans une conférence sur "Le secteur bancaire en Libye : Réalités et Ambitions" a indiqué que la réforme du secteur bancaire en Libye exige la mise en place d`une stratégie globale en trois axes, à savoir : la promotion du secteur bancaire dans tous les domaines techniques et de service, l`autorisation de l`entrée des banques étrangères dans le pays et la promotion du secteur financier.

M. Choukri a précisé que cette stratégie est soutenue par une vision futuriste visant à créer une atmosphère de stabilité pour encourager l`investissement dans le secteur bancaire, la création d`institutions répondant à un système de comptabilité performant et transparent, en plus de la réalisation d`une harmonisation entre les politiques financières et commerciales.

Il a indiqué que les autorités financières du pays ont commencé depuis 2005 l`exécution de cette stratégie en promulgant, la même année, un décret mettant l`accent sur l`indépendance de la BCL, ainsi qu`une autre loi permettant de lutter contre le blanchiment d`argent.

Une commission d`évaluation bancaire avait été également créée, chargée d`étudier les rendements bancaires et son évaluation, en plus de la formation de 220 agents bancaires en techniques de pointe dans le domaine.

Source : Angola Press

La faible saison des pluies affecte la production et les exportations de blé

La production et les exportations de blé vont reculer cette année, en raison du manque de pluies durant la période de pousse, selon un rapport du service agricole étranger du département d’État américain pour l’Agriculture.

Le rapport tire ses conclusions de ses propres estimations ainsi que de celles de l’Établissement général pour la fabrication et le commerce de céréales (Hoboob).

Ce dernier estime la production de blé en 2007/2008 à 4 millions de tonnes, contre 4,2 millions de tonnes en 2006 et 4,7 millions en 2005. Quant aux exportations, elles devraient chuter de 1,5 million de tonnes en 2006 à 700 000 tonnes, cette année.

Le gouvernement syrien considère le blé comme une culture stratégique. Il encourage la production en achetant le blé des agriculteurs à un prix subventionné, et s’assure du maintien d’un stock de réserve nationale d’environ 4 millions de tonnes.

Les exportations reculeront à cause de la petite récolte et de la faible quantité de blé achetée des agriculteurs par Hoboob (1,55 million de tonnes), en raison de la mauvaise qualité de la moisson, affectée par les pluies durant la dernière partie de la période de pousse.

Parallèlement, la consommation devrait continuer à augmenter, dopée par le nombre croissant de réfugiés irakiens, qui représentent maintenant près de 8 % de la population syrienne. La consommation totale devrait atteindre 4,7 millions de tonnes cette année, contre 4,35 millions en 2006.

Le rapport souligne également que les commerçants privés jouent un rôle croissant sur le marché du blé, mettant fin à près de 35 ans de monopole de Hoboob.

Les importations, toutes assurées par le secteur privé, devraient s’élever à 200 000 tonnes cette année. Le reste du volume sera puisé des stocks, qui devraient s’élever à 2,45 millions de tonnes à la fin de cette année, contre 3,65 millions un an plus tôt.

Les estimations du stock final de 2006 et de 2007 faites par le rapport sont inférieures à celles de Hoboob, qui prévoit un stock final d’environ 2,93 millions de tonnes cette année.

Les importations par le secteur privé sont autorisées à condition que le blé soit ensuite traité.
Le tarif des douanes sur le blé est de 1 %.

Source : L'Orient-Le Jour

Création de comités d’hommes d’affaires pour doper les relations libano-bulgares

Le président de LIBAN (Lebanese International Businessmen Associations Network), Robert Jreissati, a reçu hier l’ambassadeur de Bulgarie, Venelin Lazarov.

La réunion, qui a porté sur les moyens de renforcer les relations économiques et commerciales entre le Liban et la Bulgarie, a été conclue par la décision de créer un comité, présidé honorairement par l’ambassadeur bulgare, regroupant les principaux jeunes hommes d’affaires libanais basés au Liban et actifs en Bulgarie.

Il fut également décidé de constituer une commission conjointe bulgaro-libanaise à Sofia groupant les principaux jeunes hommes d’affaires libanais et bulgares.

Les échanges entre le Liban et la Bulgarie sont en pleine croissance, a souligné à cette occasion le conseiller économique et commercial de l’ambassade bulgare, Stefan Gavriov.

En 2006, les importations au Liban en provenance de la Bulgarie se sont élevées à 76 millions de dollars, tandis que les exportations libanaises vers la Bulgarie ont totalisé 390 000 dollars.

Sur les six premiers mois de cette année seulement, les importations en provenance de Bulgarie ont atteint 43 millions de dollars et les exportations libanaises vers la Bulgarie ont totalisé 277 000 dollars.

Le volume des exportations libanaises vers la Bulgarie est encore faible, mais il s’améliorera si la situation politique s’arrange, a affirmé M. Gavriov.

« De nombreux investisseurs libanais sont également présents en Bulgarie, a-t-il ajouté, notamment dans les secteurs de l’agroalimentaire, des banques et de l’immobilier. »

La Bulgarie a connu un taux de croissance de 6,4 % en 2006 et vise 5,3 % cette année.

L’initiative de LIBAN s’inscrit dans le cadre de sa stratégie visant à mobiliser la diaspora jeune des affaires au profit du développement social et économique du pays. L’organisation compte 24 branches dans le monde.

Source : L'Orient-Le Jour

L'Egypte ambitionne de se classer parmi les pays développés en 2020

Le Premier ministre égyptien Ahmed Nazef a exprimé mercredi l'ambition de son pays de figurer parmi les pays développés en 2020, arguant que le progrès économique aboutirait au développement social.

Dans un entretien avec la radio égyptienne, M. Nazef a affirmé que son jugement mentionné ci-dessus était basé sur les indicateurs actuels.

L'Egypte a réalisé un grand bond dans l'amélioration des investissements et de l'environnement économique, aspects dans lesquels, selon un rapport de la Banque mondiale, l'Egypte devance nombre d'autres pays, a-t-il fait remarquer.

Les investissements dans diverses domaines en Egypte sont passés de 2 milliards de dollars américains il y a deux ans à 11 milliards de dollars à l'heure actuelle, a ajouté M. Nazef.

L'Egypte est riche en ressources humaines avec la moitié de ses 76 millions d'habitants âgés de moins de 23 ans, a relevé le Premier ministre. Selon un rapport du gouvernement, la croissance économique égyptienne a atteint 7,1% dans l'exercice 2006-2007 s'étant terminé le 30 juin et le produit intérieru brut du pays a atteint environ 130 milliards de dollars américains.

Source : Casafree

Baisse de l'excédent commercial en Algérie

L'Algérie a enregistré un excédent commercial de près de 19,575 milliards de dollars au cours des sept premiers mois de 2007, soit une baisse par rapport aux 23,79 milliards enregistrés pour la même période de 2006, selon les chiffres publiés samedi 22 septembre par le Centre National de l'Informatique et de la Statistique (CNIS).

Les exporations algériennes ont chuté de 3,88 pour cent d'une année sur l'autre, pour atteindre 36,5 milliards de dollars, malgré une augmentation du prix des exportations d'hydrocarbures.

Les grèves déclenchées en mai dernier contre la privatisation des ports du pays avaient entraîné la fermeture de la plupart des ports algériens, entraînant une perte d'exportation estimée entre 1,4 million et 2,1 millions de dollars par jour.

La CNIS a indiqué que les importations étaient en hausse de 19,38 pour cent d'une année sur l'autre, à 16,93 milliards de dollars, en grande partie favorisées par l'appréciation de l'euro. La demande algérienne en produits alimentaires importés a également enregistré une hausse par suite de la sécheresse dans la région.

Source : Magharebia

L’Algérie est totalement dépendante du marché extérieur pour son alimentation

“Quel avenir pour l'agriculture alimentaire en Algérie ?" C'est le thème de la conférence-débat animée, dimanche soir,  par l'économiste Ahmed Aït Amara, au siège de la fondation Friederich Ebert. 

Celui-ci relèvera d'emblée que l'Algérie est totalement dépendante des importations pour son alimentation. C'est ainsi qu'il indiquera que les biens importés par l'Algérie sont à 80 % des biens alimentaires. Mais le pire est que le volume de ces importations ne cesse d'augmenter d'année en année, car la croissance démographique (actuellement située à 1,9 %) est relativement élevée et reste supérieure à la croissance agricole.

C'est ainsi que la valeur des importations de biens alimentaires est passée de 1 milliard de dollars dans les années 1970, à 3,5 milliards de dollars dans les années 2000. Et au-delà de cette dépendance en volume, relèvera M. Aït Amara, l'Algérie est encore plus dépendante du point de vue qualitatif car elle importe tous les produits de première nécessité comme les céréales, les oléagineux, les légumes secs,  le lait…etc.

A titre d'exemple l'Algérie est considérée comme le plus gros importateur de blé du bassin méditerranéen. Celle-ci a d'ailleurs importé 5 millions de tonnes de blé en 2005 et devrait en importer 8 millions en 2015.

Aussi, cette dépendance des importations peut se traduire sous deux aspects : la dépendance vis-à-vis du marché mondial et la dépendance vis-à-vis de la disponibilité de liquidités devant nous permettre d'importer des biens alimentaires, donc une dépendance des exportations en hydrocarbures.

Pour ce qui est de l'offre du marché mondial, on s'aperçoit aujourd'hui que celle-ci s'amenuise. Les facteurs ayant conduit à cette situation sont multiples. Il y a d'abord la croissance démographique mais aussi la salinisation des sols et le changement climatique.

Mais le facteur qui a le plus contribué à réduire l'offre reste les politiques agricoles adoptées par les pays excédentaires, donc les exportateurs, notamment dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce. M. Aït Amara a indiqué que ces pays ont adopté dès les années 1960 le système des subventions agricoles afin d'amortir les prix des produits agricoles. Certaines atteignaient même jusqu'à 60 % du prix de la production.

Mais avec les règles  de l'OMC, on a dû mettre fin au système des subventions. Il ne restait donc plus d'autre choix aux producteurs que de répercuter ces subventions sur les consommateurs en réduisant l'offre et en laissant les prix grimper.

Il y a également le contrôle de l'offre, notamment dans les pays européens qui ont adopté un système des quotas et de jachères pour éviter qu'il y ait un surplus de production. Malheureusement, aujourd'hui on se rend compte qu'il y a un déficit de production auquel il est difficile de palier. Conséquence, les prix des produits alimentaires  ont doublé en moins d'une année sur les marchés internationaux. Une augmentation que le simple consommateur algérien ne peut supporter, lui qui dépense plus de 56 % de son revenu pour s'alimenter.

M. Aït Amara relèvera dans ce contexte que l'Algérie, avec un smig à 120 euros, se situe dans la zone de salaire la plus basse du bassin méditerranéen. Il considère donc que le développement de l'agriculture alimentaire est une question de sécurité.

Il se fera alarmiste lorsqu'il évoque toutes les fois où le Conseil de sécurité de l'ONU a eu recours à des embargos alimentaires en guise de sanctions. Pour ce qui est des disponibilités en liquidités, il affirmera que pour le moment l'Algérie dispose de réserves en devises importantes grâces aux exportations d'hydrocarbures.

Malheureusement, cela ne pas durer éternellement, car le ratio des réserves prouvées de pétrole par rapport  à la production est de 17 ans et il de 53 ans pour le gaz. Il faudra donc trouver les moyens de s'assurer des liquidités en dehors des exportations en hydrocarbures.

M. Aït Amara rappellera, dans ce contexte, que les politiques économiques adoptées depuis quelques années tournent autour de trois axes, à savoir les IDE, l'émergence d'un véritable secteur privé et l'ouverture du marché.

Pour ce qui est des IDE,  force est de constater que ceux-ci tardent à venir malgré toutes les politiques incitatives adoptées. Il  indiquera dans ce sens que le capital cumulé pour les principaux partenaires commerciaux de l'Algérie, à savoir l'Espagne, la France, l'Italie et l'Allemagne ne dépasse guère les 400 millions de dollars. La raison en est, selon

M. Aït Amara, que l'Algérie ne dispose pas d'un tissu de PME conséquent autour duquel pourrait s'articuler toute industrie, contrairement au Maroc par exemple. Pour ce qui est du secteur privé national, l'économiste estimera que celui-ci est quasi-inexistant ou n'investit guère dans l'industrie. Résultat des courses, les pouvoirs publics se retrouvent dans l'obligation de recourir aux entreprises étrangères pour mener à bien tous les programmes de développement et nous nous retrouvons donc avec un coût exorbitant de la balance des paiements.

Il estimera enfin que l'ouverture commerciale sans véritable contrepartie ne fera que laminer ce qui reste de notre industrie, puisqu'elle favorisera la concurrence de ceux qui importent au détriment de ceux qui veulent réellement  investir.

Source : Le Maghreb

Ival : Commercialisation de la Fiat Linea en Algérie

La commercialisation de la nouvelle berline tricorps de Fiat, la Linea, est effective en Algérie. La voiture a fait son apparition lors de l’inauguration du nouveau showroom de Fiat à Hydra.

Un an après sa première apparition mondiale, la Fiat Linea vient de voir sa commercialisation débuter officiellement en Algérie.

La berline tricorps du segment C de Fiat prendra place aux cotés des Grande Punto, Punto Classic, Panda et bientôt la Bravo, et contribuera à enrichir et à rajeunir une gamme en pleine mutation.

Construite sur une plateforme de Grande Punto modifiée pour accueillir son gabarit imposant, la Linea reprend, sur sa face avant, l’essentiel de l’ADN de la marque. Avec des feux à mi-chemin entre ceux de la Grande Punto et ceux de la Bravo, elle s’identifie clairement à la première, best-seller du moment, tout en revendiquant le segment de la seconde.

L’arrière, moins évocateur de l’origine turinoise de la berline, assure sa fonction de container à bagages sans sacrifier l’équilibre général de la ligne.

Tout comme la Bravo et la 500, la Linea reçoit le nouveau logo rouge de Fiat.

Fabriqué à Bursa en Turquie et destinée principalement aux marchés des pays émergeants et à quelques pays du sud de l’Europe, la Linea garde l’essentiel pour rester accessible.

Bien équipée dès la version d’entrée de gamme, avec la climatisation, les airbags frontaux et l’ABS qui sont fournis de série. A l’intérieur, les sièges bi-ton beige et gris contribuent à égayer l’environnement.

Les matériaux de la console ne sont pas ce qui se fait de mieux mais Fiat a fait des efforts par rapport aux modèles précédents.

L’atout de la Linea reste sa taille, son empattement de 2,60m lui donne une habilité respectable et sa longueur de 4,56m la place à la tête de sa catégorie, dégageant ainsi 500 litres pour le coffre.

Comme nous annoncé dans un précédent article, la Fiat Linea sera commercialisée en l’Algérie en trois versions, deux avec un moteur diesel et une en essence.

La version essence reçoit un bloc 1.4 de 77cv, elle est affichée à un prix d’attaque de 1.190.000DA et est dotée, de série d’airbags frontaux, de la direction assistée, de la climatisation, de vitres électriques avant, d’un Radio CD et de l’ABS. Les versions diesel recevront, quant à elles, le turbodiesel 1.3 multijet de 90ch. La première déclinaison, affichée à 1.340.000 DA, recevra les airbags latéraux en plus des équipements de la version essence.

La deuxième déclinaison, affichée à 1.430.000 DA, sera dotée, en plus, de jantes en alliage et du réglage en hauteur du siège conducteur.

On notera au passage et selon le communiqué de presse d’Ival, que les deux moteurs de la Fiat Linea respectent les normes antipollution Euro IV.

Le lancement de la Linea a coïncidé avec l’inauguration d’un nouveau showroom Fiat sur les hauteurs d’Alger, à Hydra précisément, aux environs du pont.

Source : Autoalgerie

Modernisation du système budgétaire en Algérie

La réforme du système de finances publiques en Algérie a été l’un des sujets abordés par le président Abdelaziz Bouteflika avec ses ministres.

Le lancement de ces deux grands chantiers aura des répercussions certaines sur les autres secteurs d’activités et permettra en outre une grande efficacité de l’emploi des ressources publiques de l’Etat. Les actions de réformes engagées visent, selon les responsables du secteur, à améliorer et à simplifier le circuit de l’exécution de la dépense publique ainsi que le contrôle interne et externe de la dépense publique.

Un plan de modernisation de l’administration fiscale en Algérie a été engagé pour la doter d’une organisation et de procédures inspirées des meilleures pratiques internationales et de moyens de services plus adaptés.

L’administration des Douanes va, pour sa part, bénéficier d’un programme visant la réorganisation de l’administration centrale, le redéploiement des services extérieurs et la création d’une Ecole supérieure des douanes.

Abordant la lutte contre le blanchiment d’argent, la Cellule de Traitement du Renseignement financier a engagé une série d’actions visant à conforter son organisation et son mode de fonctionnement. Cette cellule a reçu, à ce jour, 56 déclarations de soupçon émanant d’institutions bancaires et d’une dizaine de demandes d’assistance émanant d’organismes homologues étrangers.

En ce qui concerne la dette publique extérieure de l’Algérie qui s’élève à 878 millions de US à fin 2006, des actions sont engagées pour la conversion d’une partie (333,3 millions de US) et du remboursement d’une autre partie (100 millions de US).

Le reliquat de la dette commerciale extérieure (entreprises publiques et privées), établie à 4,18 milliards USD, sera traité par la conversion en prêts bancaires et/ou par le remboursement par anticipation.

Source : Algerie-dz

La stratégie industrielle de l’Algérie en débat chez Temmar

Dans le cadre des débats sur la stratégie industrielle de l’Algérie, le ministre Hamid Temmar a reçu les organisations patronales.

Une réunion a regroupé, hier, les associations patronales et les cadres du ministère de l’industrie et de la promotion des investissements, consacrée à la mise en œuvre de la stratégie industrielle. Les participants qualifient de “concret” la rencontre.

Neuf ateliers, ou groupes de travail, correspondant aux différents chapitres du document stratégie et politiques de relance et de développement industriels en Algérie, vont être mis en place. Le ministère de l’industrie et de la promotion des investissements semble, cette fois-ci, appuyer les espace intermédiaires dans le processus opérationnel de mise en œuvre de la stratégie industrielle.

Les participants ont évoqué, lors de cette réunion, la nécessité pour les petites et moyennes entreprises de se regrouper. L’idée et d’augmenter le nombre de PME de taille intermédiaire et de faire émerger quelques grands champions.

Car, aujourd’hui, et plus encore demain, seules les entreprises disposant d’une “masse critique” ou créant une réelle valeur ajoutée seront amenées à survivre.

Dans le paysage économique algérien, rares sont les petites et moyennes industries qui ont une taille critique. “Il faut, donc, rendre moins contraignant la constitution du groupe. Il faut des surfaces plus conséquentes, en matière d’assiette de terrain, des conditions plus fluide de création de groupe d’entreprises en Algérie, une fiscalité moins contraignante”, plaident les opérateurs économiques.

Des suggestions seront faites dans ce sens aux pouvoirs publics. Le rapport portant stratégie et politique de relance et de développement industriels a été examiné à l’occasion de plusieurs réunions du Conseil de gouvernement.

Il a fait, ensuite, l’objet des assises nationales organisées, les 26 et 27 février 2007, avec la participation la plus large de l’ensemble des parties concernées par le sujet. Ces assises ont abouti à l’enrichissement et à l’adoption de la stratégie dans son contenu et dans ses propositions de mise en œuvre.

Source : Algerie-dz

La BTK ouvre une deuxième succursale à Tunis

La banque tuniso-kowétienne BTK a ouvert une deuxième succursale à Tunis, lundi 24 septembre, ont fait savoir la presse tunisienne et l'agence KUNA.

Il s'agit de la deuxième ouverture en deux mois. KUNA rapporte les propos du directeur général de la BTK chargé du réseau des succursales, Imad al-Sharif, affirmant que cette ouverture vise à faire de la banque une institution commerciale pour aider au développement des entreprises locales.

M. Al-Sharif a indiqué que la banque envisageait par ailleurs d'ouvrir deux succursales supplémentaires dans la capitale tunisienne dans l'année qui vient. Fondée en 1981, cette banque a permis de financer à ce jour six cents projets en Tunisie.

Source : Magharebia